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dimanche 5 juillet 2009

LIMP BIZKIT ~ Le Zénith. Paris.








Première Partie :




Ce qu’en a pensé Vik :

« Ici, on parle d’une légende. Et d’un moment attendu depuis longtemps. Ici, on parle de Fred Durst, DJ Lethal, et Wes Borland, qui jouent ensemble depuis 1994, et qui ont vendu plus de 50 millions d’albums ! Ici, on parle d’un groupe de l'Histoire. Limp Bizkit, élu en 2001par la presse comme le groupe-phare du néo métal. Après 8 ans de déchirement, Limp Bizkit se reforme avec tous ses membres originaux, pour un concert de retrouvailles qui pourrait être explosif. Une bonne soirée en perspective, après les souvenirs puissants du 30 Août 2000 (au Théâtre de la Mutualité), du PO Bercy le 28 mai 2001 et du dernier Zénith du 4 mars 2004,). Avec de gros riffs que je connais par cœur et l'apothéose d’une dernière date pour l’Europe du Unicorns N' Rainbows Tour 2009. Pas de nouvel album, pour le moment, seul un vague projet nommé The Unquestionable Truth Part 2, à propos duquel je suis un peu perplexe, mais c'est une autre histoire. Ce soir, les fans de tout âge, qui ne sont pas venus en masse, peuvent crier à volonté « I'm like a limp biscuit ». Non, le Zénith n’affiche pas complet : trop de concert dans la semaine ? Quelque fois il faut faire un choix… Mais peu importe, les vrais fans, ceux qui restent, sont présents pour accueillir le retour sur scène de ce groupe de fusion rap-métal US.

19h40 : Mass Hysteria, groupe français de métal en fusion, dont le succès ne faiblit pas depuis 1993, entre en scène pour défendre sa réputation, et marquer ainsi le début de leur tournée 2009... et surtout le lancement de leur nouvel album prévu pour septembre. Ils ne se moquent pas de leur public, ils sont là en guise d'échauffement, mais vont s’acquitter de leur tâche avec enthousiasme. Guitares saturées, samples, basse entêtante, frappe énergique et voix engagée font réagir immédiatement le public, dans une ambiance chaude très propice aux slammeurs, avec des titres comme Contraddiction, Killing The Hype, Respect To The Dance-Floor et Furia. Une énergie qui déborde, une passion communicative et une envie de faire passer à tous un bon moment, voilà les qualités de ce groupe qui dégage une présence et un charisme incroyable. La salle commence à transpirer, mais l’accueil est très bon. J’avais déjà vu deux fois Mass Hysteria, il a longtemps, le 18 Décembre 1997 à La Boule Noire et au Bataclan le 15 Janvier 1998, mais je dois reconnaître que malgré qu’il ne fasse pas partie de mes groupes de prédilection, je l'apprécie toujours autant, tant il y a une véritable énergie brute dans leurs shows. Le temps est passé, l’oubli a fait son effet, mais les retrouvailles sont bonnes, surtout ce soir dans un Zénith transformé en salle de pit et de trampoline, et qui fête avec euphorie le retour du groupe sur la scène du métal. Un set torride de 35 minutes trempées de sueur, sans temps mort, une espèce de best-of exécuté par un groupe qui, sourire aux lèvres, aura tout fait pour que nous bougions nos jambes et nos têtes : une musique efficace jouée par un groupe qui aura confirmé sa puissance scénique.

20h53 : le début du spectacle. L’épais rideau noir, qui couvrait la scène, est lâché dans le délire général. La lumière est dirigée sur une bâche géante représentant dans un style bande dessinée les cinq composants du groupe : c’est le seul décor - gigantesque - avec les amplis couverts d’images du même artiste (qui rappellent les pochettes des albums). La tonalité du sampler, scratchée façon DJ Lethal, pour l’intro musicale sur la B.O d'Akira, annonce la mise en route du rouleau compresseur : avec le trépidant My Generation, le public s'enflamme sous cette lumière changeante, à contre-jour. Ça démarre fort. Explosion dans la fosse, qui l'espace d'un bref instant se transforme en brasier de vagues : « ... don't give a fuck and we won't ever give a fuck until you, you give a fuck about me and my generation oh yeah! ». Limp Bizkit is back, l’un de ces retours que je n’espérais plus. Oui, ça faisait longtemps, l’attente a été longue. A partir de là, la salle sent la poudre et l’enthousiasme se généralise parmi les fans, anciens teenagers en baggy dont les mèches de cheveux sont décoiffées par le vent de la nostalgie. Le son de Limp Bizkit sur le délire « ...Here we go, It's a fucked up world, A fucked up place... », va alors prendre une ampleur inattendue, dégager quelque chose de véritablement puissant dans un grondement furieux et au milieu des hurlements. « Ouais putain, franchement cela pète ! » dirait Eric, s’il était là.

