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mardi 1 juillet 2008

IRON MAIDEN ~ Le P.O. Bercy. Paris.











Somewhere Back in Time World Tour

Première Partie : LAUREN HARRIS ~ AVENGED SEVENGOLD


Ce qu’en a pensé Vik :

«Six! Six! Six! The Number of the Beast !», criaient les Iron Maiden déjà en 1982, au Pavillon Baltard de Nogent sur Marne (le 24 Mars), en plein délire métal – satanique. Un quart de siècle est passé, beaucoup de concerts, et ils sont de retour au PO Bercy, pour deux soirées revival, destinées à ceux qui aiment le hard rock et le vrai heavy métal (une affaire d'hommes), avec toujours leur mascotte Eddie, qui est là depuis les débuts, dessinée par Derek Riggs. Je savais qu’il fallait y être, et avec Gilles B, comme en 82, je réponds donc « présent ». Ahhh, plaisir immédiat !!! Tant d’années d'écoute du métal Maiden, plus ou moins étonnant, d’innombrables refrains… un groupe légendaire avec une histoire et un influence indiscutable, et ils sont encore là, bien vivants ! On dit que l’Iron est éternel, et j’ai le plaisir de les revoir, une nouvelle fois. Billets capturés le 30 novembre 2007 à 10 heures, concerts sold out, et sept mois plus tard, le premier concert du "Somewhere Back In Time World Tour 08" (avec pour décor l'Egypte) approche à grands pas… et nous y voilà ! Pour une fois, pas de nouvel album pour cette tournée, seulement un Best of des années 80 (les meilleures années, pour les vrais fans) « Somewhere Back In Time », à écouter en boucle, pour revivre le passé, pour se faire plaisir. Ce n’en est que mieux !

J’arrive à Bercy à 16h00, il fait beau, le ciel est très bleu, il y a beaucoup de monde en vieux T-shirts Eddie, des Anglais, des Allemands, des Italiens,… le public du métal, rigoureusement habillé en noir, est prêt, une fois encore, à enflammer ce soir la salle, 23 ans après l'album « Powerslave ». Ça vibre déjà dehors, il fait très chaud au soleil, même pas un brin d'air, mais on y est ! Les bières coulent à flot et les cris « Maiden ! Maiden ! » fusent. Le métal commence à devenir incandescent. Il n’y a pas d’ombre, pas un arbre où trouver un abri, et peut-être que je n'ai plus l’âge pour ça... Une ambiance de métal, malgré tout assez sympathique, je précise, ou la conversation tourne essentiellement autour de Maiden. A 18h00, les preposés de la securité ouvrent (poussent) les grilles. Je rentre en courant avec la charge de cavalerie, direction gauche Porte O, premier rang, le plus proche à la scène. L’attente peut commencer, le stress est terminé. Remarque de la soirée : il y aura deux premières parties pour chauffer la salle… mais je ne vois pas le besoin !

19h30 : Lauren Harris (la fille de Steve Harris, l’un des meilleurs bassistes de métal et leader de Iron Maiden), et ses musiciens constituent le premier groupe en ouverture, et entrent en scène. Un heavy métal / power-pop assez inoffensif et banal, agréable seulement par la présence de Lauren (une jolie fille brune) qui arrive à capter l’attention du public grâce à son jeu de scène, plein d’énergie. Ici se termine mon enthousiasme. Quelque ressemblance avec Pat Benatar en moins bien, Avril Lavigne,… mais musicalement, il n’y a rien de nouveau, les chansons se suivent et se ressemblent sans grande originalité. Dans le groupe qui l’accompagne, seulement le bassiste, Randy Gregg, bon showman tout de cuir noir vêtu, est digne d’intérêt, faisant oublier le guitariste et le batteur. Une reprise d’UFO, Natural Thing, et un finale avec Steal Your Fire, dans un set de 30 minutes destiné aux amateurs de rock mousseux. Il est clair que leur présence est justifiée par la relation « père - fille », qui explique aussi les quelques applaudissements enthousiastes pour cette performance qui, autrement, serait passé dans l’indifférence totale devant un public aussi acquis à Iron ! Mais je tiens à préciser que le talent artistique n'est pas une caractéristique génétique. Un cadeau vite oublié.

