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jeudi 10 novembre 2011

PETE & THE PIRATES ~ La Flèche D’Or. Paris.













Première Partie : SPECTOR + 


Ce qu’en a pensé Gilles B. :

«  C’est plutôt une aubaine que mon concert du Point FMR se soit terminé si tôt, il faut dire que le groupe que j’ai vu (Bass Drum Of Death) était programmé en première partie. Du coup je fais d’une pierre deux coups, direction la Flèche d’Or et 15 minutes après avoir quitté les abords du canal St Martin me voici rue de Bagnolet où j’arrive juste pour le set du second groupe qui s’appelle The Chap. Bien m’en a pris de voir ce concert, car il fut tout simplement très bon. The Chap ?  Je ne connaissais que le nom et je m’attendais à un truc plus ou moins électro. Ni tout à fait tort ni tout à fait raison. 

En fait The Chap c’est un mix composé d’un tas d’influences. J’ai au début pensé à un groupe comme Métronomy sauf que ces Londoniens vont beaucoup plus loin au niveau de l’originalité en utilisant d’abord toutes sortes d’instruments. On aura droit d’ailleurs à un moment furieux avec un violon et un violoncelle pour un passage très rock & roll. Les 5 membres du groupe ont aussi hérité du côté fun et aussi loufoque qu’un groupe comme les Talking Heads savait si bien retransmettre sur scène. On pourrait qualifier leur musique d’électro baroque : un terme qui leur sied bien. Au hasard quelques morceaux qui sont restés dans ma mémoire et dont j’ai su le titre en achetant leur best of après le concert, Courage & Modesty, Ethnic Instrument morceau bien barré où l’on verra la claviériste Claire Hope faire une mini chorégraphie en chantant «Bambouchou». Oui on n’est pas si loin de Talking Heads. Autre morceau resté dans ma mémoire, Fun & Interesting et le très hardcore "Le Theme". Bref ce groupe possède énormément de charisme et il déclenche automatiquement de la sympathie. Et puis le plus important c’est qu’ils sont bons tout simplement. On notera au passage le bassiste qui jouait en short. Plus d’une heure de concert et pour une fois je suis content qu’une première partie joue longtemps.

Une chose m’agace à la Flèche d’Or, même si c’est aussi le cas dans d’autres salles, mais ici plus particulièrement, c’est le comportement d’une partie du public venu, on ne sait pas trop pourquoi, comme ce groupe près de moi, qui pendant le début du set de The Chap, n’ont fait que discuter, se prendre en photos, rigoler bien fort en jetant, de temps en temps, un vague coup d’œil au concert. Énervant et irrespectueux pour le groupe. Une constante hélas de plus en plus fréquente.

