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mercredi 29 août 2007

SONIC YOUTH ~ La Grand Halle De La Villette "Charlie Parker". Paris.

 Première Partie : PETER BROTZMANN & HAN BENNINK DUO




Ce qu’en a pensé Philippe D. :

« Pour commencer, un mot sur la salle : divine surprise pour ce premier concert dans la "nouvelle" Halle de La Villette. L'entrée est située du coté ouest du batiment, et non plus face à la fontaine située sur le parvis (toujours en travaux), et, quand on entre, la scène se trouve sur la droite et les gradins sur la gauche, ce qui permet d'accueillir un millier de personnes debout. Quant aux gradins, tout en structures métalliques, leur capacité est de l'ordre de 1500 spectateurs, la première rangée étant située à une bonne quinzaine de mètres de la scène et surplombe le parterre d'environ 3 mètres. Les rangées sont constituées de banquettes en mousse très confortables (rien à voir avec les sièges rouges du Zénith). Des conditions optimales pour profiter du spectacle ! L'accoustique se révèlera d'une exceptionnelle qualité, le son est fort et claque, en fermant les yeux on se croirait à l'Olympia ! Attente très tranquille, avec un public très disparate et très cool, tous les âges sont représentés (évidemment puisque je suis là!), mais assez peu de gamins finalement. La salle s'est remplie lentement mais sûrement, et le public fait un triomphe au groupe lorsqu'il monte sur scène avec ses invités.

"Thanks everybody, we are Sonic Youth and we are from New York City and we're...  It's an honor to be here tonite, we gonna play a set of music (?) with our friends Michel Doneda and on guitar on the center of the stage, Jean-Marc Montera from Marseille, and I believe you already know the wonderful Mats Gustafsson", nous lâche Thurston en guise d'intro, pour nous préciser que la soirée se déroulera en deux parties. Autant vous prévenir tout de suite, c'est bien la deuxième partie que j'attends avec impatience. L'intro à peine terminée, nos huit musiciens (?) s'embarquent dans un délire bruitiste complètement surréaliste, qui évoque parfois la bande son de films d'épouvante (manque plus que la porte qui grince, mais on en n'est pas loin .....), et où on verra Lee abandonner sa guitare, non sans l'avoir à plusieurs reprises fait virevolter face à son ampli, pour agiter des grelots, son compère Thurston triturant la sienne (sa guitare !) successivement avec une baguette, un tournevis et même un archet. Steve est entré progressivement dans ce magma sonore, lui apportant une espèce de texture rythmique, et Kim passant le plus clair de son temps allongée sur sa basse en délivrant sur la fin des gémissements digne d'un rituel vaudou. Le tout entredéchiré par les deux saxophones qui se répondent mutuellement, et font le concours du son le plus distordu de la soirée... La question qui vient à l'esprit : et si cette bouillie sonore nous était délivrée par d'autres que Sonic Youth, comment réagirait le public ? J'ai du mal à croire qu'on puisse trouver ce spectacle passionnant!

Après 10 minutes de break, nos quatre de Sonic Youth reviennent sur scène et je remarque que Thurston a délaissé sa chemise bucheron pour un t-shirt sur lequel apparaissait 4 lettres : HOWL. Etait-ce pour nous prévenir ? Toujours est-il que pendant les 50 minutes qui vont suivre, Sonic Youth a rempli son contrat en étant impérial : les guitares ont hurlé à l'unisson. Le fait de concentrer leur répertoire sur une dizaine de morceaux (4 de « Daydream Nation ») y est sans doute pour quelque chose. On rentre tout de suite dans le vif du sujet avec The Sprawl, les vocaux étant assurés par Kim.