20h15 : Avenger Sevenfold, deuxième groupe en ouverture, entre en scène. Du néo métal américain, avec un look assez travaillé (lunettes de soleil…), qui m’avait déjà profondément ennuyé en première partie des Guns N Roses, ici même, en 2006. Ce soir, c’est la même chose : saturation, chansons assez répétitives, nullité. Le public réagit cette fois immédiatement, le majeur dressé en l’air, des sifflets et des cris « Maiden ! Maiden ! » pour couvrir cette musique honnête, mais pas justifiée dans ce contexte. Le chanteur continue sur sa lancée avec des “shit”, “fucking” ou “motherfucking” à tout va. Deuxième erreur de casting de la soirée, et encore un souvenir vite effacé pour ce set de 30 minutes.

On reprend l’attente, encore une longue demi-heure, avec des holas, et des cris d’une foule impatiente, et naturellement le temps de boire une autre bière.

21h15 : les lumières s’éteignent dans l’enthousiasme général : « Maiden ! Maiden ! Maiden ! »… And our trip begins. L’intro habituelle, avec Doctor Doctor de UFO, résonne dans les enceintes, couvrant d’étincelles de métal incandescent la salle pleine à craquer. Les décors sont encore masqués par une grande toile noire, et le public continue à hurler « Maiden, Maiden, Maiden, Maiden… », impatient, après une interminable journée de soleil, des heures d'attente et quelque bières, d’écouter cette set list centré sur la période d’anthologie 1980-1988. Une explosion, un bruit d’avion. Cette intro est le signal définitif que Iron Maiden est prêt à monter sur scène, pour réactualiser les albums « Powerslave », « Somewhere In Time » et « Seventh Son Of A Seventh Son », produits par le regretté Martin Birch, qui ont fait la gloire de la « Vierge De Fer » dans le monde entier. Les lumières ont été remplacées par un éclat bleu seulement pour la scène. Les deux écrans suspendus de chaque côté s’allument, avec les images d’une vidéo du groupe sur l’échelle de l’avion jumbo-jet (peint Iron Maiden) qui les transporte d'un pays à un autre, et un Bruce pour préparer le décollage sur l’instrumental Transylvania. Ces images sont vite remplacées par celles, en noir et blanc, d’un documentaire sur la RAF pendant la Seconde Guerre mondiale, accompagnée par Churchill’s Speech, le discours de Winston Churchill « We shall fight on the beaches » : sur ces mots, les six membres du groupe entrent enfin en scène, acclamés, comme il se doit, par un public déjà conquis et une fosse compressée.

Les premières notes violentes du très pêchu Aces High… « There goes the siren that warns of the air raid, Then comes the sound of the guns sending flak »…, le premier morceau de leur chef-d'œuvre « Powerslave », datant de 1984, démarrent brusquement dans la pénombre, pendant que le rideau tombe, faisant commencer les hostilités avec des explosions et des flammes qui illuminent la scène, avec son décor d’art égyptien repris du mythique "World Slavery Tour" (encore l’un des plus prestigieux tours de leur histoire du rock) du fameux « Powerslave », avec dieux égyptiens et momies . Un riff de guitare éclate à la vitesse de la lumière aux oreilles des 17.000 fans qui ont envahi Bercy, avec leurs t-shirts d’Eddie. C’est l’enfer et nous y sommes. Le décollage a lieu avec un son assourdissant et monstrueux, produit par les trois guitares de Adrian Smith, Dave Murray, Janick Gers, et sur la fondation en béton crée par la basse de Steve Harris et la batterie de Nicko McBrain déchaîné, dans une forme éblouissante. La notion de temps ne semble pas exister pour eux, malgré l’âge. Un sentiment de magie imprègne l'air, et le public saute de joie en criant. Il est difficile de décrire ce que cela fait que d'être là, face à la légende du métal : il faut y être pour vivre cet instant qui fait vibrer. Le son n’est pas parfait, c’est Bercy, mais le groupe, y compris Bruce Dickinson, pantalon déchiqueté et bonnet noir, a la pêche et s’éclate pour donner vie à un show mémorable.