Juste après je rejoins Cédric présent depuis le début de la soirée, et Michael nous rejoint à son tour. Pas trop de gens connus dans la salle à part Cécile orpheline ce soir de sa copine Marie Charlotte. La salle est bien remplie lorsqu’aux alentours de 23 h les 5 membres de Pete & The Pirates montent sur scène. Je les ai découverts en 2007 à la Maroquinerie et j’en ai gardé un excellent souvenir. Je les avais revus une autre fois en 2008 à l’Olympia et depuis plus rien. Ce qui frappe tout d’abord avec ce quintet c’est le sérieux du chanteur, pas d’effet superflu de la part de Thomas Sanders qui joue aussi accessoirement de la guitare sur certains morceaux, juste une présence sur scène et sa voix bien particulière. L’autre atout du groupe est tout simplement la haute teneur de ses compositions qui normalement aurait dû les placer au dessus du panier du rock indé Anglais. Le concert sera, bien sur, consacré pour une bonne part au second essai du groupe, l’excellent One Thousand pictures. C’est d’ailleurs avec un titre de ce dernier, Little Gun, qu’ils démarrent le concert. Ambiance un peu froide en ce début de set il faut dire que le groupe ne brille pas par son charisme, mais peu à peu la force des chansons pousse le public à réagir. Premier petit instant de bonheur avec Cold Black Kitty où la voix de Thomas Sanders agit à merveille et puis la mélodie toujours avec un côté épique et nostalgique que j’aime bien. Oui ces mecs sont définitivement au dessus du lot. Problème de guitare, quelque temps plus tard, pour le guitariste soliste qui se trouve en face de moi et qui sera résolu en changeant tout simplement d’instrument. Dans un style plus solennel qui me fait penser un peu à Interpol il nous balance Can’t Fish toujours servi par la voix impressionnante de Thomas. Mais c’est avec le superbe Winter I que les choses s’affolent dans la fosse, la basse dicte le rythme tandis que Thomas sûr de lui chante avec un côté solennel et martial les paroles de cette merveilleuse chanson. La fosse à partir de ce moment sera le plus souvent agitée, moi-même sur le côté je ne peux m’empêcher de danser, car c’est impossible de résister. Ce qui est flagrant pour moi c’est que les morceaux de leur second album "One Thousand Pictures" sont ceux qui ont le plus d’impact ce soir, la qualité de l’écriture de la musique étant supérieure même si l’on prend toujours du plaisir sur des morceaux  comme Mr Understanding ou alors Come On Feet. Mais il est clair que Pete & The Pirates ont énormément progressé. Autre superbe morceau qui me fait furieusement penser aux Kinks, Come To The Bar toujours extrait du dernier album. Le set se termine avec Half Moon Street.

Le groupe revient pour un unique rappel qui démarre à deux cents à l’heure avec Bright Lights une des perles de Little Death le premier album du groupe. Ils vont finir avec Blood Gets Thin encore une tuerie du dernier album. Le concert aura duré 56 minutes, rien à jeter on en redemande, mais c’est la Flèche d’Or et il déjà minuit. J’espère que ce groupe rencontrera le succès qu’il mérite, car comme je l’ai déjà dit ils sont bien au-dessus du lot même si leur manque de charisme peu éventuellement leur nuire. Un petit tour au merchandising ou j’achète les trois CD présents de The Chap. Superbe soirée. »





photos de gilles b



The Chap est un groupe expérimental du North London, formé en 2003. Leur musique est un mix de rock and pop.


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Pete and The Pirates, groupe originaire de Reading, fondé en 2006, propose une musique reposant sur trois voix, 2 guitares, une basse et une batterie. Il maîtrise à sa façon ce rock que l'on aime entendre et ses mélodies accrocheuses dés la première écoute.

(http://www.peteandthepirates.co.uk/)
(http://www.myspace.com/peteandthepirates)
(http://www.facebook.com/peteandthepirates)

 THE CHAP



 2003: The Horse (Lo Recordings)
2005: Ham (Lo Recordings)
2008: Mega Breakfast (Ghostly International/ Lo Recordings)
2008: Builder's Brew Mini-album (Lo Recordings)
2010: Well Done Europe (Lo Recordings)
2011: We Are The Best (Lo Recordings)

 
 
  EP
2005 - Get Even
2006 - Wait Stop Begin

Albums
2008 - Little Death
2011 - One Thousand Pictures



THE CHAP

Keith Duncan - drums, vocals, keyboards
Panos Ghikas - bass, vocals, guitar, violin, computer, keyboards
Claire Hope - keyboards, vocals, melodica
Johannes von Weizsäcker - guitar, vocals, cello, computer, keyboards




 PETE & THE PIRATES

 Tommy Sanders : Vocals
Peter Cattermoul : Bass/Vocals
David Thorpe : Guitar
Jonny Sanders : Drums
Peter Hefferan : Guitar/Vocals



 La Setlist du Concert
THE CHAP


Rhythm Wing
We'll See To Your Breakdown (Well Done Europe - 2010)
Remember Elvis Rex (We Are The Best - 2011)
Torpor (Well Done Europe - 2010)
We Work In Bars (We Are The Best - 2011)
Better Place
Ethnic Instrument (We Are The Best - 2011)
Carlos Walter Wendy Stanley (We Are The Best - 2011)
Even Your Friend (We Are The Best - 2011)
Fun And Interesting (We Are The Best - 2011)
Proper Rock (We Are The Best - 2011)
Hands Free
Bitts!! (Horse - 2003)
Now Woel (Ham - 2005)



