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vendredi 6 avril 2007

ROSE TATTOO ~ L'Empreinte. Savigny Le Temple.












Première Partie : GUTBUCKET + AESTHESIA

* BLOOD BROTHERS EUROPEAN TOUR 2007*



Ce qu’en a pensé Vik :

« It's real fuckin' hard rock n'roll ?


»







photos de marco



 

Rose Tattoo est un groupe de hard rock australien formé par Peter Wells, ex-bassiste du groupe Infamous Buffalo, en 1976. Souvent comparé à AC/DC, le groupe mixe du blues et du rock. Le groupe influença toute une génération, avec des groupes tels que Guns N' Roses, L.A. Guns ou Nashville Pussy.

 

1978: Rose Tattoo
1981: Assault and Battery
1982: Scarred For Life
1984: Southern Stars
1986: Beats From a Single Drum
1986: A Decade of Rock (compilation)
1992: Nice Boys Don't Play Rock n Roll (compilation)
1999: Never Too Loud (compilation)
2000: 25 To Life (album live)
2002: Pain
2007: Blood Brothers








 Angry Anderson - Vocal
Dai Pritchard - Slide Guitar & Vocals
Mick Cocks - Rhythm Guitar
Stephen King  - Bass
Paul DeMarco - Drums








La Setlist du Concert
ROSE TATTOO

Man About Town (Blood Brothers - 2007)
One Of The Boys (Rose Tattoo - 1978)
Black Eyed Bruiser (Stevie Wrights Cover) (Blood Brothers - 2007)
Rock'n'Roll Outlaw (Rose Tattoo - 1978)
1854 (Blood Brothers - 2007)
Bad Boy For Love (Rose Tattoo - 1978)
Stand Over Man (Blood Brothers - 2007)
Assault And Battery (Assault & Battery - 1981
Tramp (Rose Tattoo - 1978)
The Butcher And Fast Eddy (Rose Tattoo - 1978)
Rock'n'Roll Is King (Assault & Battery - 1981)
Nothing To Lose (Blood Brothers - 2007)
Scarred For Life (Scarred For Life - 1982)
Manzil Madness (Assault & Battery - 1981
17 Stitches (Pain - 2002)
Sweet Meat (Blood Brothers - 2007)
Nice Boys (Don't Play R'n'R)(Rose Tattoo - 1978)

Encore

We Can't Be Beaten (Scarred For Life - 1982)
Once In A Lifetime (Blood Brothers - 2007)
Astra Wally (Rose Tattoo - 1978)


La durée du concert : 1h40

AFFICHE / PROMO / FLYER



THE STRANGLERS ~ La Cigale. Paris.








Première partie: BP ZOOM



Ce qu’en a pensé Gilles B.:

« Mais pourquoi donc avais-je acheté mon billet pour les Stranglers depuis 5 mois environ ? Pour moi, le groupe était mort depuis le départ de Hugh Cornwell, le dernier concert ou je les avaient vus (au Grand Rex en 1990) étant décevant. Mais la curiosité m'avait fait acheté le très bon « Norfolk Coast » en 2004 (je n'avais d'ailleurs pas été à leur concert à ce moment-là). Depuis, ils étaient revenus à la formule de base, avec comme second chanteur et guitariste Baz Warne, et la sortie d'un très honorable 16ème album a fini par me convaincre de prendre ma place. C'est donc par un splendide vendredi ensoleillé, annonciateur de l'été, que j'arrivai à la Cigale pour mon 8ème concert des Stranglers, rejoint peu de temps après par Eric (cela fait vraiment plaisir de le revoir aux concerts) et Patrick, un fan de la première heure. Beaucoup de spectateurs portant des t-shirts à l'effigie des étrangleurs, pas mal d'Anglais et en tout cas, beaucoup de fans purs et durs. L'ouverture des portes se fait relativement tôt et je me dirige vers le premier rang, légèrement sur la gauche, pour être juste devant JJ Burnel. A ma grande surprise, le balcon de la Cigale est fermé, ce qui indique que les locations ont été très moyennes, malgré le fait qu'il semble que la tournée soit sold out partout (d'après une fan...). Peu importe, nous sommes idéalement situés.