Une fois la chanson terminée, on enchaîne avec Bruce qui hurle comme un forcené « Scream for me Paris, scream for me Paris ! »… On enchaîne immédiatement et sans temps mort avec 2 Minutes To Midnight, morceau habituellement réservé aux rappels, et pendant le refrain, lorsque le titre est crié, Bruce, leader hors norme, le rappelle à la foule… « To midnight ! »… moments du direct, repris aussitôt. C’est jouissif. Bruce salue enfin en Français avec un grand effort « Bienvenue Bercy, bienvenue Paris France, nous jouerons pas ces chansons pour peut-être 25 années, je pense qu’il y a des personnes ici qui n’est pas né à la sortie », « Iron Maiden will never be a part of anyone's fucking establishment »… Le groupe enchaîne ensuite avec Revelations, pas joué depuis 1983, pas un classique, et qui ne fait pas partie des mes favoris, une ballade lente mais bien soutenue par les hurlements de Bruce qui court autour de la scène comme une gazelle. Il faut dire que l’enchaînement de des trois premiers morceaux, avec les toiles du fond qui changent, est totalement bluffant, à couper le souffle, et maintenant, après tant d'années, il faut reconnaître que Maiden, visiblement ravi d'être à Paris, sait parfaitement faire son travail !

On continue avec un autre titre de « Piece Of Mind », The Trooper, la chanson classique préférée par tout fan, éditée aussi sur le jeu Guitar Hero II (Xbox 360) : une excellente version avec Bruce en costume de soldat anglais, agitant un drapeau de L’Union Jack et excitant le public avec ses sauts sur la scène, devant un décor reprenant la pochette de l’album. Un autre moment à discuter avec le public (Bruce adore parler…) et introduire Wasted Years, morceau inhabituel de l’album « Somewhere In Time ». Il la chante avec beaucoup d’énergie et met ainsi en valeur le refrain accrocheur, accompagné par Dave et Adrian qui ensemble font un solo fantastique. Et là, la foule réagit de joie. Un diable mécanique rentre sur le côté de la scène, et une voix of d’un zombie (en même temps que celle de Bruce) prononce des paroles extraites des Révélations, du Nouveau Testament de la Bible, le public reprenant en chœur « Six! Six! Six! »… Un rythme, une ambiance d’apocalypse et une énergie incroyable, c’est le moment de Number of The Beast… « Woe to You Oh Earth and Sea, for the Devil sends the beast with wrath… », un autre grand classique. Une apothéose pour le public, et une preuve que la chanson n'est pas surévaluée. L’improvisation semble ne pas exister, et le show carré se poursuit, parfaitement executé. La structure des décors de la scène, coince un peu Nicko, le batteur bûcheron, mais bon, il doit aimer l’emplacement, caché derrieur ses fûts… mais bien présent avec ses coups de grosses caisses. Quant à Bruce, avec ses montées dans les aigus et son style théâtral, il livre une interprétation exceptionnelle, donnant une nouvelle vie à cette chanson. « Un, deux… Can I Play With Madness ? », en regardant Dave, et sans attendre une réponse, il enchaîne avec cette chanson, que je trouve moyenne, malgré qu’elle soit extraite de « Seventh Son of a Seventh Son », un album magnifique qui fait partie de mon top 5 de Maiden. Mais bon !

« 1985, Album Live After Death Long Beach California », nous dit-il, après 39 minutes de show qui dévore et brûle à vif, «This is what not to do when a bird fucks on you», Bruce est hilarant, presque habillé de plumes, en mimant avec ses coudes un possible envol : « L’oiseau ! Grand oiseau ! Grand oiseau de mèèèèr ! Albatros ! This is what not to do if a bird shits on you…»…The Rime Of The Ancient Mariner … ont été les mots utilisés pour introduire la longue chanson épique, d’après un poème du même nom de Samuel T. Coleridge. Moment mémorable, avec l'énergie, la puissance, la douceur aussi, sur le pont d’un bateau hanté, aux voiles en lambeaux, craquant de toutes parts… La basse de Steve donne des frissons sur la partie instrumentale, la scène est envahie de fumées (la glace sèche), le visuel est très beau, avec Bruce qui commence à livrer la meilleure performance de la soirée, les projecteurs remuent au gré des vagues pour donner l’impression d’un bateau qui tangue sur la mer, le tonnerre explose. Et ce son ! C’est merveilleux d’écouter live un tel morceau, mon plaisir et mes émotions s’amplifient encore. De plus, les feux d'artifice qui accompagnent le rythme de la musique sont vraiment fascinants. Le public reste d’abord bouche bée, puis les hymnes sont repris en chœur... « Sailing on and on and north across the sea, Sailing on and on and north til all is calm… », Encore maintenant, alors que j’écris sur cette interprétation grandiose, ce meilleur moment du concert, j’en ai des frissons : c’est l’émotion de repenser à ces 13 minutes, à cet extrait de « Powerslave » qui reste le chef d’oeuvre de leur discographie.