Le son est compact et clair à la fois. Visiblement, ils ont décidé de se lacher, ça s'agite dans tous les sens sur scène. Il faut voir Lee, hilare, balancer des déluges de riffs, pendant que Thurston triture ses 6 cordes comme un forcené. Suit World looks Red, l’un des morceaux les plus énervés de "Rather Ripped". Intense ! Petite fausse note au début de 'Cross the Breeze, la guitare de Lee rese désespérement muette, ce qui vient un peu casser le rythme de ce deuxième set démarré sur les chapeaux de roue. Pendant cet intermède, Thurston se met à délirer, et j'espère qu'il n'aura pas à mettre sa menace à exécution : "Lee's Renaldo guitar is not working right now, eventually repaired in time I hope, because if we don't, we will have to listen to me singing a cappella all fuckin' night long....", tout en égrenant les notes d'intro de 'cross the Breeze. Pendant ce temps, un roadie s'affaire sur l'ampli de Lee, et, après 3-4 minutes, les 2 guitares rugissent de nouveau pour une version débridée de Cross The Breeze, auquel succède The Wonder, délivrée à 100 à l'heure. La réaction du public reste mollassonne compte tenu du déluge d'électricité qui nous est offert. Après Do You Believe In Rapture, seul morceau lent de cette partie, précédé par un intro bruitiste, Sonic Youth nous joue un dernier titre de Daydream Nation, "Hei Joni", puis termine son set avec 2 titres de "Rather Ripped".

Le rappel nous ramène 21 ans en arrière : "Expressway To Yr Skull" qui sera le prétexte à un final un peu à l'image de la première partie : au bout de 5 minutes, les saxos font leur retour sur scène avec le guitariste, pour terminer ce concert sur un nouveau délire, plus électrique cette fois mais toujours aussi chiant, qui va encore durer plus d'un quart d'heure, et pendant lequel une bonne partie de l'assistance va en profiter pour quitter les lieux ! Dommage de gâcher ainsi quelque peu ce concert où on a atteint des sommets : ce soir, j'ai vu Sonic Youth comme je ne les avais plus vus depuis longtemps. A noter l'éclairage magnifique, le plus beau light show depuis les Corrs au Zénith en juillet 2004 ! »




photos de philippe m



Sonic Youth est un groupe de rock indépendant fondé à New York en 1981. Clairement lié à l'éthique et à la culture punk, Sonic Youth a été associé à différents courants musicaux depuis le début des années 1980 : d'abord no wave (1981-1983), puis hard-core (1983-1986), grunge (1989-1992), post-rock (1998-2001). Cette difficile classification est due en partie à un style propre, nourri de très nombreuses influences et créant son propre caractère. La musique de Sonic Youth peut être considérée comme une tentative de déstructuration de la pop music par l'emploi récurrent de dissonances et de distorsions dans des chansons fondées sur des mélodies pop. Les membres de Sonic Youth sont par ailleurs chacun impliqués dans différents projets artistiques annexes (musique, films, ...) et ont parrainé de nombreux groupes indépendants (par exemple Blonde Redhead, mais le plus célèbre étant Nirvana, au début des années 1990).

(http://www.myspace.com/sonicyouth)
 (http://www.sonicyouth.com/)
(http://www.facebook.com/sonicyouth)




•    Sonic Youth (1982)
    •    Confusion Is Sex (1983)
    •    Bad Moon Rising (1985)
    •    Evol (1986)
    •    Sister (1987)
    •    Daydream Nation (1988)
    •    The White(y) Album (publié sous le nom de Ciccone Youth) (1988)
    •    Goo (1990)
    •    Dirty (1992)
    •    Experimental Jet Set, Trash and No Star (1994)
    •    Washing Machine (1995)
    •    Made in USA (1995)
    •    A Thousand Leaves (1998)
    •    NYC Ghosts & Flowers (2000)
    •    Murray Street (2002)
    •    Sonic Nurse (2004)
    •    Rather Ripped (2006)










Kim Gordon (Bass, Guitar & Vocal)
Thurston Moore (Guitare & Vocal)
Lee Ranaldo (Guitar & Vocal)
Steve Shelley (Drums)
Jim O'Rourke : (Guitar, Bass)










La Setlist du Concert
SONIC YOUTH


Noise Jam Part One (with *)
Noise Jam Part Two (with *)

---

Mats Gustafsson : saxophone (*)
Michel Doneda : saxophone (*)
Jean-Marc Montera : guitar (*)