Fred, le virulent chanteur, hurle de rage, s'accroupit souvent, et menace les fans avec son doigt. Wes, le guitariste déjanté, est maquillé comme d'habitude pour ressembler à un Alien, en noir, le torse nu entièrement couvert de peinture blanche et de symboles tribaux, son pantalon serré plein de poches. Un spectacle à lui tout seul ! Le son de sa guitare, une Yamaha CV820 blanche, semble sorti de l’enfer, plus agressif que dans le passé avec ses riffs thrash-métal. Le son du concert, en général, est bon, et les morceaux sont maintenant devenus des classiques de ce style de musique.




Fred Durst a légèrement grossi, mais reste fidèle à son image d’il y a huit ans, au PO Bercy : casquette rouge New Era - mais sans le logo Yankee -, pantalons courts avec genoux en noir taille xxxxxl, t-shirt blanc et lunettes noires. DJ Lethal, casquette bleue derrière la console du mix couverte d'un drapeau français (il doit changer pour chaque pays), Fred avec une basse à led, et au fond John, avec son visage toujours sympathique, derrière une batterie qui le cache totalement. Le concert tourne vite dans la chaleur extrême, et Fred affirme avec ironie « It's so fuckin' cold here, isn't it ? » : il transpire, il bouge comme un fou endiablé, il saute, il pointe son doit pour l’ordinaire « Fuck you ». La performance du band de Jacksonville est impeccable… mais pas tout-à-fait excellente, les morceaux ne sont pas enchaînés, il y a quelques pauses malgré la présence monstrueuse du rouleau compresseur. On ressent peu d’alchimie entre les musiciens : il faut pas oublier que Wes Borland avait nié à plusieurs reprises son retour au sein de Limp Bizkit, surtout après l'échec de "The Unquestionable Truth (Part 1)"… Mais le public est satisfait d’entendre tous ces hits largués dans la foule, et de pouvoir danser dans un pogo furieux sur Pollution (reclamé par la fosse et moment magique d’une année 1997 remis à jour), Nookie, Rollin, Take A Look Around (le générique de Mission Impossible 2), en passant par la reprise du Faith de George Michael. Les bras se lèvent sur les morceaux plus lents comme Rearranged et - en rappel - Behind Blue Eyes, la reprise des Who, toujours bien chantée mais détestée par les vrais fans (Wes Borland a fait une petite distribution de tomates aux premiers rangs !), exécutée simplement avec un sample lancé par DJ Lethal. La chanson est destinée aux nombreuses filles qui ne quittent pas un seul instant Fred des yeux.

Après 1h20 de plaisir nostalgique, Fred nous salue « Paris rocks so hard. The show of Limp Bizkit Unicorns N' Rainbows Tour 2009 is now over. What amazing memories ! Tanks to you all ! », puis il quitte la scène, après nous avoir fait revivre des fragments de notre passé avec une setlist sans surprise (… et sans aucun nouveau morceau !). Ils ont peu joué pour ce retour, mais il n’a rien à dire de plus - à part critiquer le prix du billet. Ce fut un show à la hauteur de mes espérances, un beau retour dans le temps passé du bon rap métal... avec cette puissance et cette énergie particulière. Un concert de « Fuck You », basé essentiellement sur l’album « Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water » (représenté ce soir par sept titres !) qui avait transformé 2000 en une année sacrée pour le groupe… et un concert qui confirme donc que ce disque est toujours extraordinaire. Bien sûr, ils auraient pu, pour ces retrouvailles, jouer d’avantage : on attendait par exemple The Truth, Gimme The Mic, Nobody love me, Head for the barricade, Counterfeit, The Propaganda,... mais un concert de Bizkit reste toujours un concert de Limp, le survivant d’une époque, et un grand moment de pogo collectif. “La musique est la langue des émotions." a dit Emmanuel Kant, et le resumé de la soirée est « Fuck You » ! Je peux vous confirmer que si vous n'aimiez pas Limp Bizkit – un groupe si souvent détesté -, ça ne risque pas de changer aujourd’hui.

Tout le monde sort, certains avec le t-shirt du merchandising « Limp Bizkit Forever », souvenir de cette dernière date de tournée. Moi, je regarde ma montre, il est 22h30, les derniers rayons de soleil sur le parc ont disparu, mais la nuit n’est pas encore tombée.