Le groupe enchaîne ensuite avec Powerslave, extrait du même album, Bruce portant maintenant son masque de Dieu Egyptien, qu'il utilisait déjà en 1985 (et dans « Live After Death »), pour une belle interprétation… Suit Heaven Can Wait, avec une excellente participation de la foule, et aussi avec le petit refrain chanté par un groupe de fans sur scène. Fin de la chanson, les classiques se poursuivent, et Bruce hurle Run To The Hills, cris de plaisir et aussitôt le refrain est repris par la foule. Puis c'est le moment, un grand moment je dois le reconnaître, de Fear of The Dark… « I am a man who walks alone, And when Im walking a dark road, At night or strolling through the park… » : l’intrus de cette setlist de la période glorieuse, puisque c’est un classique de 1992, une belle chanson populaire qui défoule, mais hors période, sûrement jouée pour faire plaisir aux fans. Un spectacle divertissant et impactant, la grande marionnette Eddie pour une partie de boxe avec Janick Gers (ex-guitariste de Ian Gillan Band), soit le moins convaincant des trois guitaristes, avec les « hohoho » du public et les couplets - comme le refrain - repris en chœur. Les soli de guitares coulent à flots, faisant bouger les verres de bières ; les riffs déchirent l’air surchauffé. Il est d’ailleurs étonnant de voir la foule chanter sur tous les morceaux, chaque riff joué devenant un refrain à reprendre. Incroyable ! « Scream for me Bercy, scream for me Bercy ! Tout le monde lève les mains » surenchérit Bruce.

Le set se termine comme d'habitude par le classique Iron Maiden, la signature du groupe, avec, comme décor, l'immense masque égyptien doré d'Eddie qui s'ouvre en son milieu pour nous laisser découvrir une impressionnante momie géante (Live After Death !) qui apparaît au-dessus de la batterie. Steve, avec ses doigts magique à la basse, sur le devant de la scène, et le célèbre trio de guitaristes de Maiden, Dave, Adrian et Janick, font des duels de soli prouvant leur virtuosité. Excellente façon de clore le spectacle, moment incroyable qui fait rugir la foule encore plus fort. Un salut par le groupe en guise de « good night », après 1h25 de spectacle, pour un court repos, et un bref moment pour réparer une caisse défaillante de la batterie… pendant que les fans crient « Maiden! ».

Quelques minutes plus tard, ils sont de retour pour le rappel. Un long discours de Bruce qui présente les membres du groupe, avec une ovation spéciale pour le batteur fou : «Nicko ! Nicko !» scande le public, Bruce nous remercie, et au passage nous annonce un prochain album, suivi d’une tournée passant à Bercy (pub !). «J’ai une petiti surprise ». Ovations, et petit tour du côté de Dave Murray, intro de guitare, et, Moonchild… (« Seven deadly sins, Seven ways to win, Seven holy paths to hell, And your trip begins…») fait son entrée : dans la sale, c’est la folie du pogo. Sans tarder, on enchaîne sur The Clairvoyant, sur lequel Eddie en cyborg de trois mètres de haut vient, dans son costume de « Somewhere In Time », faire un petit tour sur scène, sous les acclamations de la foule. La chanson, encore une, entre parmi les meilleurs moments de la soirée : « There's a time to live and a time to die » est chanté par presque tout le monde, avec mains levées et cornes dressées. Amazing ! Ensuite ils terminent le concert avec une fantastique interprétation de Hallowed Be Thy Name, l’une des mes chansons préférées, mythique, qui fait ressortir toute son énergie pendant un final explosif avec tout Bercy, les vrais fans, plus que conquis. Géant, c’est quelque chose que je ne peux pas expliquer, c’est un moment qu’il faut vivre. Un salut, des cris, une révérence, une ovation « Maiden ! Maiden ! », et c’est fini. Le groupe quitte la scène. C’était une vraie soirée de heavy metal !!! Pendant que Nicko jette ses baguettes (ce qu’il en reste), une avalanche d'applaudissements déferle pendant qu’une douce mélancolie s’installe dans le cœur de tous les fans. Immédiatement la chanson Always Look On The Bright Side of Life sort du haut de Bercy, pour nous accompagner vers la sortie.

