Ce qu’en a pensé Émilie :
« Ayant un peu mal anticipé notre temps de trajet ce soir, Guillaume et moi arrivons au Bataclan pile-poil pour le début de la première partie. Heureusement, si nous n’avons pas eu le temps de repérer Vincent avant l’extinction des lumières, lui nous a vus et est donc venu nous récupérer. J’ai l’impression de le dire pour la millième fois alors que ce ne doit être que la centième, mais merci pour ce nouveau premier rang impeccable comme toujours.
Je ne vais pas trop m’étendre sur A-Vox, le duo Lillois qui ouvrait ce concert. La chanteuse, Anthéa, est mignonne et pleine d’énergie, sautillant partout et headbanguant comme si le groupe faisait du métal, mais les points positifs pour ma part s’arrêteront là. Un peu de clavier et de batterie par-ci par-là ne fait pas un groupe. Et si je trouvais l’anglais de la demoiselle pas forcément très maîtrisé, je l’ai regretté quand l’ultime titre en français est arrivé… Mais bon, ce style d’électro devrait leur permettre d’aller loin, je suppose que c’est juste moi qui suis trop vieille pour tout ça maintenant, et c’est quand même une belle performance et un honneur pour un petit groupe français de se retrouver à ouvrir pour un grand artiste comme Miyavi. En plus, c’était toujours mieux que le DJ de la fois précédente…
Place maintenant à Miyavi, star incontestée de la soirée, dont les fans (majoritairement féminines) nous perceront les tympans dès la montée sur scène du guitariste japonais, qui est toujours accompagné à la batterie par son fidèle Bobo. Comme un nouvel album, The Others, est sorti cette année, je suis surprise de voir arriver l’incontournable What’s My Name dès le deuxième morceau, alors que nous l’avions eu en clôture la dernière fois. Connaissant finalement fort peu la discographie de Miyavi, ce sera bien sûr un des grands moments de la soirée pour moi (par contre, toujours pas de Are You Ready To Rock ). Le son est très bon, et la maîtrise de leur instrument par les deux musiciens toujours aussi impressionnante. Si le dernier opus se taille finalement une place de choix dans cette setlist assez courte (couvre-feu oblige), Miyavi n’oublie pas d’autres classiques comme What a Wonderful World ou la beaucoup plus récente Secret.
Si côté vestimentaire et capillaire, Miyavi est maintenant beaucoup plus sage qu’il ne l’était la première fois que nous l’avions vu à l’Olympia (le 6 juillet 2008), hormis son jeu de guitare non conventionnel et extraordinaire, il y a autre chose qui ne change pas avec les années : son bavardage incessant avec le public entre les morceaux. Si les phrases du style « J’ai une responsabilité en tant qu’artiste » ou « Aimez-vous les uns les autres » peuvent paraître clichés et rébarbatives, finalement on se dit que cela fait quand même du bien d’entendre ça plutôt que de voir un mec sur scène qui encaisse le chèque sans se soucier des gens pour qui il joue. Il récapitulera même ses différents passages dans la capitale française avec le public. Par ailleurs, loin de ramener sans cesse la couverture à sa petite personne, le chanteur attirera souvent l’attention de ses fans sur Bobo, qui comme à son habitude assure derrière les fûts.
Le rappel ouvre sur la récente cover de l’immortel thème de Mission: Impossible, enregistré pour le cinquième épisode cinématographique de la saga, dans les studios de Hans Zimmer à Los Angeles, excusez du peu. Son jeu exceptionnel (et sa maîtrise de la langue anglaise) ouvrent bien des portes au Japonais, dont la carrière est déjà exceptionnelle, alors qu’il n’a encore que 34 ans. On ne peut que lui souhaiter de continuer comme ça… Pour l’heure, inconditionnelle de la série quand j’étais petite (la version « 20 ans après », je ne suis pas si vieille ;-)) et déjà très fan de la version de Limp Bizkit, Take a Look Around, je profite à fond de ce moment. Il est un peu dommage que le titre, qui aurait fait selon moi une clôture parfaite, soit suivi de deux morceaux en semi-playback, même si je peux comprendre que Takamasa Ishihara souhaite profiter un peu des gens en face de lui, ce qu’il fera d’ailleurs longuement à la toute fin du concert, serrant des mains à n’en plus finir. Que dire de plus ? C’était la quatrième fois pour nous, et la dextérité du monsieur, couplée à sa gentillesse et à son originalité, nous ont comme d’habitude fait passer une excellente soirée. Merci beaucoup Miyavi et Bobo pour ce grand concert, I’m ready to rock next time! »
Je ne vais pas trop m’étendre sur A-Vox, le duo Lillois qui ouvrait ce concert. La chanteuse, Anthéa, est mignonne et pleine d’énergie, sautillant partout et headbanguant comme si le groupe faisait du métal, mais les points positifs pour ma part s’arrêteront là. Un peu de clavier et de batterie par-ci par-là ne fait pas un groupe. Et si je trouvais l’anglais de la demoiselle pas forcément très maîtrisé, je l’ai regretté quand l’ultime titre en français est arrivé… Mais bon, ce style d’électro devrait leur permettre d’aller loin, je suppose que c’est juste moi qui suis trop vieille pour tout ça maintenant, et c’est quand même une belle performance et un honneur pour un petit groupe français de se retrouver à ouvrir pour un grand artiste comme Miyavi. En plus, c’était toujours mieux que le DJ de la fois précédente…
Place maintenant à Miyavi, star incontestée de la soirée, dont les fans (majoritairement féminines) nous perceront les tympans dès la montée sur scène du guitariste japonais, qui est toujours accompagné à la batterie par son fidèle Bobo. Comme un nouvel album, The Others, est sorti cette année, je suis surprise de voir arriver l’incontournable What’s My Name dès le deuxième morceau, alors que nous l’avions eu en clôture la dernière fois. Connaissant finalement fort peu la discographie de Miyavi, ce sera bien sûr un des grands moments de la soirée pour moi (par contre, toujours pas de Are You Ready To Rock ). Le son est très bon, et la maîtrise de leur instrument par les deux musiciens toujours aussi impressionnante. Si le dernier opus se taille finalement une place de choix dans cette setlist assez courte (couvre-feu oblige), Miyavi n’oublie pas d’autres classiques comme What a Wonderful World ou la beaucoup plus récente Secret.
