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jeudi 26 avril 2007

FEIST ~ Le Grand Rex. Paris.











 Première partie : Gonzales

Ce qu’en a pensé Philippe :
 
« Arrivée dans la quasi obscurité, sans un mot, Feist, toute de noir vêtue (on ne sera pas aveuglé ce soir !) entame ce concert avec Honey Honey, extrait du nouvel album paru 3 jours auparavant. Rien à dire sur le son : toutes les subtilités mélodiques sont parfaitement restituées, mais, par contre, l'éclairage est particulièrement minimaliste (voir les photos) !

Tous les musiciens de l’album "The Reminder" sont présents sur scène sur cette tournée comme nous le rappellera Feist un peu plus tard.... en particulier Gonzales, un véritable virtuose, ainsi qu’il l’a démontré en assurant la première partie, rejoint plus tard par Mocky à la batterie.

Globalement, les compos du nouvel album se révèlent un peu plus énergiques (Feel It All, My Moon My Man, 1234...) que sur les deux précédents opus mais pas de panique, le registre de Feist reste les comptines vaguement jazzy (un peu ce que faisait Sade il y a quelques années...), entrecoupées de déchirures électriques qu'elle assène avec sa grosse guitare (Grestch ou Gibson, je ne sais pas) rouge.

La voix est impeccablement mise en place, le son est riche et les morceaux se succèdent sans réelle communication avec le public (bizarre qu'elle ne parvienne pas à aligner plus de 3 mots en français bien que résidant à Paris), pour arriver à la grande surprise et sans doute le moment fort de ce concert : Feist invite une bonne cinquantaine de personnes à la rejoindre sue scène, avant d'entamer Sealion et de se livrer à un déluge de notes électriques très rock"n"roll... entourée de ses danseuses et danseurs improvisés (?). Tout ce beau monde est invité à s'asseoir sur la scène pour mon morceau préféré, titre de l'album précédent "Let It Die", au tempo ultra lent, avec simplement la batterie en guise d'accompagnement, qui tranche singulièrement avec Sealion pour clore ce concert avant le rappel...

... Un rappel exécuté en 3 morceaux: Intuition, Mushaboom (un classique !) et en guise de clôture, seule avec seulement son mentor Gonzalez au piano, Now At Last, une ballade magnifique...

En résumé, quelques trop rares instants de bonheur et un répertoire beaucoup trop "promotionnel" (11 des 13 titres de « The Reminder » seront joués ce soir sur un setlist qui en comprend 16, je vous laisse faire le calcul...)

PS: pour l'anecdote, Pascal Nègre était assis à 3 fauteuils à ma gauche... »







photos de philippe d


Leslie Feist est une auteur-chanteuse canadienne. Elle se produit en solo sous le nom de Feist, et également en groupe avec les Broken Social Scene. En 2000, Feist est colocataire de Peaches et de Gonzales.En 2007 le single « Mushaboom » sert de bande-son pour les publicités des parfums Lacoste. Le titre « 1234 » de l'album The Reminder sert également de bande-son et vidéo pour les publicités des nouveaux iPod nano d'Apple, Inc.

(http://www.myspace.com/feist)
1999: Monarch (Lay Your Jewelled Head Down)
2004: Let It Die
2006: Open Season
2007: The Reminder




Feist - acoustic and electric guitars, piano , voice
Gonzales – piano
Jesse Baird - drums
Mocky - vocals
Bryden Baird - trumpet, flugel horn, percussion
Julian Brown - electric bass, melodica
?????? - electric guitarbass, backing vocals









La Setlist du Concert
FEIST

 Honey Honey (The Reminder - 2007)
I Feel it All (The Reminder - 2007)
My Moon, My Man (The Reminder - 2007)
The Park (The Reminder - 2007)
The Limit to Your Love (The Reminder - 2007)
When I Was a Young Girl (Let It Die - 2004)
The Water (The Reminder - 2007)
Fighting Away the Tears (with Mocky) (The Reminder Deluxe Ed. - 2007)
1234 (The Reminder - 2007)
Banter / Introductions
Brandy Alexander (The Reminder - 2007)
Sea Lion Woman (The Reminder - 2007)
Let it Die (Let It Die - 2004)

Encores

Intuition (The Reminder - 2007)
Mushaboom (Open Season - 2006) (Let It Die - 2004)
Now At Last (Let It Die - 2004)


La durée du concert : 1h30

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mercredi 25 avril 2007

YELLE ~ La Maroquinerie. Paris.