La durée du concert : 0h48


The Sprawl (Daydream Nation - 1988)
The World Looks Red (Confusion Is Sex - 1983)
'Cross The Breeze(False Start) (Daydream Nation - 1988)
'Cross The Breeze (Daydream Nation - 1988)
The Wonder (Daydream Nation - 1988)
Do You Believe In Rapture? (Rather Ripped - 2006)
Hei Joni (Daydream Nation - 1988)
Jams Run Free (Rather Ripped - 2006)
Pink Steam (Rather Ripped - 2006)

Encore

Expressway To Yr Skull (Evol - 1986) -  & gt; Final Jam Outro (with *)

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Mats Gustafsson : saxophone (*)
Michel Doneda : saxophone (*)
Jean-Marc Montera : guitar (*)


La durée du concert : 1h19

AFFICHE / PROMO / FLYER





























Sonic Youth - La Grande Halle De La Villette - 2007



Sonic Youth - Daydream Nation Tour 2007 - Silver rocket



Sonic Youth - Incinerate (Tv Pro Shot)

dimanche 26 août 2007

ROCK EN SEINE (FESTIVAL) 2007 # 5 ~ Le Domaine N. St Cloud. Paris.










5e édition ! 3 jours ! 3 scènes !
Grande scène :



     Ce qu’en a pensé Vik :

« Troisième et dernier acte pour l’édition 2007 de Rock en Seine, après deux journées bien remplies… avec le beau temps toujours au rendez-vous et un ras de marée humain (un peu moins important toutefois que celui constaté pour Radiohead l’an passé) qui envahi le parc de Saint-Cloud pour la tête d’affiche de cette soirée : Bjork. Donc tout s'annonce bien pour cette dernière journée du festival parisien. Après deux jours de musique, de son, de boue, jamais assis, je suis un peu torpillé de fatigue. Je rentre vers 15h3O, par la porte de Sèvre, au parc toujours avec mon sac a dos, par la porte VIP grâce à mon invitation pour récupérer mon bracelet d’accès au Parc que pour cette journée est de couleur « Rouge ». Donc une belle journée ensoleillé qui sera sans aucun doute riches en bons moments… me revoilà en ce dimanche pour cette journée qui s'annonce plus tranquille que les précédentes dévastés par les ouragans Arcade Fire, Jason & Mary Chain, Tool. Allongé sur le gazon, ce qui en reste encore, des jolies filles prennent le soleil pour un bronzage assez fragile de durée. Je traverse le parc en pensant à l’annulation du dernier moment des Horrors, groupe que je voulais voir, et je me dirige vers la barriere de la scène en me plaçant à gauche aux barrières. Face à la sonos et aux roadies. Excellente place : la même que les précédents jours. Je m’installe tranquillement pour toute la journée mais je ne garde pas place pour Gilles B. car il a décidé de ne pas venir aujourd’hui. Stéphane, par contre, ne tardera pas de me rejoindre.
16h15 : MARK RONSON. Quelques errements dans la programmation m’agace quelque peu car on peut toutefois se demander ce que vienne faire à l'affiche Mark Ronson, et en plus ici. Collaborateur d’Amy Winehouse pour le tube "Rehab", à la guitar et avec un orchestre style RNB fait malgré mon avis plutôt bonne impression et captive un peu le public avec sa revue soul. Des morceaux instrumentaux et les titres chantés par différents interprètes se succèdent sans temps morts. Des réprises Amy Winehouse, Radiohead, Robbie Williams…donc un producteur de gros son qui se complait à réarranger sans subtilité des morceaux déjà existants. Un intérêt mineur… bof. Un set de 37 minutes.

