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mercredi 5 décembre 2012

MARK LANEGAN BAND ~ Le Trabendo. Paris.














~ BLUES FUNERAL TOUR 2012 ~
 Support Act : LYENN - CREATURE WITH THE ATOM BRAIN


Ce qu’en a pensé Émilie :

« Dernier concert de l’année en ce mois de décembre, et pas des moindres, puisque je vais au Trabendo voir le Mark Lanegan Band, pour la troisième fois en 2012 ! Moi qui me plaignais que Mark évitait souvent la France ! Je fais un tour par le merchandising dès mon arrivée et me laisse tenter par un tee-shirt à l’effigie du dernier album Blues Funeral, qui est une vraie petite merveille (et de la part de quelqu’un ayant une fâcheuse tendance à user et abuser à tort et à travers du « C’était mieux avant ! », c’est un vrai compliment, du fond du cœur). J’ai une multitude de tee-shirts QOTSA, j’en arbore un ce soir d’ailleurs, mais je n’en avais pas encore de Mark, problème réglé. Cela dit, le Graal au merch ce soir-là, c’est bien sûr l’EP enregistré par Mark spécialement pour les fêtes de fin d’année, et qui n’est pas trouvable ailleurs. Des personnes sur le forum Onewhiskey ayant prévenu qu’il n’était mis en vente qu’une dizaine d’exemplaires par show, je suis particulièrement heureuse de tenir entre mes mains ce Dark Mark Does Christmas. Malheureusement, n’osant pas prendre trop d’argent sur moi lors des concerts, je ne pourrai pas faire des heureux sur le forum. Et je m’en vais rejoindre le premier rang, où Gilles et Vincent se trouvent déjà (mais Vincent n’y restera pas). Merci les gars pour cette place parfaite ^^


Frédéric Jacques, le bassiste de Mark, ouvre la soirée par une performance solo sous le nom de Lyenn. Il change d’instrument presque à chaque chanson, et quelques larsens n’entameront pas sa joie d’être là. Francophone, il nous remercie chaleureusement de notre attention, c’est vrai que le public est très respectueux ce soir. Malheureusement, pendant le set de Mark, ce ne sera plus autant le cas, mais je ne reviendrai pas davantage sur les différents incidents qui ont émaillé la soirée, pas la peine de faire de la pub à ce genre de personnes. Lyenn nous gratifie donc de ses morceaux tantôt chantés, tantôt hurlés. Sans être vraiment à fond dedans, je trouve l’expérience sympa et originale, loin de l’idée qu’on se fait du singer / songwriter traditionnel.

Vient ensuite Creature With The Atom Brain, avec là encore des membres du Mark Lanegan Band : Aldo Struyf est ici chanteur / guitariste, et on retrouve Jean-Philippe De Gheest derrière sa batterie. Ils sont complétés par Michiel Van Cleuvenbergen à la guitare et l’impressionnant Jan Wygers à la basse. Musicalement, c’est tout ce que j’aime, plutôt stoner, violent sans être bourrin. Vocalement, j’aime beaucoup Aldo également, le problème c’est que je ne l’entends guère (pas toujours si parfait, le premier rang :D). Cela m’inquiète un peu pour la suite, mais pour CWTAB ça peut encore passer car la voix d’Aldo n’est définitivement pas au centre du truc. Mais c’est quand même dommage… On regrettera aussi l’absence d’un petit duo avec Mark sur Black Rider Run (je n’y croyais pas de toute façon), mais la performance reste très bonne dans l’ensemble si on fait l’impasse sur les problèmes de son. Excellent groupe, que j’aurais plaisir à revoir !

Et après une nouvelle pause, c’est enfin le moment tant attendu. Jean-Philippe, Aldo et Frédéric rejoignent leurs instruments, tout comme Steven Janssens, qui en deux concerts s’est placé sans difficulté parmi mes guitaristes préférés. Et le maître entre en scène sous les applaudissements, qui comme d’habitude semblent plutôt le gêner. Pas de préambule, on entre direct dans le vif du sujet avec The Gravedigger’s Song, et mes craintes s’avèrent fondées : je n’irai pas jusqu’à dire que Mark est inaudible, mais sa voix est beaucoup trop en retrait, en tout cas de là où je suis placée, et ça ne s’améliorera guère par la suite. Il est loin, le soundcheck parfait du Rock en Seine ! Entre ça et les aléas dus au public cités plus haut, ce n’est pas le concert parfait dont je rêvais, mais je fais contre mauvaise fortune bon cœur : Mark est tout près de moi, et je peux toujours profiter des exceptionnels solos de Steven. Et d’une setlist qui, bien que centrée sur Blues Funeral, n’omet pas quelques perles du passé comme One Way Street, LA chanson qui m’a convertie à la carrière solo de Mark. Le rappel s’ouvre sur Hangin’ Tree, ce qui me fait évidemment bien plaisir, et se clôt sur Methamphetamine Blues, qui m’évoque les mêmes remarques qu’à Saint-Cloud en août : les chœurs féminins manquent, et le fait de savoir que c’est la fin me gâche un peu le plaisir. Et pourtant, Dieu sait que je l’adore cette chanson !

