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mercredi 31 août 2011

THE OFFSPRING ~ Le Zénith. Paris.











Première Partie : ROYAL REPUBLIC



Ce qu’en a pensé Emilie :
 « Ce soir, je vais voir The Offspring pour la 2è fois. Beaucoup de gens les critiquent, je ne peux nier que l’originalité, c’est pas leur truc (encore que, avez-vous déjà entendu quelqu’un chanter comme Dexter Holland ?), mais voilà, 11 ans que je suis fan, et à moins qu’ils deviennent séniles et fassent un duo avec Justin Timberlake, je suppose que je mourrai fan. D’une certaine manière, ils ont forgé ce que je suis aujourd‘hui, vu qu’à quinze ans on est influençable ; considérant que j’aurais pu prendre exemple sur QOTSA à la place, j’en suis heureuse ! J’écoute des tas d’autres groupes maintenant, mais je n’ai plus autant le temps de m’y consacrer. Alors que pour Offspring, je connais les textes sur le bout des doigts, c’est même ce que je préfère chez eux en fait. J’ai un peu peur, mais je vais en fosse, passer le concert assise serait une torture. Je suis gentiment accueillie par un vigile qui me fait remarquer que je suis « raccord » (Mon tee shirt à l’effigie du single « All I Want », avec ses manches longues couvertes de têtes de mort, ne passe pas inaperçu. Je l’ai acheté d’occasion il y a quelques années car Ixnay On The Hombre est mon album préféré, et puis ça fait toujours bien de faire croire que tu suis le groupe depuis longtemps ^^). On passera sur les tarifs prohibitifs du merchandising (pas que ce soit une surprise, je pense même que c’était un poil moins cher qu’à Green Day) et j’arrive juste à temps pour le groupe de première partie, les Suédois de Royal Republic. Après une intro style « vive le roi » assez sympathique, on est direct dans le bain avec ce quatuor à l’énergie scénique redoutable. La fosse remue pas mal, il faut dire que le chanteur aux faux airs de Fonzie sait y faire pour mettre l’ambiance. Bras en l’air, jump, « oh oh », tout y passe. Musicalement, la comparaison avec les Hives que j’avais aperçue ne me paraît pas évidente, bien que l’attitude du chanteur ne peut que rappeler Pelle Almqvist. Mais je ne saurais pas trop quelle étiquette leur mettre, alors on va dire un groupe rock, tout simplement (je dois avouer que je m’attendais plutôt à du pop-punk au rabais, vu qu’il y a Simple Plan sur les autres dates). Une excellente surprise donc, et heureusement, vu que je vais les revoir demain.

