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samedi 16 mars 2013

BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC) ~ Le Trianon. Paris.








# 2/2 PARIS
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SPECTER AT FAST TOUR 2013
Support Act : TRANSFER


Ce qu’en a pensé Émilie :

« Vincent a déclaré forfait ce soir-là (pour un problème fréquent sur Paris : conflit de planning avec un autre concert) mais Guillaume m’accompagne. Il voit BRMC pour la première fois ce soir, et n’est pas très branché « ballades », donc j’espère que la setlist sera en adéquation avec ses goûts. Cela dit, comme le piano est resté inutilisé hier soir et qu’il n’est sûrement pas là pour faire joli, ça paraît mal parti. Vincent a demandé à Gilles de prévenir l’autre Gilles pour qu’il nous garde des places au premier rang, mais comme souvent avec cette méthode de téléphone arabe, l’info est mal passée, et c’est une seule place que Gilles P. a réservé, et non deux ! Lorsque nous nous en apercevons, le premier étage étant déjà envahi, nous filons au deuxième étage, où nous parvenons à obtenir malgré tout un premier rang, bien que sur la gauche. Désolé Gilles P.  pour la place gardée pour rien.

Le concert de Transfer est, me semble-t-il, calqué sur celui de la veille. Pas transcendant, mais pas déplaisant non plus. Une première partie différente aurait certes été plus intéressante, mais bon, ne faisons pas la fine bouche. J’ai encore de la compagnie pour l’entracte, c’est cool ^^


Et BRMC sont de retour, ouvrant cette fois-ci sur une autre nouveauté, Fire Walker. Pour ma plus grande joie, une setlist très différente ce soir ? Mes précédentes expériences de « doublés » ayant été peu concluantes à ce niveau, je n’ose espérer. Mais si le groupe reprend la trame de la veille de Let The Day Begin à Berlin, je vais être servie ensuite : en tout, huit morceaux non joués la veille, et un titre de plus d’ailleurs ce soir. Pas mal de ballades comme prévu et j’ai un peu peur en voyant la tête de Guillaume, mais non, le concert lui a plu, c’est plutôt le manque de place pour ses jambes qui posait problème.  Il n’aura pas eu Weapon Of Choice, mais de toute façon elle n’a été jouée aucun des deux soirs, donc pas de regrets à avoir. Pour ma part, je regrette l’absence de Screaming Gun et l’arrivée de Robert du haut des amplis, je n’avais pas raconté ce passage à Guillaume pour ne pas gâcher la surprise, eh bien il n’y a pas eu de surprise finalement. À noter que Robert ne mettra pas du tout sa sacro-sainte capuche de la soirée, bon ça fait groupie de remarquer ce genre de détail, mais c’est vrai qu’elle lui va très bien, cette capuche ;-) Autre bémol, le lightshow, bien moins impressionnant vu de côté (peut-être cette impression vient-elle des titres différents de la veille ? Mais il restait quand même deux tiers identiques, non vraiment, de ce point de vue c’était beaucoup mieux d’être en face).

En revanche, côté setlist, le groupe me fait plaisir avec Red Eyes And Tears (jouée en 19ème position, je commençais à désespérer). Et se fait plaisir aussi (cover de Dylan, et la plutôt rare Windows de Baby 81 qui est la preuve qu’il ne faut pas faire le raccourci piano = ballade, honte à moi). Cette deuxième soirée de suite permet aussi d’avoir les « tubes » zappés la veille, car avec six albums, il devient impossible de les avoir tous en un même soir (Rifles, Shade Of Blue, Awake, et surtout Stop, même si ce n’est pas forcément ma préférée). Avec Six Barrel Shotgun puis Spread Your Love, on reprend l’ordre de la veille, et on sait donc que l’on approche de la fin. Mais Spread Your Love avec mon chéri à côté de moi, c’est indispensable ! 

Le rappel sera identique à celui de la veille, et après un dernier regard vers le tee-shirt « loups » que je décide finalement de ne pas prendre, nous rentrons à la maison, la tête emplie de refrains entêtants. Je suis heureuse d’avoir enfin eu l’occasion d’emmener Guillaume à un concert de BRMC, et je n’ai aucun regret d’avoir fait les deux soirs. Ah ça non, absolument aucun. Red eyes and tears no more for you my love I fear. No more fear, no more fear, I’m in love…  »

Black Rebel Motorcycle Club (BMRC) est un groupe de rock américain originaire de San Francisco et aujourd'hui basé à Los Angeles. Robert Turner (basse, guitare, chant) a choisi un pseudonyme afin de s'affranchir de l'influence de son père, Michael Been, chanteur de The Call.