... I know why you wanna hate me cause hate is all the world has even seen lately ...»





photos de geraldine, moone



Mass Hysteria est un groupe français de metal industriel qui peut également se classer dans le genre fusion. C'est un groupe qui se caractérise par le mélange de sonorités et d'influences metal, pop rock, rap, techno, ambiant lounge.

Leurs albums sont - volontairement - différents : des débuts très métal industriel ; De cercles en cercle est un mélange rock ambiant avec des morceaux plus chantés, avec un succès commercial mitigé ; un style plus pop rock avec la sortie de leur album Mass Hysteria en 2005 ; Une somme de détails marque un certain retour aux sources. Le groupe affirme son identité plurimusicale en faisant remixer ses morceaux (comme sur leur premier album) ou en faisant des duos avec des personnes aussi variées que les choristes de Lo'Jo Triban, la chanteuse de Dolly, ou les rappeurs de La Brigade..


(http://www.myspace.com/masshysteriaofficial)




Limp Bizkit est un groupe de fusion Neo Metal/Rapcore (ou "Pimp-Rock" selon eux-mêmes) originaire de Jacksonville (É.-U.), mélangeant hip-hop et metal. S’il n’y avait pas eu Limp Bizkit, le néo-métal n’aurait jamais connu le succès ravageur que l’on sait. On ne peut pas nier l'indiscutable qualité de son premier album, Three Dollar Bill Y'all. En 1997, alors que la vague neometal n'a pas encore déferlé, le groupe révolutionne le paysage musical avec un disque hybride, mi-métal, mi-hip-hop, dans la lignée de Korn. Le groupe a vendus plus de 50 millions d'albums dans le monde. Le 12 février 2009, le groupe a annoncé sur son site officiel la réformation du groupe avec son line-up original après 8 ans d'absence et donc le retour de Wes Borland à la guitare.

(http://www.myspace.com/limpbizkit)


* 1997 : Le Bien-être et la Paix
* 1999 : Contraddiction
* 2001 : De cercle en cercle
* 2005 : Mass Hysteria
* 2007 : Une somme de détails
* 2009 : Failles




















Studio

* Three Dollar Bill, Yall$ (1997)
* Significant Other (1999)
* Chocolate Starfish and the Hot Dog Flavored Water (2000)
* Results May Vary (2003)
* The Unquestionable Truth (Part 1) (2005)
* TBA


Compilation Albums

* New Old Songs (2001)
* Greatest Hitz (2005)

Live Albums & DVDS

* Rock im Park 2001 (2008)







* Mouss (chant)
* Yann (guitare)
* Nico (guitare)
* Stéphane (basse)
* Raphaël (batterie)








Fred Durst – vocals (1995–present)
Sam Rivers – bass (1995–present)
John Otto – drums (1995–present)
DJ Lethal – turntables, samples, keyboards, programming, sound design (1996–present)
Wes Borland – guitars (1995–2001, 2004–2006, 2009–present)








01 Space Odyssey (Intro)
02 My Generation (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
03 Livin' It Up (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
04 Show Me What You Got (Significant Other - 1999)
05 Eat You Alive (Results May Vary - 2003)
06 DJ Lethal Theme
07 Hot Dog (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
08 Re-Arranged (Significant Other - 1999)
09 Break Stuff (Significant Other - 1999)
10 Boiler (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
11 Pollution (Three Dollar Bill, Y'all $ - 1997)
12 My Way (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
13 Nookie (Significant Other - 1999)
14 Faith (George Michael cover) (Three Dollar Bill, Y'all $ - 1997)

Encore

15 Behind Blue Eyes (The Who cover) (Results May Vary - 2003)
16 Rollin' (Air Raid Vehicle)(Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)
17 Take A Look Around (Chocolate Starfish And The Hot Dog Flavored Water - 2000)


La durée du concert : 1h20


AFFICHE / PROMO / FLYER



















samedi 4 juillet 2009

BRITNEY SPEARS ~ Le P.O. Bercy. Paris.











Opening : Sliimmy






Ce qu’en a pensé Vik :

« »











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jeudi 2 juillet 2009

Mick Taylor Band ~ Le New Morning. Paris.