En première partie comme annoncé sur le billet, un jeune groupe du nord de la France du nom de BP Zoom. Leur look, c'est pas ça du tout - style Good Charlotte et autres groupes de skate rock américain -, faudra changer cela, les gamins !!! La musique, elle par contre, est plutôt influencée par du rock plus traditionnel style AC/DC (avec une bonne reprise de If You Want Blood, You've Got It), mais les morceaux chantés en Français laissent à désirer. Décidément, notre langue est difficilement adaptée à ce genre de musique. Gentil succès d'un public qui il y a 25 ou 30 ans les aurait certainement hués, 40mn de concert.

Le public, justement, est assez âgé, mais j'ai quand même vu pas mal de jeunes, parfois avec leurs parents ! C'est un peu à ce moment là que je me suis mis à prendre conscience que j'allais voir en concert l'un des groupes que j'avais le plus aimés et écoutés. Mais qu'étaient-ils devenus ??

Entrée sur scène des Hommes en Noir et surprise, Jet black (68 ans) est absent, à sa place un jeune batteur. JJ Burnel nous expliquera plus tard que Jet Black avait été emmené à l'horizontal à l'hôpital quelques jours auparavant (a priori une infection au poumon assez grave) et que son roadie avait donc pris sa place. Et d'entrée, The Stranglers d'attaquer le concert avec 5 minutes, enchainé avec Grip, cela commence très très fort : Burnel est égal à lui-même, jouant de la basse à la manière d'un félin, Dave Greenfield lui étant tout sourire derrière ses claviers. On part ensuite sur le nouvel album, avec Spectre Of Love: ils joueront à peu près 4 morceaux de Suite XVI, avec une version assez marrante de I Hate You, leur premier morceau country, influencé par Johnny Cash (dixit JJ Burnel), précédé d'un speech ironique sur Bush et Blair. Passage obligatoire par leurs anciens tubes (Golden Brown et Always The Sun) qui, pour moi, ne sont évidemment pas les morceaux essentiels du concert, plutôt un passage obligé pour contenter tout le monde. Une grosse tuerie avec une superbe version de l’un de mes morceaux préférés, Death & Night & Blood (j'y perdrai ma voix ce soir-là, ayant déjà mal à la gorge avant le concert). Un seul et unique morceau de l'excellent « Norfolk Coast » sera interprété, Lost Control. Assez surprenante fut l'interprétation de Walk On By, car si je savais qu'ils jouaient ce morceau à leurs tous débuts, je ne me rappelle pas l’avoir entendu lors des 7 précédents concerts que j'ai vus. Bonne version ensuite de All Day And All Of The Night, même si j'aurais préféré qu'ils jouent l’une de leurs anciennes compositions plutôt que cette reprise classique des Kinks.

La tuerie finale arrive enfin avec Duchess, London Lady et le fantastique Nuclear Device avec son intro à la basse si caractéristique des Stranglers. JJ Burnel est de plus en plus souriant et extrêmement en forme. Je commence à souffrir devant car cela pousse dur derrière moi. Ils reviennent nous achever avec Hanging Around suivi de No More Heroes, c'est la curée, JJ Burnel est torse nu, des Anglais essaient de s'infiltrer mais j’arrive à résister avec les dernières forces qu'il me reste.