(http://blackrebelmotorcycleclub.com/news/)



•    2001 : Black Rebel Motocycle Club
    •    2003 : Take Them On, On Your Own
    •    2005 : Howl
    •    2007 : Baby 81
    •    2007 : American X : Baby 81 Sessions
    •    2008 : The Effects of 333
    •    2010 : Beat The Devil’s Tattoo
 •    2013 : Specter At The Fast



BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC)

Peter Hayes – vocals, guitar, bass, synthesizer (1998–present)
Robert Levon Been – vocals, bass, guitar, piano (1998–present)
Leah Shapiro – drums, percussion (2008–present)



 The Setlist
BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC)

 Fire Walker (Specter at the Feast - 2013)
Let the Day Begin (The Call Cover)(Let the Day Begin - 1989)
Rival (Specter at the Feast - 2013)
Hate The Taste (Specter at the Feast - 2013)
Beat the Devil's Tattoo (Single - Beat the Devil's Tattoo - 2010)
Whatever Happened to My Rock 'n' Roll (Punk Song) (Single - B.R.M.C. - 2001)
Ain't No Easy Way (Howl - 2005)
Berlin (Baby 81 - 2007)
Rifles (B.R.M.C. - 2001)
Returning (Specter at the Feast - 2013)
Conscience Killer (Beat the Devil's Tattoo - 2010)
Windows (Baby 81 - 2007)
Visions of Johanna (Bob Dylan Cover)(Blonde on Blonde - 1966) [featuring by Robert Levon Been alone on acoustic guitar]
Lullaby (Specter at the Feast - 2013)
Shade of Blue (Take Them On, on Your Own - 2003)
Funny Games (Specter at the Feast - 2013)
Stop (Take Them On, on Your Own - 2003)
Awake (B.R.M.C. - 2001)
Red Eyes and Tears (B.R.M.C. - 2001)
Six Barrel Shotgun (Take Them On, on Your Own - 2003)
Spread Your Love (Single - B.R.M.C. - 2001)

Encore

Sell It (Specter at the Feast - 2013)

Lose Yourself (Specter at the Feast - 2013)
  La durée du concert : 1h55

AFFICHE / PROMO / FLYER


 http://youtu.be/OfbxNAZQg-g

vendredi 15 mars 2013

BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC) ~ Le Trianon. Paris.









# 1/2 PARIS
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SPECTER AT FAST TOUR 2013
Support Act : TRANSFER


Ce qu’en a pensé Émilie :

« Pour fêter la sortie de leur nouvel album, Specter At The Feast, les Américains de Black Rebel Motorcycle Club nous honorent avec non pas un, mais deux Trianons ! Fidèle à ma réputation, je fais les deux. En ce premier soir, je rejoins Vincent qui m’a réservée une magnifique place au premier rang du premier étage. La première partie est assurée par d’autres Américains, Transfer, dont je n’avais vu que la fin de la prestation en première partie de Kaiser Chiefs à l’Olympia en 2011, suite à quelques problèmes de métro. Aujourd’hui je peux voir l’intégralité de leur show, et même si je passe un moment sympathique, la sauce ne prend pas vraiment. Vincent rejoint mon avis : à trop vouloir ratisser large, ce groupe manque d’identité musicale. On sent qu’ils se cherchent, certains morceaux sont plus accrocheurs que d’autres. En somme, du potentiel, mais pas vraiment exploité.

Pour une fois, le temps passe vite entre les deux groupes, Vincent et moi ne manquant jamais de sujets de discussion entre ses futurs concerts et les miens ^^


Et le trio star de la soirée, j’ai nommé BRMC, entre en scène sur Let The Day Begin, nouveau single et cover de The Call, groupe de feu Michael Been, papa de Robert, le chanteur/bassiste/guitariste qui assurera également ce soir 99 % de la communication avec le public. C’est quelque chose que je n’avais pas forcément remarqué lors des deux concerts du groupe que j’avais vus avant, la discrétion de Peter Hayes. Il faut dire qu’en plus des tâches qu’il partage avec Robert, on le retrouve aussi à l’harmonica ou au clavier, le tout parfois dans une seule et même chanson ! Ce gars est un surhomme. Derrière ses fûts, Leah Shapiro assure, on a bien du mal à croire qu’ils ne sont que trois sur scène. L’ambiance dans le public, mitigée mais correcte sur les nouveaux morceaux, s’améliore avec l’arrivée de Beat The Devil’s Tattoo, titre éponyme de l’album précédent. Je ne saurais trop dire pourquoi, j’ai pourtant trouvé son interprétation un poil moins bonne qu’à l’accoutumée. C’est d’ailleurs mon impression générale du concert, le fait qu’il manquait un petit « truc » indéfinissable pour en faire un concert inoubliable. Il faut dire que le groupe vient de traverser des moments difficiles, et retrouve la scène depuis peu, on leur pardonnera donc volontiers. Et de toute façon, BRMC en petite forme, ça reste du très haut niveau. La preuve avec la classique Whatever Happened To My Rock’n’Roll, qui déchaîne le public en moins de deux. Dans ces moments-là, mon petit gabarit de fille bénit la place assise pour laquelle j’ai décidé d’opter ! D’autant qu’on est parti à présent dans un enchaînement de tubes. Retour au calme ensuite sur la petite nouvelle Returning puis Screaming Gun, que l’on croirait presque interprétée par Peter et Leah seuls avant que Robert et sa basse ne descendent des amplis sur lesquels ils étaient montés dans l’ombre. J’en profite pour noter la qualité exceptionnelle de l’éclairage ce soir, en parfaite adéquation avec les titres joués. Ce n’est vraiment pas le genre de truc auquel je fais très attention d’habitude, donc si je le dis, vous pouvez me croire. 