La durée du concert : 1h03
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 La Setlist du Concert
PETE & THE PIRATES



Little Gun (One Thousand Pictures - 2011)
Jennifer (Single - 2011)
Cold Black Kitty (One Thousand Pictures - 2011)
Knots (Little Death - 2008)
Can't Fish (One Thousand Pictures - 2011)
Winter 1 (One Thousand Pictures - 2011)
She Doesn't Belong To Me (Little Death - 2008)
Mr Understanding (Little Death - 2008)
Lost In The Woods (Little Death - 2008)
Motorbike (One Thousand Pictures - 2011)
Come On Feet (Little Death - 2007)
United (One Thousand Pictures - 2011)
Come To The Bar (One Thousand Pictures - 2011)
Half Moon Street (One Thousand Pictures - 2011)

Encore

Bright Lights (Little Death - 2008)
Eyes Like Tar (Little Death - 2008)
Blood Gets Thin (One Thousand Pictures - 2011)




La durée du concert : 0h56


AFFICHE / PROMO / FLYER
 

VOLBEAT ~ Le Bataclan. Paris.










ROUTE 666 - EUROPE - AUTUMN TOUR 2011
  Première Partie :



Ce qu’en a pensé Vik :

« Les Danois Volbeat (prononcé Folbeat) depuis 2005 sont un "des nouveaux groupes de Métal " qui apporte un souffle de fraîcheur inattendu dans une époque où il semble impossible de trouver quelque chose de nouveau. Leur formule est aussi simple: une voix mélodique sur un concentré de musique sauvage qui combine l'énergie du punk rock (influence Misfits années 80), les riffs thrashs puissants du métal (influence Metallica), la légèreté du rock ‘n’ roll (années 50) avec la mélodie du country (influence J. Cash) et la véhémence de l’Hard Rock pour créer un mélange vraiment original et unique. La critique les a appelés "Elvis Métal Band", "Thrashabilly" en essayant de vraiment les définir, mais leur particulier style musical met  en crise ceux qui viennent parler de leurs albums. Volbeat, est un groupe atypique lancé à pleine vitesse désormais, principalement en Europe du Nord, et leur musique est solide, techniquement supérieur à la moyenne, avec quelque combinaison intéressante qui peut faire appel à un large public en rallient à leurs concerts des fans ayant les goûts musicales les plus variés. Leur nouvel et quatrième album "Beyond Hell / Heaven Above" poursuit dans les sillages élaborés par les albums précédents, surtout les deux derniers, avec un son reconnaissable entre mille et donne la preuve d'une continuité qualitative du travail des quatre rockers, malgré que le coté Métal a été sacrifié un peu pour une sensibilité pop grandissante laissant en bouche un petit goût amer de moins réussi de son prédécesseur "Guitar Gangsters & Cadillac Blood ". Après avoir fait deux concerts en 2008 à la Scène de la Bastille (le 22 février et le 8 octobre) devant une poignée de fans, ce soir ils sont enfin pour une troisième fois à Paris et miracle... la salle du Bataclan affiche complet, car le bouche à oreille, a bien fonctionné... il y a aussi, en tant que VIP spectateurs,  venus soutenir et applaudir leurs amis, James Hetfield et Robert Trujillo (Metallica).