17h50 : KINGS OF LEON. Je dois ensuite patienter jusqu'à l'arrivée sur la grande scène des américains Kings of Leon pour retrouver de bonnes sensations de concert. Grand moment de la journée constitué par le set hargneux et sec des KOL : que du bon rock ‘n roll avec riffs de guitares génialement basiques, chant habité, solos chromés et rythmique énormes. Juste une banderole en fond de scène avec le nom du groupe, un jeu de scène réduit au strict minimum, mais une belle efficacité et un choix subtil dans les morceaux. Ils démarrent avec leurs morceaux les plus abrupts avant de glisser lentement vers des ambiances plus calmes, sans pour autant laisser retomber la tension installée. Si ce concert n'avait pas tout à fait l'intensité de celui du Bataclan, il n'en reste pas moins que c'était bien au dessus de la moyenne. Les Kings of Leon, auteurs de ce très chouette set sous le soleil l, auront marqué quelques esprits et était néanmoins de nature à justifier le déplacement. Un set de 5O minutes.
19h40 : FAITHLESS. C'est ensuite les très électro anglais Faithless qui a pour mission de chauffer le public qui commence déjà, plus de deux heures à l'avance, à se placer stratégiquement pour la performance de la petite Islandaise. Bonne surprise, cette musique qu'on pourrait penser réservé aux discothèque, portée par un light-show efficace et une vraie présence sur scène, chauffe le parc. Du coup le public adhère et se trémousse avec bonne humeur. Faithless crée un dancefloor gigantesque, tout le monde saute et bouge dans tous les sens. Le son est tout bonnement énorme, pendant que la foule continue à s'amasser devant! Grosse présence scénique de tous les membres (surtout Melle aux clavier) et une grosse énergie. Le groupe joue des morceaux très dance digne des années 90 et fait remuer la foule comme jamais ! Lorsque les notes du tube interplanétaire "Insomnia" résonnent dans le Parc de Saint Cloud, c'est la folie, on s'installe dans une sorte de spleen et quand Rollo Armstrong, le chanteur principal s’avance devant la foule et clame "This My Church"le public ne se retient plus. C’est le délire dans une ambiance technoïde. Puis avec "God Is A DJ ! " … ces quatre mots se propagent dans l’air et sont instantanément repris par le public, devenu une vague humaine sautante et dansante. Le son gigantesque nous sort de guitares électriques, de basses, de batteries, de percussions et de synthétiseurs maîtrisés habilement par les mains des membres du groupe. Accompagné d’un batteur, d’une percussionniste, d’un guitariste, Faithless ont pour leur part su conquérir une jolie frange du public. Un grand moment de ce festival ! Une bonne grosse suée hyper jouissive. Un set de 58 minutes.
21h4O : BJORK. Tête d’affiche incontournable, la chanteuse à la voix cristalline islandaise Björk n’a pas raté son rendez-vous au Domaine de Saint-Cloud avec un public, visiblement épanouit sous le charme. La plus forte affluence des trois jours du festival, étaient massées devant la grande scène à la nuit tombante pour assister à ce concert très attendu et très rapidement les images du concert magique de Radiohead - l’année dernière au même endroit – me reviennent en mémoire. Enfin, la nuit tombe …un immense "Aaaah !" monte de la foule lorsque Bjork entre en scène. Je ne suis plus un très grand admirateur de la dame mais je suis resté par curiosité avec dans ma tête les souvenirs des ses concerts étranges du PO Bercy. Il y'a un monde fou, tous les fans sont présents pour voir leur idole... Entourée d'une belle section de cuivres (une dizaine de musiciennes) en rouge vert et jaune fluo et de Chris Corsano à la batterie et Mark Bell aux machines (Reactable), pieds nus et habillée d'une splendide robe doré, fuseau blanc sur les hanches, Björk aux pieds nus ne déçoit pas l'attente placée en elle. La scène a été décorée à l'aide d'étendards et drapeaux colorés à l'effigie d'animaux et baigne dans un halo bleu ou violet tandis que des lasers verts zèbrent le ciel. Un show plutôt haut en couleurs, d’une efficacité remarquable et visuellement époustouflant. Elle ouvre son concert avec "Innocence", tirée de son sixième album, "Volta", sorti dernièrement, puis enchaîne avec "Hunter", issue du magnifique "Homogenic" (1997), et s’amuse  façon Spiderman à lancer un immense filet arachnéen. Puis une clameur assourdissante salue les premières notes de "Joga"(1997), et des moments très forts comme sur l’énorme "Army of me" (1995), avec un son apocalyptique, le très rythmé "Earth Intruders" dans des lumières rouges infernales, l’enchaînement magique "Hyperballad-Pluto"…