Le concert continue en alternant nouveautés et anciens titres plus ou moins connus. Ah, In Like The Rose, super ! Spread Your love conclut avec brio la première partie du concert, Robert se payant un petit tour dans le public, avant un court rappel de deux titres de Specter At The Feast. Mais Robert ayant enjoint quelques personnes qui proposaient des titres à revenir le lendemain, je suppose que je peux m’attendre à une setlist différente. Et avec 22 morceaux interprétés, nous approchons déjà les deux heures de concert, ce qui est énorme par les temps qui courent. Robert nous a remerciés la main sur le cœur, avec un air profondément sincère qui fait du bien à une époque où la musique devient de plus en plus une question de pognon.

Je traîne un peu dans le Trianon ensuite, le temps d’hésiter devant un tee-shirt orné de loups au stand de merch, et de dire bonjour à Gilles qui était en fosse comme toujours. Puis je rentre, espérant ne pas manquer de deuxième rappel sur le trottoir comme BRMC ont l’habitude de les faire. Comme je l’ai déjà dit, pour des raisons personnelles et que je n’arrive pas vraiment à définir moi-même, ce n’était pas mon meilleur concert de BRMC. (La méconnaissance du nouvel album qui ne sortait que le lundi suivant, peut-être ?) Mais c’était quand même très bien. De toute façon, un mauvais concert de BRMC, je pense que ça n’existe pas. »


Black Rebel Motorcycle Club (BMRC) est un groupe de rock américain originaire de San Francisco et aujourd'hui basé à Los Angeles. Robert Turner (basse, guitare, chant) a choisi un pseudonyme afin de s'affranchir de l'influence de son père, Michael Been, chanteur de The Call.

(http://blackrebelmotorcycleclub.com/news/)



•    2001 : Black Rebel Motocycle Club
    •    2003 : Take Them On, On Your Own
    •    2005 : Howl
    •    2007 : Baby 81
    •    2007 : American X : Baby 81 Sessions
    •    2008 : The Effects of 333
    •    2010 : Beat The Devil’s Tattoo
 •    2013 : Specter At The Fast



BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC)

Peter Hayes – vocals, guitar, bass, synthesizer (1998–present)
Robert Levon Been – vocals, bass, guitar, piano (1998–present)
Leah Shapiro – drums, percussion (2008–present)



 The Setlist
BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB (BRMC)

 Let the Day Begin (The Call Cover)(Let the Day Begin - 1989)
Rival (Specter at the Feast - 2013)
Hate The Taste (Specter at the Feast - 2013)
Beat the Devil's Tattoo (Single - Beat the Devil's Tattoo - 2010)
Whatever Happened to My Rock 'n' Roll (Punk Song) (Single - B.R.M.C. - 2001)
Ain't No Easy Way (Howl - 2005)
Berlin (Baby 81 - 2007)
Love Burns (B.R.M.C. - 2001)
Returning (Specter at the Feast - 2013)
Screaming Gun (Screaming Gun - EP - 2001)
Conscience Killer (Beat the Devil's Tattoo - 2010)
Teenage Disease (Specter at the Feast - 2013)
Howl (Howl - 2005)[featuring by Robert Levon Been alone on acoustic guitar]
Lullaby (Specter at the Feast - 2013)
White Palms (B.R.M.C. - 2001)
Funny Games (Specter at the Feast - 2013)
Weight of the World (Howl - 2005)
In Like the Rose (Take Them On, on Your Own - 2003)
Six Barrel Shotgun (Take Them On, on Your Own - 2003)
Spread Your Love (Single - B.R.M.C. - 2001)

Encore 

 
Sell It (Specter at the Feast - 2013)
Lose Yourself (Specter at the Feast - 2013)


 

La durée du concert : 1h55

AFFICHE / PROMO / FLYER


 http://youtu.be/OfbxNAZQg-g