Grâce à la vigilance de Gilles, je m’en vais faire la queue pour les autographes armée de la setlist. J’ai volontairement omis de regarder les horaires des derniers métros, histoire d’éviter de sortir ça comme excuse pour fuir : je veux mon autographe, et je ne laisserai pas passer cette occasion. J’aurais sûrement pu choper des autographes du groupe en restant près de la scène, les gars officiant aussi en tant que roadies, mais même Steven n’atteint pas la place de Mark dans mon cœur :D Après une attente d’environ ½ heure, je me retrouve face à Mark. Assis, il paraît moins impressionnant, mais j’ai quand même du mal à m’exprimer. Je murmure un « Awesome gig ». Il me grogne un « Thank you, I appreciate it ». Je n’exagère pas, ça tenait vraiment du grognement. Les photos sont interdites, mais de toute façon je n’ai pas d’appareil, et je n’aurais sûrement pas osé demander. Et surtout, surtout, cette rencontre est gravée dans mon cœur. À la limite, les signatures qu’il appose gentiment sur la setlist et l’EP que je lui présente ne sont que du bonus : ce que je voulais, c’était le rencontrer. J’aurais aimé en dire davantage, lui expliquer à quel point sa musique compte pour moi. Mais je pense que nous aurions été aussi mal à l’aise l’un que l’autre, et la queue est encore bien longue derrière moi, alors je m’éclipse, et parviens à attraper le métro pour rentrer chez moi. Et je peux vous dire que les aléas de la soirée sont alors à des milliers de kilomètres de moi : ce soir, enfin, j’ai rencontré Mark Lanegan. Ce soir, j’ai entendu le grognement le plus mélodieux de la Terre !

PS : J’ai appris en rentrant que Bertrand Cantat était à ce concert, je suis fière de partager ses goûts musicaux ! Dommage pour l’autographe manqué, mais je pense que je n’aurais pas osé de toute façon, d’autant que là ce n’était pas son concert à lui, mais sa vie privée.
 »


Mark William Lanegan est un chanteur - compositeur de rock, américain de Ellensburg, Washington, à la voix rauque, successivement membre de The Jury, Screaming Trees, Mad Season, Queens of the Stone Age et The Gutter Twins. Tout droit venu de Seattle, il a travaillé avec des musiciens tels que Kurt Cobain, Layne Staley (au sein de Mad Season), Isobel Campbell, Twilight Singers (dont le leader Greg Dulli est l'autre membre des Gutter Twins), Mondo Generator, Melissa Auf Der Maur,Jeffrey Lee Pierce du Gun Club, Martina Topley-Bird, Masters of Reality, The Desert Sessions, Mike Watt.


 
 Avec Screaming Trees
    •    (1986) Clairvoyance (Velvetone)
    •    (1987) Even If and Especially When (SST)
    •    (1988) Invisible Lantern (SST)
    •    (1989) Buzz Factory (SST)
    •    (1991) Uncle Anesthesia (Epic)
    •    (1992) Sweet Oblivion (Epic)
    •    (1996) Dust (Epic)

En Solo
    •    (1990) The Winding Sheet (SubPop)
    •    (1994) Whiskey For The Holy Ghost (SubPop)
    •    (1998) Scraps At Midnight (SubPop) (avec ses amis des Queens of the Stone Age)
    •    (1999) I'll Take Care of You (SubPop) (album de reprises)
    •    (2001) Field Songs (SubPop)
    •    (2003) Here Comes That Weird Chill (Beggars Banquet)
    •    (2004) Bubblegum (Beggars Banquet)
  •    (2012) Bubblegum (4AD)