19H15 : Enfin je retrouve en ouverture de la soirée, Clutch, depuis le 8 juin 2011 (en première partie de Soad au POPB).  J’aime ce groupe qui a un non-look et qui sent beaucoup l’odeur de la poussière du désert du West américain. Sur le Rock tout a été écrit, maintenant il faut juste distinguer ce qui est bon et le cas contraire. Cluth est un groupe sacrément bon, mais en France très peu de personnes le savent. A noter que depuis presque vingt ans de carrière impressionnante, sans être écrasé par le poids de l'âge et sans l’aide des Médias, il nous livre un blues rock sudiste 70s, lourd avec des tendances Funk, Stoner et touchant parfois le psychédélique, dans une chaleur pure et simple mais en même temps réel. Sans oublier le mérite qui va à son chanteur Neil Fallon, qui, avec sa voix chaude et goudronneuse donne aux chansons la saleté dont elles ont besoin pour vivre. On a toujours dit que la musique doit être aussi un véritable spectacle et dans ce cas, Cluctch n’est pas le deuxième, en aucun cas. On ouvre avec Transnational Speedway League de 1993 et suit une chaîne ininterrompue de chansons torrides, énergiques, une condensation de Rock saturé et lancinante...  The Mob Goes Wild, 50,000 Unstoppable Watts, Electric Worry... pour une soirée qui ne peut pas décevoir tous ceux qui aiment le Rock pur et viscérale, stoner et blues jusqu’à la moelle. Le son est puissant mais aussi doux et corsé,  parfait pour être proposé, ainsi que l’attitude du quatuor de rester en contact avec le public. Ces quatre personnages avec leurs sons précis et intenses, ont réchauffé le public dès le début. Très bon au niveau technique, ils ont provoqué un enthousiasme parmi les spectateurs qui se sont lancés immédiatement dans le premier pogo de la soirée.  La température est montée et le Sauna du Bataclan a fait malheureusement son ouverture. 45 minutes de suer, un vrai plaisir pour les oreilles et des tatouages d’étoiles et rayures sur le visage fait à coups de décibels. Un très bon concert d'un groupe sous-estimé qui depuis des années porte en avant le drapeau du Rock, loin des foules et du grand succès, avec les seuls ingrédients : attitude et passion.

20H33 : il commence à faire chaud, les lumières s'éteignent de nouveau et le grondement devient assourdissant quand les projecteurs mettent en relief l’image de "Beyond Hell / Heaven Above" en tant que décor de scène. Volbeat est de retour et il est prêt à offrir un spectacle hautement inflammable pour tous ses fans. Un intro explose en l'air "Listen up here, I'll make it quite clear, I'm gonna put some boogie in your ear..." avec la voix, reconnaissable entre mille, de Lemmy de Motorhead, rien à dire le ton est donné.   Les quatre Danois sont guidés par le chanteur et guitariste Michael Poulsen qui à bien le regarder il semble être juste l’anti Métal par excellence. En synthèse vieille coupe des années 50 avec gelée, style rock'n'roll avec la banane à la Elvis , t-shirt noir sans manches souvenir de Napalm Death, bras tatoués jusqu’aux doigts, jeans '50 noir et santiags: difficile de croire qu'il puisse soutenir la confrontation d’un public de métalleux.  Dès les deux premières chansons Find That Soul et  Hallelujah Goat de l’album Guitar Gangsters & Cadillac Blood (2008) on comprend qu’ils feront ce soir un grand concert : éclairage, son, présence scénique, performance musicale... tout fonctionne parfaitement et on est seulement au début. Michael Poulsen, survitaminé, showman, concentré sur sa Gibson SG noire et blanche, triture sa guitare lui arrachant que des riffs thrashs et endiablés avec une rage sauvage et dans une transpiration qui ne tarde pas à arriver  tellement il fait chaud... les murs du Bataclan sont trempés. Le public est très satisfait, lève les bras droits en air, bouge et ne manque pas une seule note, entre incitations continuelles et applaudissements d'appréciation la fusion entre celui du balcon et celui de la fosse est totale. Réécouter en live ces séries de riffs impétueux, ce goût mélodique avec sourires et grimaces qu’envoi ces influences musicales du passé, atmosphères rock et rockabilly, est certainement satisfaisante. 