Première partie: JOEL DAYDE



Ce qu’en a pensé Gilles B. :

« Qui se souvient encore de Mick Taylor ? Les quinquagénaires comme nous certainement, mais allez demander à des jeunes de 20 ans, pas sûr qu'ils connaissent. Et franchement, on ne peut pas leur en vouloir, car avoir fait parti d'un groupe mythique c'est une chose, mais la carrière solo qui a suivi, c'en est une autre. J'avoue que mes motivations pour aller voir ce concert ne sont pas très claires : me changer les idées en est une, et aussi passer une soirée cool… et pourquoi pas réussie… Un public assez vintage donc ce soir, lorsque j'arrive aux abords du New Morning, il y a déjà beaucoup de monde, mais Gilles P et Sylvain sont déjà là. Cela ne suffira pas pour assurer le premier rang dans de bonnes conditions, donc nous décidons de nous mettre en retrait sur les marches. Je râle car l'horaire est tardif (21h est indiqué sur les billets). De plus, nous avons droit hélas à une première partie que je n'avais pas reconnue au premier abord, mais Gilles P va raviver d'anciens souvenirs.

Joël Daydé ? Est-ce que ce nom ne vous rappelle pas quelque chose ? MAMY BLUE bien sûr !! C'était en 1971, et franchement, le personnage ne c'est pas arrangé. 45 minutes de "blues" à la française, eh bien ça calme, et ça agace. Et de plus, quand c'est chanté en français, je vous laisse imaginer le truc. Joël Daydé est frimeur et prétentieux (« oui, moi j'ai joué avec Mick Taylor dans les coulisses, c'est le privilège des artistes... », ou bien, en nous montrant sa guitare : « c'est une Telecaster de 1969 !!! ». Le personnage est pédant, et même le public - pourtant pas vraiment agressif ce soir - se lasse au bout de 30 minutes, en n’attendant qu'une chose : qu'il en finisse ! Mais non, ce seront 45 minutes de presque calvaire, par une chaleur plus qu'étouffante, je transpirais sans même bouger et sans être compressé par une quelconque foule...

Je commence à regretter sérieusement ma soirée, mais bon, on va voir ce que cela va donner avec Mick Taylor, cela peut être sympa qui sait ! Il doit bien être 22 heures quand un personnage obèse traverse la scène, sur le coup je crois qu'il s'agit de Mick, mais en vérité c'est Max Middleton l'organiste qui l'accompagne. Le reste du groupe fait son apparition, suivi cette fois de Mick Taylor que j'ai bien du mal à reconnaitre. Si vous en êtes restés à son image de la période early sixties, vous ne le reconnaitriez plus : bouffi, vieux et gros, voilà le tableau… Et cela commence mal car il s'évertue à nous parler pendant plusieurs minutes, avec un phrasé hésitant, on se rend vite compte que certaines substances doivent en être la cause (a priori pas l'alcool...). Il a les yeux à moitié fermés, il continue à parler, mais enfin il prend sa Gibson. Bon, je ne vais pas tourner en rond, Mick Taylor en concert, ce n'est pas mauvais, mais c'est tout simplement quelconque. 1h30 d'un blues quand même assez soporifique : tout est joué sur le même tempo moyen, pas de quoi s'énerver. Techniquement parlant, Mick Taylor est bon, sans plus, ce n'est pas un grand virtuose. Son atout ce soir, c'est d'être tout de même entouré par des pointures (que je ne connais pas d'ailleurs) qui assurent une belle assise à la musique. Je retiens surtout de ce début de concert le troisième morceau, intitulé je crois Alabama, qui était au dessus du lot. Sinon, Mick est au ralenti, par deux ou trois fois, il manquera de tomber en arrière... Il quitte la scène au bout d'une heure, je crois, pour laisser Denny Newman, l'autre guitariste, s'atteler à l’une de ses compositions. Huit morceaux au total pour environ 1h30 de concert, je vous laisse imaginer la longueur des morceaux, sans compter les intermèdes laborieux... Au bout d'une heure, moi je n'en peux plus, je suis ruisselant de sueur et je commence à être las. Je décide d'aller vivre la fin du concert vers le bar, où se trouvent les rares ventilateurs de la salle, et où je peux étancher ma soif tout en observant le set tranquillement. Une fin de spectacle qui verra Mick Taylor jouer No Expectations : sympa, sans plus.