Mon impatience grandit, je n’ai pas osé me mettre près, mais c’est le Zénith, la fosse n’est pas bien grande. Le groupe arrive vers 20h30 et attaque direct avec All I Want. Ah ça pour être raccord, je le suis ! « Ya ya ya ya ya », c’est parti, et j’ai heureusement bien profité de ce court brûlot punk, il n’y aura au final que deux titres de Ixnay. Ce que je retiendrai, c’est surtout cette entrée en scène toute simple, les gens peuvent critiquer tant qu’ils veulent leur signature chez Sony et leurs millions de CDs vendus, pour moi ils n’ont pas changé, et j’en suis fière. On enchaîne avec la beaucoup plus récente You’re Gonna Go Far, Kid (qui fait référence à Lord Of The Flies de William Golding) et ses « Dance, fucker, dance » repris en chœur par le public. Enfin, ceux que ça intéresse, car on arrive quand même au gros point noir de la soirée, un public qui, même en fosse, est plus occupé à discuter, se prendre en photo (eux-mêmes, pas le groupe) et faire des aller-retour au bar en attendant les gros tubes, pour lesquels ils ont déboursé près de 50€. Je comprends qu’on puisse venir à un concert en ne connaissant pas toutes les chansons, mais de là à s’en désintéresser à ce point ! D’autant qu’à mon grand regret, la setlist c’était à peu de choses près le Greatest Hits, alors si même ça ça ne leur suffit pas pour s’intéresser un minimum… Bien sûr, ce n’est pas le nouveau titre (connu sous le nom de November Song ou You Will Find A Way, mais Noodles nous dira qu’il s’intitule « The New Song ») qui va raviver l’enthousiasme. OK, je me suis mise au fond, je le paye, mais je pensais quand même que les gens regarderaient la scène quoi… Pour ce qui est de la petite nouvelle, je l’ai trouvée un peu faiblarde. Heureusement, Come Out And Play met tout le monde d’accord, miracle, finalement il y a des gens qui savent qu’ils ont enregistré des albums avant Americana. Je suis super heureuse lorsque retentissent les premiers accords de Stuff Is Messed Up, je n’avais pas compris au Rock en Seine 2009 pourquoi elle avait été écartée alors que le groupe sortait de la tournée du même nom (et que je pense que pas mal de gens seront d’accord pour dire que c’est le meilleur morceau de Rise And Fall.) Je craignais un peu le débit de Dexter pendant le pont, mais il a été impérial. On enchaîne avec Bad Habit, énorme ! Et hop, un petit « Stupid dumbshit goddamn motherfucker », ça fait du bien par où ça passe. (Et si, je maintiens que leurs textes sont excellents et très recherchés, mais faut bien se défouler des fois aussi). Dexter s’est un peu lourdé sur What Happened To You ?, on lui pardonne. Hit That et son petit côté électro passe super bien, j’ai jamais compris pourquoi il était autant décrié : en général ce qu’on reproche à Offspring, c’est leur manque d’innovation, et quand ils innovent, les gens n’aiment pas. Jouer Kristy, Are You Doing Okay ? et Why Don’t You Get A Job ? à la suite n’était pas forcément la bonne idée de la soirée, encore que, ce n’est que mon avis perso, le public semble suivre, surtout sur le méga-tube obladi-obladien (et sur la ballade, on a le droit aux lumières de portables bien sûr, bon ça me va bien de dire ça alors que je fume pas, mais les briquets c’était quand même plus classe). Americana (la chanson) nous ramène enfin au bon gros rock, même si une fois encore, j’ai l’impression que mes goûts sont à l’opposé du reste de la fosse. J’aurais sûrement éclaté en sanglots sur Gone Away, que j’entendais pour la première fois en version normale puisqu’au Rock en Seine c’était la période piano, si je n’avais pas vu des filles DANSER devant moi. DANSER, comme si elles étaient en boîte, pendant Gone Away. OK, on vient à un concert pour s’amuser, et tout le monde peut pas comprendre l’anglais, mais si Dexter colle souvent des paroles tristes sur une musique décalée (on peut prendre Come Out And Play ou Hit That comme exemple), je pensais que pour Gone Away, le sujet de la chanson était assez explicite… Mais c’était quand même un moment très émouvant. Noodles nous annonce alors qu’ils ont gardé les meilleures pour la fin, et qu’il veut qu’on en est pour notre argent, notre dollar, notre euro, notre franc se reprend-il, visiblement pris d’un doute. C’était drôle, mais mon porte-monnaie aurait préféré qu’ils se gardent Pretty Fly et, quitte à jouer des ballades comme Kristy un peu plus tôt, nous envoient un bon vieux Dirty Magic. Mais il faut bien composer avec les tubes, et la violente Head Around You, toute en montée en puissance, me réconciliera avec l’opinion que Noodles a de son public (de toute façon il a raison faut pas se leurrer, 90% des gens auraient crié au scandale s’ils avaient pas eu leur Pretty Fly). On conclut sur The Kids Aren’t Alright, LA chanson qui m’a convertie au rock, et c’est déjà la fin. C’est du punk hein, ça colle tout à fait à l’esprit une heure de chansons de 2mn30, la seule ombre à ce tableau, c’est le prix de la place…

Il y a (encore heureux !) un rappel, qui ouvre fort bien sur la récente Hammerhead, se perd ensuite sur une inutile Want You Bad, seul titre de la soirée extrait de Conspiracy Of One, et probablement le pire d’un album largement sous-estimé dont une jolie brochette de pépites aurait pu être extraite. Self Esteem clôt le set en toute logique, elle est drôle et définitivement tubesque, mais je n’en suis pas fan car je trouve qu’elle ne reflète pas vraiment ce qu’est le groupe. Au moins l’ambiance était (enfin !) au top de mon côté. Les lumières se rallument, les gens n’essayeront même pas d’obtenir un second rappel, c’est direction la sortie, je garde un goût amer à cause de ce fichu public, et j’ai compris une chose : The Offspring ne sont pas  un mauvais groupe de scène, ils ont simplement construit eux-mêmes cette réputation en acceptant de plier aux exigences d’un public mainstream et de centrer leurs concerts sur leurs « tubes ». Ce n’est pas un choix très honorable, mais à regarder la différence d’ambiance dans la fosse entre Pretty Fly et Stuff Is Messed Up, je pense que je les comprends. Jouer tout du long devant un public amorphe après 25 ans de carrière, ça doit quand même faire chier.

