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lundi 2 juillet 2007

THE KOOKS ~ L'Olympia. Paris.













Première partie : Herman Düne

Ce qu’en a pensé Gilles B. :

« Bon, parmi tous les groupes anglais de la nouvelle génération, je dois bien reconnaitre que les Kooks ne font pas partie de mes préférés, malgré l'écoute répétée de leur album « Inside in/Inside out ». Mais le fait que ce concert ait lieu à l'Olympia m'a finalement convaincu de prendre ma place, et du même coup de persuader Vincent de venir (lui-même n'étant guère plus enthousiaste que moi). Ayant des places numérotées à la mezzanine, pas la peine d'arriver spécialement tôt ce soir, je partis donc du boulot tranquillement vers 17h30, pour arriver devant l'Olympia à 18h25. Surprise, une foule importante est déjà massée, avec une majorité de jeunes ados (des filles pour la plupart, déjà complètement excitées) !! La queue fait déjà bien 200 mètres, constituée évidemment pratiquement que de gens qui iront dans la fosse. 18H30, je regarde d'un air amusé l'ouverture des portes : cris hystériques, bousculades... J'arrive à compter 50 filles qui rentrent avant de enfin voir un garçon. Ça promet une ambiance de folie !! Vincent arrive enfin, on va prendre un pot tranquillement, discuter de notre blog ainsi que du futur book concerts 2006/2007. Il est 19h30, nous nous dirigeons tranquillement vers l'entrée de la salle, direction la mezzanine où nous sommes placés, plein centre, au 2ème rang, soit des conditions parfaites. La fosse est bondée, les videurs évacuent déjà quelques personnes alors que la première partie n'a pas encore commencée.

La première partie, parlons en : il s'agit de Herman Düne, un groupe dont j'ai beaucoup entendu parler, généralement en bien. Nous allons voir cela : il est 20h00, le timing est parfait, Herman Düne arrivent sur scène et se présentent en Français. Il faut dire que derrière le nom de Herman Düne, se cachent en vérité deux frères : André, présent ce soir, et David-Ivar. Tous deux sont de nationalité franco-suédoise, d'où une certaine ambigüité sur la nationalité du groupe. Mais qu'importe !... Je suis plus inquiet par la dégaine de André Herman Düne (genre bab sur le retour), qui me laisse envisager le pire. Premier morceau, premiers riffs de guitare et la salle explose déjà ! Surprenant ! Il faut dire que le public de maintenant est beaucoup plus tolérant qu'à une certaine époque où les premières parties se faisaient carrément jeter. Mais là, je dois dire que Herman Düne nous propose un excellent show, très entraînant, jamais ennuyeux. Une musique rayonnante qui sent bon les îles, de la pop qui semble simple mais avec un je ne sais quoi en plus (les percussions, la guitare ?) qui nous propulse vers le soleil : de la joie, simplement. Et le public suit. Tous les morceaux, qui sont en Anglais, ont droit à une introduction : leur traduction française, ainsi qu'une explication sommaire. Sympa je trouve ! Excellente surprise donc, alors que je m'attendais vraiment à un tout autre style de musique... Comme quoi, même après quelques décennies d'écoute intensive de Rock, on n’est jamais à l’abri de surprises, de découvertes.

Leur set aura duré 45mn, le rideau tombe pour préparer la scène aux Kooks, le balcon se remplit peu à peu pendant ce temps, les places juste devant nous seront occupés par des gens ayant des pass "all access".Je râle toujours, car j'estime que les invités, généralement peu ou pas intéressés par le spectacle, ne devraient pas bénéficier des meilleures places... Quand je pense que derrière moi, plusieurs sièges étaient vides, cela m'énerve d'autant plus. Mais passons...

The Kooks débarquent maintenant sur scène, sous l'ovation que vous pouvez imaginer. Les jeunes filles assises à coté de moi commencent à pousser des petits cris aigues, synonymes de pré-orgasme. Le show débute par Seaside, la même chanson qui ouvre l'album, mais dans une version plus électrique et énergique. Les gens reprennent les paroles qu'ils connaissent par coeur, la fosse ondule sur toute la largeur, mieux vaut être au premier rang que juste derrière car cela sera difficile à tenir pour certain(es) ! D'ailleurs les videurs s'activent en permanence pour procéder aux évacuations. Le concert démarre vraiment très fort avec une successions de chansons assez prenantes, dont Ooh La (un des seuls morceaux que je connaissais bien avant le concert), suivi de près du très beau She Moves In Her Own Way. Je regarde Vincent, dont la tête bouge de quelques centimètres, signe d'une intense satisfaction !! Ce qui est bizarre, c'est qu'après cette première demi-heure menée tambour battant et vraiment agréable, la tension retombera tout doucement pour la seconde partie. Fatigue du public ? Je pencherais plutôt pour une construction du set qui intégré nombre des meilleurs morceaux dans la première demi-heure, la seconde étant forcément moins intéressante, avec des compositions plus ternes.