Beaucoup d'espace pour les chansons de "Rock The Rebel, Metal The Devil (2007), sept titres,  dont Mr. & Mrs Ness, et l'hommage à Johnny Cash "Sad Man's Tongue", avec Thomas Bredahl qui est appelé à remplir aussi le rôle de guitariste acoustique, avec le chœur unanime et puissante du public pendant l'intro. La fin de la chanson "And the story keep on rollin', out from a sad man's tongue" est reprise par une ovation tonitruante. Mais ce n'était que l'un des moments les plus excitants du concert de Volbeat, mélange fascinant de métal et de son rockabilly. "Do you like to rock and roll? Yeaaaah me too!" avec ces parenthèses de mots, devant un public enthousiaste et amusé par cette musique et aussi par le charisme de Michael Poulsen  et ses compagnons d’aventure, se poursuit ce show qui crée une atmosphère anachronique, malgré le son lourd du mur de guitares.

La réponse du public est stupéfiante : chant, stagediving en alternance, pogo et applaudissements qui ne se fanent jamais. Le groupe semble vraiment touché, remercie en rendant en retour des moments de pur divertissement, comme l'exécution sans faille d’un medley des petites reprise de Metallica, Slayer, Motörhead et même de Queen... We Will Rock You  et  I Want to Break Free. Les chansons les plus reprise en chorale par la foule ont été celles extraites de vieux albums, comme The Human Instrument. Bien sûr, ils ont eu aussi leur part les extraits du dernier Beyond Heaven/Above hell, comme Heaven Nor Hel", Warrior’s Call et "Thanks" (pendant l'exécution de ce dernier, une dizaine de fans ont même invités sur scène). Il y a, bien sûr, les chansons qui sont déjà des classiques tels que Monster Rebel ou Fille de radio et même leur nouvelle 16 Dollars. Sans oublier les dédicaces:  I Only Wanna Be With You , la jolie reprise de Dusty Springfield, pour la femme de Michael Poulsen et aussi Thanks pour tous les fans qui ont fait la gloire du groupe.

Le concert se termine, après un long rappel de 7 titres et un Pool of Booze, Booze, Booza indiablé, dans la chaleur corporelle et la transpiration. Le spectacle à était étonnant, le temps est filé de manière rapide et sans pauses pour ralentir le soir. 100 minutes de vraie énergie, de pure folie joyeuse et imaginez un instant Elvis qui rencontre Motorhead. Une grande performance pour ce groupe danois rock’n’roll plus métal de toujours, entrainant, implacable et impeccable avec un batteur, Jon Larsen, qui cogne comme un forcené aidé par un bassiste, Anders Kjølholm, qui assure vigoureusement, et en dernier un note de crédit est pour le dernier arrivé, Thomas Bredah, dont les origines punk (ex Gob Squad Danois) sont évidents à première vue. Grand concert, grand... la présence de Metallica y est t-il pour quelque chose ? S’ils reviennent, parce que le conditionnel est malheureusement d’obligation, ne le manquez pas, et en attente écouté en boucle Rock The Rebel / Metal The Devil à haut volume ! Et dernier conseil, changez votre coiffure, utilisé de la gelée pour vos cheveux !

Well I've heard that the devil is walking around
I sold my soul way down in the dirt
... »






Clutch est un groupe de stoner rock américain formé à Germantown dans le Maryland en 1990. Chaque album de Clutch est marqué par un son commun qui transparait tout au long de l'album. Le groupe passa du heavy metal, au punk hardcore jusqu'au Hard rock, ajoutant souvent une touche de funk et de Blues caractéristique du groupe.

(http://www.myspace.com/clutchband)
(http://www.pro-rock.com/)
(http://www.facebook.com/pages/Clutch-The-Bakerton-Group-Weathermaker-Music/16637738637?sk=info)

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Volbeat (prononcé folbeat) est un groupe de musique danois formé en 2001 à Copenhague et connu dans un premier temps sous le nom de Dominus. Leur musique est un mélange d'Heavy metal à du Rockabilly, que l'on surnomme Elvis Metal. Cela provient de leurs influences classic rock comme Elvis Presley ou Johnny Cash, mais aussi de groupes plus contemporains comme Metallica ou ACDC. Tous leurs albums studio sont disques d'or au Danemark et le quatrième (Beyond Hell / Above Heaven), qui a reçu une critique positive unanime à l’international, est aussi disque d'or en Suède.