Première partie : Bunny Rabbit - Terry Poison



Ce qu’en a pensé Gilles B. :

« L'autre soir lors du concert des CSS, on nous a passé sur la sono tous les artistes se produisant dans le cadre du festival « Les Femmes s'en Mêlent » et là, je suis tombé sur le morceau de la Française Yelle, Je Veux Te Voir, une chanson electro entraînante et sympathique. Le lendemain, j'avais pris mon billet pour cette soirée Electroclash, qui se déroulait de plus dans ma salle fétiche, La Maroquinerie. Après avoir galéré pour arriver sur place (circulation infernale), je me retrouve vers 19h15 à l'entrée de la Maroquinerie, avec Rod du webzine Le HibOO et nous rentrons quelques minutes après.

Très peu de monde pour la première partie, le duo New Yorkais Bunny Rabbit, une jeune blondinette habillée collant fluo et tutu, accompagnée d'une black arborant une coupe mohican (la douce et la méchante). La musique est un mélange de Hip Hop, de techno et de rap, franchement pas vraiment intéressante, pas assez de beats, un peu trop molle à mon avis. Et le gros problème de la musique essentiellement produite sur ordinateur, c'est que cela ne passe pas vraiment bien en live, malgré les efforts des 2 filles. Bref pas terrible !

La salle est maintenant correctement remplie, avec environ 300 personnes, et c'est au tour de Terry Poison de prendre possession de la scène. Terry Poison, c'est tout d'abord un trio de filles (l'une d'elle étant absente et remplacé par une guitariste au look superbe) et un bassiste/claviériste. Le show est constamment ponctué de bagarres entre les deux chanteuses, la frêle Petite Meller et Louise Kahn, toutes deux en maillots de bains, s'aspergeant d'eau, s'insultant, se bousculant tout en pratiquant une electro assez dynamique. Le show est quand même essentielles visuel. On passe un moment assez agréable. Le public est assez réceptif, mais ce n'est quand même pas la grande folie dans la salle.

Enfin apparition de la française Yelle : bon, il faut l'avouer, ce sera la plus grosse déception de la soirée. Je m'attendais à quelque chose de novateur, d'énergique, avec la folie nécessaire pour embraser la salle. Au lieu de cela, on a eu droit à un show fade, du Sabine Paturel croisé avec Lio, bien franchouillard, sans aucune originalité. La jeune filles est sympathique, mais cela ne suffit pas!! Elle finit son (court) show de 40 mn par son single cité ci-dessus. Les Inrocks en ont fait une sorte d'icône de l’electro française, il va falloir qu'ils changent d'avis parce que, honnêtement, cela ne casse pas trois pattes à un canard. Bref je me suis emmerdé !!

Le bilan n’est pas terrible pour cette soirée... à laquelle que je ne regrette quand même pas d'avoir assisté. Mais je m'attendais à plus d'énergie, plus de musique jouée live, et moins de machines. »











Yelle est un groupe français d'électro-pop, originaire de la Bretagne, découvert sur Internet en 2005, via le réseau social MySpace.

(http://www.yelle.fr/
(http://www.myspace.com/iloveyelle)
(http://www.facebook.com/pages/Yelle/8906685638)

2007 - Pop-up







Yelle (Julie Budet) : Chant
GrandMarnier (Jean-François Perrier) : Batterie
Epr (Tanguy Destable) : Claviers











La Setlist du Concert
YELLE

Non Disponible


La durée du concert : 0h40

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