Contributions, projets parallèles
    •    (1987) 448 Deathless Days (Steve Fisk)
    •    (1990) Harmony in Defeat (King Krab)
    •    (1992) Jamboree (Beat Happening)
    •    (1993) Satisfied Mind (The Walkabouts)
    •    (1994) Volume 9 (Various Artists)
    •    (1995) Ball-Hog or Tugboat (Mike Watt)
    •    (1995) Over and Thru the Night (Steve Fisk)
    •    (1995) Above (Mad Season)
    •    (1996) Twisted Willie (Various Artists)
    •    (1999) More Oar: A Tribute to the Skip Spence Album (Various Artists)
    •    (2000) Rated R (Queens of the Stone Age)
    •    (2001) Human Beans (earthlings?)
    •    (2001) Sing a Song For You (Various Artists)
    •    (2001) Free the West Memphis Three (Various Artists)
    •    (2001) Desert Sessions 7 & 8 (Various Artists)
    •    (2001) Deep in the Hole (Masters of Reality)
    •    (2001) Give the People What We Want (Various Artists)
    •    (2002) Songs for the Deaf (Queens of the Stone Age)
    •    (2003) Quixotic (Martina Topley-Bird)
    •    (2003) A Drug Problem That Never Existed (Mondo Generator)
    •    (2003) Blackberry Belle (Twilight Singers)
    •    (2004) Time is Just the Same (Isobel Campbell)
    •    (2004) Auf der Maur (Melissa Auf der Maur)
    •    (2004) Leave No Ashes (Burning Brides)
    •    (2004) Demolition Day (Mondo Generator)
    •    (2004) She Loves You (The Twilight Singers)
    •    (2005) Sunday Night: The Songs of Junior Kimsbrough (Various Artists)
    •    (2005) Lullabies to Paralyze (Queens of the Stone Age)
    •    (2005) Dog Train (Sandra Boynton)
    •    (2006) Ballad of the Broken Seas (Isobel Campbell et Mark Lanegan)
    •    (2006) Death By Sexy (Eagles of Death Metal)
    •    (2006) Return of the Golden Rhodes (The Baldwin Brothers)
    •    (2006) A Stitch in Time (The Twilight Singers)
    •    (2007) It's Not How Far You Fall, It's The Way You Land (Soulsavers)
    •    (2007) Era Vulgaris (Queens of the Stone Age)
    •    (2007) About A Son [Original Soundtrack] (Various Artists)
    •    (2007) I'm Not There [Original Soundtrack] (Various Artists)
    •    (2008) Saturnalia (The Gutter Twins)
    •    (2008) I am the Golden Gate Bridge (Creature with the atom brain)
    •    (2008) Sunday at Devil Dirt (Isobel Campbell et Mark Lanegan)
    •    (2008) Future Chaos (Bomb the Bass)
    •    (2008) Adorata (The Gutter Twins)
    •    (2009) Fate to Fatal (The Breeders)
    •    (2009) Transylvania (Creature with the atom brain)
    •    (2009) Consolation (Gary Heffern)
    •    (2009) Broken (Soulsavers)
    •    (2009) Summer's Kiss: A Tribute To The Afghan Whigs (Various Artists)
    •    (2010) Hawk (Isobel Campbell et Mark Lanegan)


MARK LANEGAN BAND

Mark Lanegan : Vocals
Steven Janssens : Lead guitar
Jean-Philippe De Gheest : Drums
Frédéric Jacques : Bass
Aldo Struyf : Keyboards & Guitar


 La Setlist du Concert
MARK LANEGAN BAND



The Gravedigger's Song (Blues Funeral - 2012)
Sleep With Me (Here Comes That Weird Chill (EP) - 2003)
Hit the City (Bubblegum - 2004)
Wedding Dress (Bubblegum - 2004)
One Way Street (Field Songs - 2001)
Gray Goes Black (Blues Funeral - 2012)
Devil in my Mind (Smoke Fairies Cover)(Through Low Light and Trees - 2010)
Harborview Hospital (Blues Funeral - 2012)
Quiver Syndrome (Blues Funeral - 2012)
One Hundred Days (Bubblegum - 2004)
Creeping Coastline of Lights (Leaving Trains Cover)(Well Down Blue Highway - 1984)
Black Rose Way (Screaming Trees Cover)(Last Words: The Final Recordings - 2011)
Riot in My House (Blues Funeral - 2012)
Ode to Sad Disco (Blues Funeral - 2012)
St. Louis Elegy (Blues Funeral - 2012)
Tiny Grain of Truth (Blues Funeral - 2012)

Encore

Hangin' Tree (Queens of the Stone Age Cover)(Songs for the Deaf - 2002)
Methamphetamine Blues (Here Comes That Weird Chill - 2003)



  La durée du concert : 1h18

AFFICHE / PROMO / FLYER



 http://youtu.be/ni4WA68ORUI


jeudi 29 novembre 2012

THE DANDY WARHOLS ~ Le Trianon. Paris.