Björk parcourt toujours la scène en sautillant. Tous les morceaux ont été réarrangés pour la section cuivre et Mark Bell, aux machines, a su donner un gros son et en même temps plein de textures aux chansons pour les transfigurer. La foule semblait bien réagir à ces morceaux un peu expérimentaux mais très dansants. Le spectacle était sans faute. La voix puissante et caractéristique de Bjork saccade comme à son habitude sa diction et le concert alternera moments calmes et passages techno. Dans le ciel brille faiblement une quasi pleine lune. Dès que les chansons sont devenues plus électro, et que le jeu de lumières est devenu explosif, ça a commencé à devenir intéressant. Un des moments du concert était la table à effet/modulaire utilisée pour construire en temps réel les sons. En rappel Bjork fait chanter à la foule un joyeux anniversaire pour deux de ses musiciens et "Declare Independence" en clôture n'est pas loin de déclencher l'hystérie collective avec deux canons qui lancent dans le ciel une multitude confettis dorés et le concert se finit dans un fracas apocalyptique et ahurissant… C'est sur ce grand nuage de pluie de confetti, en apothéose, avec les mêmes lasers verts dans le ciel que pour Tool la veille que la chanteuse quitte la scène et laisse repartir le public, tout sourire et heureux. Bjork a livré un set intense, brûlant d'une émotion rare, plein d'audace et de maîtrise. Un show très beau et au final très agréable à écouter comme à regarder. Tout était donc là pour en faire un concert parfait. Etait-ce trop ? Trop préparé, trop parfait ? Björk reste toujours inclassable mais cette soir a assuré au festival un excellent tomber de rideau. Un set de 84 minutes.
Vient ensuite l'heure de rentrer, de dire adieu au Domaine de Saint Cloud avant la prochaine fois, et de repartir chez soi tranquillement... Au final, ce fut un très bon festival (comme toujours) et le soleil était de la partie, ce qui est suffisamment rare à Rock en Seine et mérite d’être souligné ! Comme les autres éditions de ce festival, il m’a permis de passer un week-end riche en concerts mémorables ! Trois jours de musique ce n'est pas si mal, ça dépayse bien.

A l'année prochaine pour le Festival Rock en Seine 2008 ! »

photos de

Rock en Seine est un festival de rock qui a lieu depuis 2003 dans le parc de Saint-Cloud (département des Hauts-de-Seine), au cœur de jardins historiques dessinés par Le Nôtre. En quelques années d’existence, ce festival est devenu incontournable, grâce à une programmation éclectique de qualité.

(http://www.myspace.com/rockenseine)
 

Mark Ronson  est un producteur, guitariste et DJ d'origine anglaise, artiste et co-fondateur de Allido Records. Il a notamment été récompensé et plusieurs fois nommé pour les Brit Awards ainsi qu'aux NME Awards en tant que Meilleur Artiste Masculin. Il a produit de nombreux albums et titres pour Robbie Williams, Lily Allen, Amy Winehouse, Christina Aguilera, Maroon 5, Nate Dogg, Duran Duran ou Kaiser Chiefs.

 


Kings of Leon est un groupe de rock alternatif américain des années 2000 composé de trois frères et d'un cousin, originaires de Nashville dans l'État du Tennessee. Le nom du groupe provient du père et du grand-père de Nathan, Caleb et Jared, appelés tous deux Leon. Ils sont considérés comme le pendant sudiste des Strokes. Leur genre musical est un mélange de rock sudiste, garage rock, post-punk, country et de hard rock.

 

Faithless est un groupe de musique électronique britannique qui se situe dans la mouvance trip-hop. Fondé à la fin de l'année 1995, Faithless comprend deux membres principaux : Rollo Armstrong, frère de Dido, et la DJ britannique Sister Bliss, reconvertie dans la musique électronique après de brillantes études classiques. Deux autres membres, Maxi Jazz et Jamie Catto ont participé aux plus grands succès de Faithless, tout comme Dido qui a prêté sa voix à de nombreux morceaux, par exemple One step too far.