Demain, je remets ça, et je vais donc passer ma nuit à prier pour avoir une setlist différente. »






photos de 


The Offspring (anciennement nommé Manic Subsidal) est un groupe de punk rock américain formé par Dexter Holland et Greg Kriesel (Greg K) en 1984 à Huntington Beach, en Californie. ils réalisent en 1993 leur plus gros succès, l'album Smash en 1994. Porté par des tubes comme Come Out and Play, Self Esteem et Gotta Get Away, l'album fut celui le plus vendu au monde pour une production sur un label indépendant avec 16 millions d'exemplaires écoulés. Smash continue toujours à se vendre quinze ans après sa sortie et est certifié disque de platine six fois aux États-Unis.

Albums
1989 : The Offspring
1992 : Ignition
1994 : Smash
1997 : Ixnay on the Hombre
1998 : Americana
2000 : Conspiracy of One
2003 : Splinter
2005 : Greatest Hits
2008 : Rise and Fall, Rage and Grace

EPs
1991 - They Were Born To Kill
1991 - Baghdad
1997 - Club Me
1998 - A Piece Of Americana



Dexter Holland (lead vocalist and rhythm guitarist)
Kevin "Noodles" Wasserman (Lead Guitar)
Greg K. (Bass)
Pete Parada (Drums)


  La Setlist du Concert
ROYAL REPUBLIC

 1. President’s Daughter (We Are The Royal – 2010)
2. Walking Down The Line (We Are The Royal – 2010)
3. All Because Of You (We Are The Royal – 2010)
4. I Must Be Out Of My Mind (We Are The Royal – 2010)
5. Cry Baby Cry (We Are The Royal – 2010)
6. Full Steam Spacemachine (We Are The Royal – 2010)
7. Underwear (We Are The Royal – 2010)
8. Tommy-Gun (We Are The Royal – 2010)


La durée du concert : 0h35

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La Setlist du Concert
THE OFFSPRING

01.   All I Want (Ixnay on the Hombre - 1997)
02.   You're Gonna Go Far, Kid (Rise And Fall, Rage And Grace - 2008)
03.   November Sog (New Song)
04.   Come Out and Play (Keep 'Em Separated) (Smash - 1994)
05.   Have You Ever (Americana - 1998)
06.   Staring at the Sun (Americana - 1998)
07.   Stuff Is Messed Up (Rise And Fall, Rage And Grace - 2008)
08.   Bad Habit (Smash - 1994)
09.   What Happened To You? (Smash - 1994)
10.   Hit That (Splinter - 2003)
11.   Kristy, Are You Doing Okay? (Rise And Fall, Rage And Grace - 2008)
12.   Why Don't You Get a Job? (Americana - 1998)
13.   Americana (Americana - 1998)
14.   Gone Away (Ixnay on the Hombre - 1997)
15.   Pretty Fly (for a White Guy) (Americana - 1998)
(16.  Can't Get My) Head Around You (Spinter - 2003)
17.   The Kids Aren't Alright (Americana - 1998)

Encore

18.   Hammerhead (Rise And Fall, Rage And Grace - 2008)
19.   Want You Bad (Conspiracy Of One - 2000)
20.   Self Esteem (Smash - 1994)

La durée du concert : 1h10

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dimanche 28 août 2011

ROCK EN SEINE (FESTIVAL) 2011 # 9 ~ Le Domaine Nationale. ST Cloud.










 
9e Édition  ! 3 Jours ! 4 Scènes ! 60 Concerts ! 
 
SCÈNE PRESSION LIVE




Ce qu’en a pensé Emilie :

« Le soleil est enfin au rendez-vous en ce dimanche, dimanche que je passerai exclusivement sur la scène Pression, Deftones c’est pas mon truc et Archive je connais pas, et je dois avouer honte à moi que je n’ai pas cherché à connaître avant de venir. C’est une journée Faris Badwan donc pour moi, avec tout d’abord son side project (pardon, son autre groupe à part entière) Cat’s Eyes que j’ai déjà vu en mars dernier, dans des conditions peu idéales… et ce sera pareil aujourd’hui à peu de choses près : le son n’était pas très bon, voire mauvais au départ, les voix pas assez mises en valeur, et bien sûr si le public était déjà trop bavard au Nouveau Casino, ça ne pouvait être que pire ici. Les musiciens sont bons, les compos sont excellentes, les titres plus bruitistes rappellent The Horrors, mais le groupe donne plus l’impression de jouer pour lui-même que pour un public. En témoigne cette place plutôt en retrait de Rachel Zeffira. Sauf lorsqu’elle rejoindra le vibraphone pour un très beau I’m Not Stupid (mais bien sûr, le public est encore plus insupportable sur celle-là). Faris, cependant, remercie le public entre chaque morceau, ce qui est assez inhabituel chez lui. De nuit, la magie aurait peut-être pu opérer à plein temps. Elle flottait tout de même, intermittente, autour de nous. Un beau concert, mais loin d’être parfait.