Si côté vestimentaire et capillaire, Miyavi est maintenant beaucoup plus sage qu’il ne l’était la première fois que nous l’avions vu à l’Olympia (le 6 juillet 2008), hormis son jeu de guitare non conventionnel et extraordinaire, il y a autre chose qui ne change pas avec les années : son bavardage incessant avec le public entre les morceaux. Si les phrases du style « J’ai une responsabilité en tant qu’artiste » ou « Aimez-vous les uns les autres » peuvent paraître clichés et rébarbatives, finalement on se dit que cela fait quand même du bien d’entendre ça plutôt que de voir un mec sur scène qui encaisse le chèque sans se soucier des gens pour qui il joue. Il récapitulera même ses différents passages dans la capitale française avec le public. Par ailleurs, loin de ramener sans cesse la couverture à sa petite personne, le chanteur attirera souvent l’attention de ses fans sur Bobo, qui comme à son habitude assure derrière les fûts.
Le rappel ouvre sur la récente cover de l’immortel thème de Mission: Impossible, enregistré pour le cinquième épisode cinématographique de la saga, dans les studios de Hans Zimmer à Los Angeles, excusez du peu. Son jeu exceptionnel (et sa maîtrise de la langue anglaise) ouvrent bien des portes au Japonais, dont la carrière est déjà exceptionnelle, alors qu’il n’a encore que 34 ans. On ne peut que lui souhaiter de continuer comme ça… Pour l’heure, inconditionnelle de la série quand j’étais petite (la version « 20 ans après », je ne suis pas si vieille ;-)) et déjà très fan de la version de Limp Bizkit, Take a Look Around, je profite à fond de ce moment. Il est un peu dommage que le titre, qui aurait fait selon moi une clôture parfaite, soit suivi de deux morceaux en semi-playback, même si je peux comprendre que Takamasa Ishihara souhaite profiter un peu des gens en face de lui, ce qu’il fera d’ailleurs longuement à la toute fin du concert, serrant des mains à n’en plus finir. Que dire de plus ? C’était la quatrième fois pour nous, et la dextérité du monsieur, couplée à sa gentillesse et à son originalité, nous ont comme d’habitude fait passer une excellente soirée. Merci beaucoup Miyavi et Bobo pour ce grand concert, I’m ready to rock next time! »
MIYAVI (雅,
miyabi?, de son vrai nom Takamasa Ishihara (石原貴雅?))1, né le 14
septembre 19812 à Osaka, est un chanteur et guitariste Japonais qui, au
départ, fait partie du style Visual Kei mais qui n'a fait qu'évoluer
depuis, et continue encore, ce qui fait qu'aujourd'hui on le classerait
plus dans le J-rock, bien qu'en fait son style soit indescriptible et
unique.
Galyuu (December 2, 2003)
Miyavizm (June 1, 2005)
MYV Pops (August 2, 2006)
Miyaviuta -Dokusou- (September 13, 2006)
This Iz the Japanese Kabuki Rock (March 19, 2008)
What's My Name? (October 13, 2010)
Samurai Sessions vol.1 (November 14, 2012)
Miyavi (June 19, 2013)
The Others (April 15, 2015)
Miyavi ((雅) - Guitar & Vocal
+
Bobo - Drums
+
Bobo - Drums
THE SETLIST
MIYAVI (雅)
Cruel (The Others - 2015)
What's My Name? (What's My Name? - 2010)
Into the red (The Others - 2015)
MC
Come alive (The Others - 2015)
Secret (Miyavi - 2013)
Subarashikikana, Kono Sekai -WHAT A WONDERFUL WORLD- (This Iz The Japanese Kabuki Rock - 2008)
MC
Calling (The Others - 2015)
Cry like this (Miyavi - 2013)
Survive (What's My Name? - 2010)
Let go (The Others - 2015)
The Others (The Others - 2015)
Horizon (Miyavi - 2013)
Encore
Mission impossible theme song (Soundtrack - 2015)
Futuristic Love (What's My Name? - 2010)
Day 1 (Miyavi - 2013)(Samurai Sessions vol.1 - 2012)
Time Set : 1h30
MIYAVI (雅)
Cruel (The Others - 2015)
What's My Name? (What's My Name? - 2010)
Into the red (The Others - 2015)
MC
Come alive (The Others - 2015)
Secret (Miyavi - 2013)
Subarashikikana, Kono Sekai -WHAT A WONDERFUL WORLD- (This Iz The Japanese Kabuki Rock - 2008)
MC
Calling (The Others - 2015)
Cry like this (Miyavi - 2013)
Survive (What's My Name? - 2010)
Let go (The Others - 2015)
The Others (The Others - 2015)
Horizon (Miyavi - 2013)
Encore
Mission impossible theme song (Soundtrack - 2015)
Futuristic Love (What's My Name? - 2010)
Day 1 (Miyavi - 2013)(Samurai Sessions vol.1 - 2012)
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