 Album
Transnational Speedway League (1993)
Clutch (1995)
The Elephant Riders (1998)
Jam Room (1999)
Pure Rock Fury (2001)
Blast Tyrant (2004)
Robot Hive/Exodus (2005)
From Beale Street to Oblivion (2007)
Strange Cousins From The West (2009)

Live
Live at the Googolplex (2002)
Live in Flint. Michigan (2004)
Heard It All Before: Live at the Hifi Bar (2007)
Live at the Corner Hotel (2008)
Full Fathom Five: Audio Field Recording  (2008)
Clutch: Live at the 9:30 (2010)





2005 - The Strength / The Sound / The Songs
2007 - Rock the Rebel / Metal the Devil
2008 - Guitar Gangsters & Cadillac Blood
2010 - Beyond Hell / Above Heaven




CLUTCH
Neil Fallon – vocals, guitar, keyboards
Tim Sult – guitar
Dan Maines – bass
Jean-Paul Gaster – drums




VOLBEAT
Michael Poulsen – lead vocals, rhythm guitar (2001–present)
Anders Kjølholm – bass guitar, backing vocals (2001–present)
Jon Larsen – drums, percussion (2001–present)
Thomas Bredahl – lead guitar, backing vocals (2006–present)



 La Setlist du Concert
CLUTCH

Who Wants To Rock? (Jam Room - 2000)
Gravel Road (Robot Hive / Exodus - 2005)
Abraham Lincoln (Strange Cousins from the West - 2009) (Instrumental)
The Mob Goes Wild (Full Fathom Five - 2008)
(Unknown) (New Song)
Big News I (Clutch - 1995)
Subtle Hustle (Blast Tyrant - 2004)
50,000 Unstoppable Watts (Strange Cousins from the West - 2009)
Electric Worry (From Beale Street to Oblivion - 2007)
One Eye Dollar (From Beale Street to Oblivion - 2007)


La durée du concert : 0h45
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 La Setlist du Concert
VOLBEAT



Intro:  Born To Raise Hell (Motorhead Song)
Find That Soul Gangsters & Cadillac Blood - 2008) >
> Hallelujah Goat (Guitar Gangsters & Cadillac Blood - 2008)
Guitar Gangsters & Cadillac Blood (Guitar Gangsters & Cadillac Blood - 2008)
Mr. & Mrs. Ness (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
Heaven nor Hell (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)
Sad Man's Tongue (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
Improvised Medley (Metallica - I Disappear / Motörhead - Ace of Spades / Slayer - South Of Heaven / King Diamond)
The Mirror and the Ripper (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)
Mary Ann's Place (Guitar Gangsters & Cadillac Blood - 2008)
A New Day (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)
The Garden's Tale (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
The Human Instrument (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
We Will Rock You / I Want to Break Free (Queen Cover)
Radio Girl (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
Rebel Monster (The Strength / The Sound / The Songs - 2005)
Still Counting (Guitar Gangsters & Cadillac Blood - 2008)
River Queen (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
16 Dollars (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)

Encore

A Warrior's Call (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)
Fallen (Beyond Hell / Above Heaven - 2010)
Thanks (Beyond Hell / Above Heaven - 2010) ((The band invited fans on stage)
I Only Want to Be with You (Dusty Springfield Cover)(The Strength / The Sound / The Songs - 2005)
Pool of Booze, Booze, Booza (The Strength / The Sound / The Songs - 2005) >
> Boa (JDM) (Rock the Rebel/Metal the Devil - 2007)
Instrumental Medley ((Metallica - Eye Of The Beholder / Slayer - Raining Blood)



La durée du concert : 1h40

AFFICHE / PROMO / FLYER