Ce soir, j’ai vu de nouveau la légende de la « Vierge De Fer », qui vieillit doucement, un peu enfermée dans un style heavy mais de haut niveau : c'est toujours aussi plaisant ! Deux heures qui ont passé très vite… mais mon âme de metalleux est satisfaite, car c’était un concert de fans pour les fans. Long live for the heavy metal of Maiden ! Et voilà, un Maiden en plus parmi mes concerts des folies, qui m’a rempli les yeux et les oreilles, et qui m’a donné, surtout, un grand et rare moment d’émotion et de souvenir, avec l’hallucinant The Rime Of The Ancient Mariner. Rendez-vous pour le nouvel album et… la nouvelle tournée. »

« … And the wedding guests a sad and wiser man / And the tale goes on and on and on. »





photos de



Groupe de heavy metal britannique formé en 1975 au Royaume-Uni par le bassiste Steve Harris, Iron Maiden est sans conteste le groupe de Heavy Metal le plus connu de tous les temps. Avec plus de 100 millions d'albums vendus à travers le monde, le groupe a connu, et connaît encore un succès planétaire. Inspiré à leur début par les Black Sabbath ou encore Motörhead, la bande a créé un style inimitable, que ce soit dans leurs textes, ou bien encore dans la mise en scène de leurs spectacles.

Ils furent les pionniers de ce qui fut appelé la NWOBHM (new wave of british heavy metal) avec les groupes Saxon, Def Leppard, Tygers of Pantang, …Leur longévité, leurs compositions puissantes et mélodiques, la diversité de leur discographie et surtout leur qualité de précurseurs du genre en ont fait l'un des groupes phare de la scène heavy metal.

La mascotte du groupe est Eddie, une sorte de mort-vivant reproduit dans différentes postures sur toutes les pochettes du groupe. Avec des albums ayant occupé la tête des "charts" à travers le monde entier comme ""the number of the beast"en 1982, ou "Fear of the dark" en 1992, nul doute que le groupe fait partie des monuments de la musique. Par contre c'est vrai que cette tournée 2008 est exceptionnelle, car elle touche déjà une période culte du groupe avec une set list d'enfer.

(http://www.ironmaiden.com/)
(http://www.myspace.com/ironmaiden)
(http://www.facebook.com/ironmaiden)





















Iron Maiden (1980)
Killers (1981)
The Number of the Beast (1982)
Piece of Mind (1983)
Powerslave (1984)
Somewhere in Time (1986)
Seventh Son of a Seventh Son (1988)
No Prayer for the Dying (1990)
Fear of the Dark (1992)
The X Factor (1995)
Virtual XI (1998)
Brave New World (2000)
Dance of Death (2003)
A Matter of Life and Death (2006)





* Bruce Dickinson – lead vocals, additional guitars (1981–1993, 1999–present)
* Dave Murray – guitars (1976-1977, 1977-present)
* Adrian Smith – guitars, backing vocals (1980–1990, 1999–present)
* Janick Gers – guitars (1990–present)
* Steve Harris – bass, keyboards, backing vocals (1975–present)
* Nicko McBrain – drums, percussion (1982–present)
with
* Michael Kenney – keyboards (live) (1988–present)



La Setlist du Concert
IRON MAIDEN



Intro : Transylvania
Churchill's Speech (Live After Death - 1988)
Aces High (Powerslave - 1984)
2 Minutes to Midnight (Powerslave - 1984)
Revelations (Piece of Mind - 1983)
The Trooper (Piece of Mind - 1983)
Wasted Years (Somewhere In Time - 1986)
The Number of the Beast (The Number of The Beast - 1982)
Can I Play With Madness (Seventh Son of A Seventh Son - 1988)
Rime of the Ancient Mariner (Powerslave - 1984)
Powerslave (Powerslave - 1984)
Heaven Can Wait (Somewhere In Time - 1986)
Run to the Hills (The Number of The Beast - 1982)
Fear of the Dark (Fear of the Dark - 1992)
Iron Maiden (Iron Maiden - 1980)

Encores

Moonchild (Seventh Son of A Seventh Son - 1988)
The Clairvoyant (Seventh Son of A Seventh Son - 1988)
Hallowed be thy Name (The Number of The Beast - 1982)



 
La durée du concert : 1h50

AFFICHE / PROMO / FLYER


































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