Chapeau bas, ce fut une grande surprise, quel énorme plaisir de réécouter tous ces fabuleux morceaux ! On en vient à regretter qu'ils n'aient pas joué une heure de plus (j'aurais tant aimer qu'ils jouent Down In The Sewer, Tank ou Toiler On The Sea)... mais qu'importe, la fête fut belle, pas du tout nostalgique, et la composition de la set list presque parfaite. 1H25 de concert incluant 2 rappels, et, pour mémoire, ils n'ont joué aucun morceau de Aural Sculpture ni de Feline. Ce fut une bonne claque que l'on a prise ce soir malgré l'absence de Hugh Cornwell. Oui, les Stranglers ont commis quelques uns des meilleurs albums de la période punk, même si bizarrement leur musique ne l'était pas vraiment, l'esprit y était (et le public aussi à cette époque). Dernière chose, le son était bon, pas ultra fort, mais martelé par la basse de Burnel, l'orgue et la guitare étant un peu en retrait... mais moi j'étais surtout venu pour être devant Jean Jacques Burnel. »










The Stranglers est un groupe de rock new wave britannique formé le 11 septembre 1974 à Guildford, qui sera associé au mouvement punk puis New Wave. Ils sont apparus surfant sur la première vague punk anglaise, mais ils n'ont jamais arrêté ni regardé en arrière : the Stranglers. Nom mythique, faisant courir un frisson sur l'échine des amateurs... Les Hommes en Noir sont depuis toujours menés par Jean-Jacques Burnel, sans doute l'un des meilleurs bassistes du monde. L'attitude du groupe sur scène est haineuse envers son public et la femme est considérée comme un objet sexuel au travers de titres tels que London lady ou Bring on the nubiles. Pourtant, les critiques rock hésitent à mettre les Stranglers au niveau de groupes punks de l'époque tels que les Sex Pistols ou les Clash car leurs mouvements semblent être calculés. En 1978, les Stranglers enregistrent Black and white et sont virés de leur label. Le groupe se concentre alors sur ces fans européens. Il signe entre autre Stanglers IV (1980), La folie (1981), Great lost (1983), Aural sculpture (1984) et Dreamtime (1987). Au cours des années 90, les Stranglers tentent de conquérir l'Amérique avec des reprises telles que All day and all of the night des Kinks mais échouent. Ils signent entre autre Stranglers in the night (1993), About time (1995) et Written in bed (1997). Suivent plusieurs albums dont Norfolk Coast et Suite XVI.

(http://www.myspace.com/thestranglers)
(http://www.stranglers.net/)
(http://www.facebook.com/pages/Stranglers/17330543105)


Rattus Norvegicus (1977)
No More Heroes (1977)
Black and White (1978)
The Raven (1979)
The Gospel According to The Meninblack (1981)
La Folie (1981)
Feline (1983)
Aural Sculpture (1984)
Dreamtime (1986)
10 (1990)
Stranglers In the Night (1992)
About Time (1995)
Written in Red (1997)
Coup de Grace (1998)
Norfolk Coast (2004)
Suite XVI (2006)
 




Baz Warne : Vocal & Guitar
JJ Burnel : Bass & Vocal
Jet Black : Drums
Dave Greenfield : Keyboards








La Setlist du Concert
THE STRANGLERS




Five Minutes (No More Heroes - 1977)
(Get A) Grip (On Yourself) (Rattus Norvegicus - 1977)
Spectre Of Love (Suite XVI - 2006)
Nice 'N' Sleazy (Black And White - 1978)
Death & Night & Blood (Death & Night & Blood - 1993)
Unbroken (Suite XVI - 2006)
Peaches (Rattus Norvegicus - 1977)
Always The Sun (Dreamtime - 1986)
Golden Brown (La Folie - 1981)
I Hate You (Suite XVI - 2006)
Lost Control (Norfolk Coast - 2004)
Summat Outnowt (Suite XVI - 2006)
Walk On By (Bonus track - Black And White - 1978)
Relentless (Suite XVI - 2006)
Burning Up Time (No More Heroes - 1977)
All Day And Of The Night (Greatest Hits 1977*1990 - 1992)
Duchess (The Raven - 1979)
London Lady (Rattus Norvegicus - 1977)

Encore 1

Nuclear Device (The Raven - 1979)
Dagenham Dave (No More Heroes - 1977)

Encore 2

Hanging Around (Rattus Norvegicus - 1977)
No More Heroes (No More Heroes - 1977)

La durée du concert : 1h25

AFFICHE / PROMO / FLYER