J’ai décidé de rester pendant Cherri Bomb pour conserver une bonne place pour The Horrors. Ce n’était pas forcément indispensable, Anna Calvi ayant je pense drainé une bonne partie du public, surtout que The Horrors sont pas vraiment faits pour jouer en plein jour. Pas forcément le pire choix de ma part, vu les échos que j’ai eus sur The La’s et leur batteur fantôme, mais probablement pas le meilleur non plus. Si musicalement, à part un manque flagrant d’originalité, on ne peut rien reprocher aux toutes jeunes Californiennes  qui se débrouillent plus que correctement avec leurs instruments, et mettent l’ambiance (15 ans de moyenne d’âge = énergie à revendre), la voix de la chanteuse et ses petits ricanements  d’adolescente sont horripilants. Le meilleur moment du concert sera la reprise de The Pretender, j’ai craint le pire un moment, mais mettre la bassiste au chant a suffi  à relever fortement le niveau général de la prestation. Dans l’ensemble, j’applaudis plus parce que je ne voudrais pas leur faire du mal, elles sont si jeunes, que par réel enthousiasme. Je ne sais que penser, je veux dire, une blonde, une brune, une batteuse rousse (enfin rouge) qui viendra gentiment en soutif nous offrir ses baguettes, et une bassiste aux rastas multicolores, ça vous donne pas un petit air de « Venez voir, il y en a pour tous les goûts ? » ? Je ne remets pas en question leur amour du rock, mais je n’ai guère de doutes concernant les motivations des adultes qui bossent autour. Dave Grohl et Billy Corgan seraient apparemment sous le charme, moi pas.  Douées ou pas, c’est même pas la question, à leur âge elles devraient jouer dans leur ville natale devant leurs potes, pas dans les festivals européens. Le fils de Billie Joe de Green Day a un groupe maintenant, Papa pourrait sûrement leur organiser une tournée mondiale sans problème, s’il ne le fait pas c’est qu’il y a une raison, il y a un âge pour tout. Peut-être me direz-vous qu’en tant que fan de Pretty Reckless, je peux me la fermer sur ce sujet. Mais en voyant les spectateurs masculins dire « c’était chouette » en repartant avec un sourire niais sur le visage, je ne peux ressentir qu’une impression de malaise à la fin de ce concert.

Encore un peu d’attente (pendant laquelle je constate que MCR ont joué I’m Not Okay, une des rares que j’aime, eh oui le son de la grande scène porte loin) et The Horrors sont enfin là. Faris a enfilé une tenue plus rock, blouson de cuir, et sera moins calme et posé que pendant sa précédente prestation, reprenant ses habituels mouvements saccadés. Il reste cependant assez concentré par rapport à la bordélique réputation scénique qu’il se traîne, se montrant uniquement obsédé par quelque chose dans la poche de son pantalon, Dieu seul sait quoi. Et il apercevra quelqu’un faire « un truc impressionnant avec sa cigarette » et le lui fera remarquer. Seules interruptions notables pendant le concert. On voit enfin les yeux de Joshua, alléluia ! Spider Webb et Tomethy Furse n’échangent plus leurs instruments comme avant, restant respectivement à la basse et au clavier. Tom ne quittera pas ses lunettes noires, mais le groupe paraît beaucoup moins « poseur » qu’auparavant.  Le set alterne titres de l’encensé Primary Colours et nouveautés du petit dernier Skying, et quand je dis alterner, c’est précisément cela, voyez la setlist. N’ayant pas encore vraiment réussi à entrer dans Skying (je m’attendais plus je l’admets à un nouveau virage à 180° qu’à un Primary Colours 2 en version plus lumineuse), j’apprécie l’effort de ne pas centrer la prestation sur ce dernier, mais finalement, à ma grande surprise, alors que j’avais presque peur de préférer la prestation de Cat’s Eyes à la leur, les morceaux prennent toute leur ampleur en live. Et malgré le soleil peu adapté, on se laisse transporter dans leur petit univers étrange. Je n’aurais pas été contre quelques morceaux du premier album, certes moins aboutis musicalement, mais qui permettent de se défouler un peu. Mais, on ne peut pas nier qu’ils sont difficiles à intégrer, surtout qu’il n’y avait pas de rappel. Si ma préférence va toujours aux excellents  Mirror’s Image et Sea Within A Sea, Still Life est définitivement un bon choix de single, et la dizaine de minutes de Moving Further Away est impressionnante, même si le chant final me fait penser à Say It Ain’t So, Joe de Murray Head, ce qui me perturbe toujours un peu. C’était mon quatrième concert du quintette, et de loin le meilleur, plus concerné, plus « pro » et pourtant plus expérimental, une vraie réussite, qui aurait mérité mieux que cette petite scène au terrain en pente et une furieuse concurrence en face. Peu importe, c’était une splendide façon de clôturer ce week-end pour moi.