EUROPE AUTUMN TOUR 2012
Support Band : THE BLUE ANGEL LOUNGE

Ce qu’en a pensé Émilie :


« J’ai tellement adoré leur performance du Rock en Seine (où je m’étais rendue en tant que complète néophyte) que j’ai pris ma place pour ce concert au Trianon des Dandy Warhols dès la mise en vente, tout en sachant que cela m’empêcherait de voir les Hives, que je n’ai pourtant jamais vus sur scène (mais je n’en suis pas ultra fan non plus, sinon je les aurais déjà vus depuis belle lurette).  Troisième concert en trois jours (oui je sais Gilles, on est loin de ton record perso ! ), je commence à fatiguer un peu et me dis que ça serait une bonne idée d’aller me poser tranquillement en haut avec Vincent. C’en aurait été une… si Vincent était vraiment là et pas aux Hives ! :D Je n’ai pas à me plaindre car je déniche une superbe place sur la gauche au premier rang, mais c’est le moment que je choisis pour réaliser que la fosse est quasiment vide et que Gilles et Frédéric sont au premier rang, qui me paraît bien tentant… Seulement le gars de la sécurité a poinçonné mon billet, je ne sais pas trop si j’ai le droit de redescendre, et si jamais je n’ai pas le droit, je risque de me faire piquer ma super place… Comme de surcroît la scène me paraît bien haute pour ma petite taille, je finis par me faire une raison et je profite du confort, et du cadre (le Trianon est un ancien théâtre, très joli, je n’avais pas vraiment profité de la beauté du lieu en me plaçant au fond de la fosse pour Pretty Reckless). Le temps me paraît quand même long, mais les Allemands de The Blue Angel Lounge vont venir interrompre mon ennui de fort belle manière.

En effet, le chanteur a une voix d’ange, et le claviériste, une présence scénique incroyable. Sur le papier, c’est du shoegaze à la The Horrors (les versions studio des chansons m’y ont beaucoup fait pensé) mais en live, ça prend une autre dimension, le groupe est habité par les morceaux, le son est puissant et excellent, certains titres ont un petit côté médiéval… J’ai tellement adoré que j’ai texté Guillaume pendant l’entracte pour prendre des renseignements sur leurs futurs concerts parisiens… Il y en avait un le lendemain, sur lequel j’ai finalement fait l’impasse par fainéantise, et aussi parce que j’ai trouvé que les versions studio ne retranscrivaient pas très bien l’alchimie live (je n’ai pas tout écouté, peut-être que j’ai mal choisi les morceaux). Mais j’adorerais vraiment les revoir, c’était une grosse claque ! 

Après un tel niveau, je craignais presque de m’ennuyer pendant les Dandy Warhols, qui sont assez calmes comparés à la majorité de mes groupes préférés. Mais il n’en fut rien. Je ne possède pour l’instant que leurs trois premiers albums, et ne connais  donc que quelques singles dans la discographie « récente », mais cela tombe bien, la setlist de ce soir est axée plutôt « rétro ». Et les quelques rares titres que je ne connaissais pas se sont très bien intégrés. Comme à son habitude, le groupe joue « en ligne ». C’est étonnant, et très pratique pour profiter pleinement de la prestation de chaque musicien, notamment de celle de Brent DeBoer, qui n’est pas mis en retrait comme le sont fréquemment les batteurs. À gauche, Zia est toute adorable. Avant The Last High, je la vois d’en haut prendre l’appareil photo de Gilles, et comme celui-ci avait déjà commencé à filmer, il se retrouve avec une magnifique vidéo du public, le chanceux !
 Même assise, je suis à fond dans le concert, et le public est au top dès les premiers morceaux, surtout en fosse. Il faut dire que le groupe de Portland est une usine à tubes. Malgré leur réputation de dilettantes, les quatre musiciens sont très pros avec presque vingt années de scène derrière eux ; le seul couac notable viendra de Peter qui enverra valser son micro d’un coup de manche de guitare. Cela m’a fait rire, et je garderai toujours en souvenir le sourire mi-amusé, mi-contrit qu’il adressa à son roadie lorsque celui-ci vint réparer les dégâts. Chez les Dandys, il n’y a normalement pas de rappel ; mais au milieu du set, Courtney s’est offert une petite parenthèse solo à la guitare acoustique sur Everyday Should Be A Holiday, qui sonne là bien mieux que sur l’album ; et à la toute fin, considérant sûrement que nous avions été sages, Zia nous gratifiera a capella de la petite comptine Daisy On My Toe. L’absence de rappel n’est en aucun cas de la fainéantise de la part du groupe, qui nous a offert un show de deux heures sans temps mort. Majoritairement composé de pop songs à reprendre en chœur, le répertoire des Dandys comporte aussi de petites perles telle la ballade Well They’re Gone où Peter donne de l’archet sur sa guitare pour notre plus grand plaisir. Ou des titres plus noisy comme l’entêtante I Love You qui m’avait déjà tapé dans l’œil, pardon l’oreille, lors du Rock en Seine.