Mais nous aurons droit quand même à un très bon final (je me suis d'ailleurs levé pour le dernier quart d'heure). Un mot du son, impeccable comme d'habitude à l'Olympia, puissant et clair. L'éclairage n'était pas en reste non plus, avec, sur tout le fond de la scène, « The Kooks » en gigantesque lettres lumineuses. On pourra quand même regretter la durée du concert: 58 minutes, c'est vraiment peu !!!

Pour conclure, il est clair que le groupe prend une autre dimension sur scène, mais il y a eu une grosse baisse de régime dûe tout simplement au fait que, excepté 3 ou 4 morceaux, le reste des compositions est d'un niveau beaucoup plus faible. Il faudra voir ce que donnera le second album. Nous avons quand même passé une bonne soirée, qui m'aura permis de découvrir Herman Düne, et d’apprécier un public assez exceptionnel au niveau de l'énergie ! »






photos de olivier p

The Kooks est un groupe d'indie pop anglais formé en à Brighton en 2001.  Leur premier album s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires au Royaume-Uni. Ces 4 jeunes anglais se sont rencontrés dans une école de musique. Leur musique étant principalement influencé du mouvement British Invasion en 1960 et du post-punk du nouveau millénaire, The Kooks se définit lui même comme un groupe "pop". Avec des chansons décrites comme "accrocheuses comme l'enfer", The Kooks a experimenté un bon nombre de genres différents, tels que le Rock, la Britpop, la Pop, le Reggae et le Ska.


2006 - Inside In/Inside Out





Luke Pritchard – Voice & Guitar
Paul Garred - Drums
Hugh Harris – Guitar & Backing Vocals
Max Rafferty – Basse & Backing Vocals









La Setlist du Concert
THE KOOKS

Seaside (Inside In/Inside Out - 2006)
See The World (Inside In/Inside Out - 2006)
Eddie's Gun (Inside In/Inside Out - 2006)
Matchbox (Inside In/Inside Out - 2006)
Ooh La (Inside In/Inside Out - 2006)
Time Awaits (Inside In/Inside Out - 2006)
She Moves In Her Own Way (Inside In/Inside Out - 2006)
Oil
Sway
I Want You Back (Inside In/Inside Out - 2006)
Naive (Inside In/Inside Out - 2006)
Always Where
You Don't Love Me (Inside In/Inside Out - 2006)

Encore

Jackie Big Tits (Inside In/Inside Out - 2006)
Make Love
Sofa Song (Inside In/Inside Out - 2006)

La durée du concert : 0h58

AFFICHE / PROMO / FLYER




THE KOOKS ~ L'Olympia. Paris.













Première partie : Herman Düne

Ce qu’en a pensé Vik. :

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photos de 

The Kooks est un groupe d'indie pop anglais formé en à Brighton en 2001.  Leur premier album s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires au Royaume-Uni. Ces 4 jeunes anglais se sont rencontrés dans une école de musique. Leur musique étant principalement influencé du mouvement British Invasion en 1960 et du post-punk du nouveau millénaire, The Kooks se définit lui même comme un groupe "pop". Avec des chansons décrites comme "accrocheuses comme l'enfer", The Kooks a experimenté un bon nombre de genres différents, tels que le Rock, la Britpop, la Pop, le Reggae et le Ska.


2006 - Inside In/Inside Out





Luke Pritchard – Voice & Guitar
Paul Garred - Drums
Hugh Harris – Guitar & Backing Vocals
Max Rafferty – Basse & Backing Vocals









La Setlist du Concert
THE KOOKS

Seaside (Inside In/Inside Out - 2006)
See The World (Inside In/Inside Out - 2006)
Eddie's Gun (Inside In/Inside Out - 2006)
Matchbox (Inside In/Inside Out - 2006)
Ooh La (Inside In/Inside Out - 2006)
Time Awaits (Inside In/Inside Out - 2006)
She Moves In Her Own Way (Inside In/Inside Out - 2006)
Oil
Sway
I Want You Back (Inside In/Inside Out - 2006)
Naive (Inside In/Inside Out - 2006)
Always Where
You Don't Love Me (Inside In/Inside Out - 2006)

Encore

Jackie Big Tits (Inside In/Inside Out - 2006)
Make Love
Sofa Song (Inside In/Inside Out - 2006)

La durée du concert : 0h58

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