Malgré la pluie, week-end de rêve dans ce bucolique endroit qu’est la forêt de Saint-Cloud. Pour 2012, je prends mon pass en avance, c’est certain !
 »







Rock en Seine est un festival de rock qui a lieu depuis 2003 dans le parc de Saint-Cloud (département des Hauts-de-Seine), au cœur de jardins historiques dessinés par Le Nôtre. En quelques années d’existence, ce festival est devenu incontournable, grâce à une programmation éclectique de qualité et il est devenu LE dernier grand rendez-vous de l'été en France. 108.000 visiteurs estimés pour 2011.

(http://www.rockenseine.com/fr/)
(http://www.myspace.com/rockenseine)
(http://fr-fr.facebook.com/rockenseine
 
Cat's Eyes, c'est avant tout le projet parallèle de Faris Badwn, leader du groupe anglais The Horrors, et de la rencontre avec Rachel Zeffira, soprano italo-canadienne. Ce duo n’a du manga japonais que son nom et il est un mélange des genres.



Cherry Bomb est un jeune groupe de filles de Los Angeles qui incarnent une nouvelle génération de rockeuses.

 

The Horrors est un groupe de punk/garage originaire de Southend on Sea, au Royaume-Uni formé durant l'été 2005,  avec un style rock-gothique et ils ont évidemment une vague d'influences importante.




Broken Glass EP - Polydor - February 2011
Cat's Eyes - Polydor - April 2011


The Horrors EP (2006)
Strange house (2007)
Primary Colours (2009)
Skying (2011)




Faris Badwn (Frontman The Horrors) : Vocal & Guitar
Rachel Zeffira: Soprano, Multi-Instrumentist & Composer
+ Band (1 Guitar, 1 Bass, 1 Drums)


Julia : Vocal & Guitar
Miranda : Vocal & Guitar
Nia : Drums
Rena : Vocal & Bass


Faris Badwan - vocals; formerly known as Faris Rotter.
Joshua Hayward - guitar; formerly Joshua Von Grimm or Joshua Third.
Tom Cowan - synthesizer (on Primary Colours), bass (on Strange House); formerly known as Tomethy Furse.
Rhys Webb - bass (on Primary Colours), organs (on Strange House); formerly known as Spider Webb.
Joe Spurgeon - drums; formerly known as Coffin Joe.


La Setlist du Concert
CAT'S EYE

Cat’s Eyes (Cat’s Eyes - 2011)
Lucifer Sam (Pink Floyd Cover)
Not a Friend (Cat’s Eyes - 2011)
Bandit (Cat’s Eyes - 2011)
Sooner Or Later (Cat’s Eyes - 2011)
I’m Not Stupid (Cat’s Eyes - 2011)
Face In The Crowd (Cat’s Eyes - 2011)
The Lull (Cat’s Eyes - 2011)
Over You (Cat’s Eyes - 2011)
I Knew It Was Over (Cat’s Eyes - 2011)
Sunshine Girls (Broken Glass EP - 2011)


La durée du concert : 0h35
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La Setlist du Concert
THE HORRORS

Changing The Rain (Skying - 2011)
Who Can Say (Primary Colours - 2009)
I Can See Through You (Skying - 2011)
Scarlet Fields (Primary Colours - 2009)
Dive In (Skying - 2011)
Three Decades (Primary Colours - 2009)
Endless Blue (Skying - 2011)
Sea Within A Sea (Primary Colours - 2009)
Still Life (Skying - 2011)
Mirror's Image (Primary Colours - 2009)
Moving Further Away (Skying - 2011)



La durée du concert : 0h55


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