Malgré une bonne vingtaine de titres interprétés donc, ce fut trop court pour moi (comme toujours) et je me consolai en allant m’acheter un tee-shirt. Au stand voisin, le chanteur et le claviériste de The Blue Angel Lounge vendaient eux-mêmes leur merch, j’ai essayé de trouver le courage d’aller leur parler… sans succès :D Ce sera pour une autre fois j’espère. J’aurais bien aimé revoir les deux groupes sur une autre date, par exemple celle de Lille, mais j’ai finalement abandonné l’idée, car si je commence à trop sortir de Paris pour les concerts, on ne pourra plus m’arrêter. Et autant rester sur cette soirée parfaite en tous points, en attendant une prochaine tournée française des Dandys, qui j’espère arrivera bien vite. À mon avis, je devrais être gâtée de ce côté, le groupe (et notamment Courtney, qui possède un vin à son nom, rien que ça) étant passionné par notre pays et sa gastronomie renommée. »


The Dandy Warhols est un groupe américain de pop psychédélique, formé en 1993 à Portland (Oregon). Fortement influencé par The Velvet Underground, le groupe a commencé à jouer de la pop psychédélique et il reçut un soutien essentiel en Europe après la sortie de l'album Dandy Warhols Come Down.



Dandys Rule OK (1995)
...The Dandy Warhols Come Down (1997)
Thirteen Tales from Urban Bohemia (2000)
Welcome to the Monkey House (2003)
Odditorium or Warlords of Mars (2005)
...Earth to the Dandy Warhols... (2008)
The Dandy Warhols Are Sound (2009)
This Machine (2012)





THE DANDY WARHOLS

Courtney Taylor-Taylor (1994–present)
Peter Holmström/Peter Loew (1994–present)
Zia McCabe (1994–present)
Brent DeBoer (1998–present)


 La Setlist du Concert
THE DANDY WARHOLS

 
Be-In (...the Dandy Warhols Come Down - 1997)
We Used To Be Friends (Welcome To The Monkey House -2003)
Shakin' (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)

Enjoy Yourself (This Machine - 2012)
Not If You Were The Last Junkie On Earth (...the Dandy Warhols Come Down - 1997)
I Love You (...the Dandy Warhols Come Down - 1997) 
  Rest Your Head (This Machine - 2012)
You Were The Last High (Welcome To The Monkey House - 2003)
The Autumn Carnival (This Machine - 2012)
Godless (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)
Holding Me Up (Odditorium Or Warlords Of Mars - 2005)
Well They’re Gone (This Machine - 2012)
Every Day Should Be A Holiday (acoustic Courtney solo) (...the Dandy Warhols Come Down - 1997)
( You Come In ) Burned (Welcome To The Monkey House - 2003)
Sad Vacation (This Machine - 2012)
Solid (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)
Bohemian Like You (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)
Get Off (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)
Horse Pills (Thirteen Tales From Urban Bohemia - 2000)
Pete International Airport (...the Dandy Warhols Come Down - 1997)
Boys Better (...the Dandy Warhols Come Down - 1997) 

Encore 

 There’s A Daisy On My Toe (Popular song)(Zia solo)

La durée du concert : 1h45

AFFICHE / PROMO / FLYER