 


Björk Guðmundsdóttir ([ˈpjœr̥k ˈkvʏðmʏntsˌtoʊhtɪr]) est une musicienne, chanteuse, compositrice et actrice islandaise,de Reykjavík. Il est difficile de la faire entrer dans une catégorie musicale précise : électro-pop, pop underground, pop expérimentale, trip-hop ou indépendant sont autant de qualificatifs qui peuvent lui être attribués. Elle-même considère son style profondément ancré dans la pop, même si elle a su en repousser les limites et y intégrer de nombreuses influences, dont le punk de ses débuts ou encore le jazz.

 


2003 -  Here Comes the Fuzz
2007 - Version



Albums
2003 - Youth and Young Manhood
2004 - Aha Shake Heartbreak
2007 - Because of the Times

EP
2003 - Holy Roller Novocaine


Album
1996 - Reverence
1998 - Sunday 8PM
1998 - Sunday 3PM
1999 - Bring my family back
2001 - Outrospective
2004 - No Roots
2004 - Everything Will Be Alright Tomorrow (Album "No Roots" en version instrumentale)
2005 - Forever Faithless - The Greatest Hits (Compilation)
2006 - To All New Arrivals

Video
2005 - Live At Alexandra Palace
2005 - Forever Faithless - The Greatest Hits


Debut (1993)
Post (1995)
Homogenic (1997)
Vespertine (2001)
Medúlla (2004)
Volta (2007)


MARK RONSON







Mark Ronson : Guitar
+ Band









KINGS OF LEON





Caleb Followill – vocals / guitar
Jared Followill - bass
Matthew Followill – lead guitar
Nathan Followill - drums








FAITHLESS



Sister Bliss - Synthes / Piano
Maxi Jazz - Vocal hip hop
Dido Vocal off
Lee Kenny - Back-Up Vocals
Cassandra Fox - Back Up Vocals
Stan White - Bass
Dave Randall - Guitar
Andy Treacy - Drums
Sudha Khatpal - Percussion





BJORK







Björk : Vocal
+ Band













La Setlist du Concert
KINGS OF LEON 

1. Four Kicks (Aha Shake Heartbreak - 2004)
2. Taper Jean Girl (Aha Shake Heartbreak - 2004)
3. King of the Rodeo (Aha Shake Heartbreak - 2004)
4. My Party (Because of the Times - 2007)
5. Razz (Aha Shake Heartbreak - 2004)
6. Molly's Chamber (Youth & Young Manhood - 2003)
7. The Bucket (Aha Shake Heartbreak - 2004)
8. Milk (Aha Shake Heartbreak - 2004)
9. On Call (Because of the Times - 2007)
10. Fans (Because of the Times - 2007)
11. Spiral Staircase (Youth & Young Manhood - 2003)
12. Knocked Up (Because of the Times - 2007)
13. Charmer (Because of the Times - 2007)
14. Trani (Youth & Young Manhood - 2003)



La durée du concert : 0h50



La Setlist du Concert
BJORK

01. Brennið Þið Vitar
 (Traditional Icelandic)
02. Innocence (Volta - 2007)
03. Hunter (Family Tree - 2002
)
04. Immature (Family Tree - 2002)
05. Jóga (Family Tree - 2002)
06. The Pleasure Is All Mine (Medulla - 2004)

07. Hidden Place (Vespertine - 2001)

08. Pagan Poetry (Family Tree - 2002) 

09. The Anchor Song (Debut - 1993)

10. Earth Intruders (Volta - 2007)

11. Army Of Me (Post - 2001)
12. I Miss You (Post - 2001)
13. Mother Heroic (Family Tree - 2002) 

14. Five Years (Homogenic - 2006)
15. Wanderlust (Volta - 2007)
16. Hyperballad (Family Tree - 2002)
17. Pluto (Homogenic - 2006)

Encore

18. Oceania (Medulla - 2004)
19. Declare Independence (Volta - 2007)