Drôle de soirée, décidemment le New Morning ne me réussit pas vraiment. C'était la seconde fois que je voyais Mick Taylor, et je crois que ce sera la dernière, car malheureusement ce musicien me semble condamné à cachetonner médiocrement lors de petits concerts, en pariant juste sur l'effet Rolling Stones. La réalité est dure, Mick Taylor n'est physiquement plus que l'ombre (et je suis gentil) du beau jeune homme qu'il était. Quant à sa musique, elle est malheureusement restée au point mort. »





photos de gilles b





Mick Taylor est un guitariste anglais. A 19 ans, il débute au côté de John Mayall dans les Bluesbreakers. Il est le guitariste qui reste le plus longtemps dans le groupe, succèdant ainsi à Eric Clapton et Peter Green. Il remplace Brian Jones au sein des Rolling Stones. L'histoire dit que Mick Jagger, après avoir viré Brian, a appelé John Mayall pour lui demander s'il ne connaissait pas un bon guitariste et celui-ci lui a envoyé son propre musicien, Mick Taylor. Il fait sa première apparition publique le 5 juillet 1969, 2 jours après la mort de Brian Jones, lors du concert gratuit et posthume donné à Hyde Park à cette occasion. Mick Taylor a passé cinq ans au sein du des Rolling Stones, de Let It Bleed (1969) à It's Only Rock'n'Roll (1974). Encore aujourd'hui et même après l'intégration totale de Ron Wood, Mick Taylor est reconnu par beaucoup comme le guitariste des Rolling Stones le plus talentueux.

Fin mélodiste doté d’une grande richesse rythmique avec un touché de velours aérien, inspiré par le jazz et le blues, Mick Taylor est un vrai "guitar hero" trop peu connu.
(http://www.myspace.com/micktaylorsway)













With John Mayall's Bluesbreakers

* Crusade (Decca, 1967/LP, 1987/CD)

* Diary of a Band Volume 1 & 2 (Decca, 1968/LP)
* Bare Wires (Decca, 1968/LP, 1988/CD )
* Blues from Laurel Canyon (Decca, 1968/LP, 1989/CD)
* Primal Solos (Decca, 1969/LP)
* Back to the Roots (Decca, 1971/LP, 2001 on 2CD)
* Return Of The Bluesbreakers (AIM, 1985/LP, 1993/CD)
* The 1982 Reunion Concert (Repertoire records, 1994/CD) with John Mayall, Mick Taylor, Colin Allen and John McVie
* Wake Up Call (1993)
* Silver Tones - The Best of John Mayall & The Bluesbreakers (Silvertone Records, 1998)
* Along For The Ride (2001)
* Rolling With The Blues (2003) - selection of live recordings '72-'82
* Essentially John Mayall (Eagle Rock Records, 2007) 5 CD Box Set

With The Rolling Stones

* Through the Past, Darkly (Big Hits Vol. 2) (1969) (compilation)

Taylor plays on "Honky Tonk Women"

* Let It Bleed (1969)

Taylor plays on "Country Honk" and "Live With Me"

* Get Yer Ya-Yas Out! (1970)
* Sticky Fingers (1971)
* Hot Rocks, 1964-1971 (1972) (compilation)
* Exile on Main St. (1972)
* Goats Head Soup (1973)
* It's Only Rock 'n Roll (1974)
* Made in the Shade (1975) (compilation of hits 1971-1974)
* Metamorphosis (1975)

Taylor plays on "I Don't Know Why" and "Jiving Sister Fanny".

* Sucking in the Seventies (1981) (compilation of hits, album cuts and outtakes 1974-1981)
* Tattoo You (1981)

Taylor plays on "Tops" and "Waiting on a Friend", both tracks recorded in 1972 during the Goats Head Soup sessions.

* Rewind (1971-1984) (1984) (compilation of hits 1971-1983)
* Singles Collection: The London Years. (1989) (compilation of singles 1963-1971)
* Jump Back: The Best of The Rolling Stones (1993) (compilation of hits 1971-1989)
* Forty Licks (2002) (compilation 1964-2002)
* Rarities 1971-2003 (2005)

Taylor plays on "Let It Rock" (live 1971) and the 1974 b-side "Through The Lonely Nights".

Non-Rolling Stones work with Rolling Stones members:

* Pay, Pack and Follow (John Phillips, first official release by Eagle Rock Records, 2001)

from 1973-1979 recording sessions in London aka "Half Stoned" sessions
produced by Mick Jagger and Keith Richards

* I've Got My Own Album to Do (Ronnie Wood solo album) (1974)
* Now Look (Ronnie Wood solo album) (July 1975)
* Talk Is Cheap (Keith Richards solo album) (1988)

With Jack Bruce

* Live on the Old Grey Whistle Test (Strange Fruit, 1995). Tracks from several Whistle Test shows recorded between '75 and '81. Seven of the songs feature Taylor on guitar.
* Live at the Manchester Free Trade Hall (2 CD, Polydor, 2003)

With Bob Dylan

* Infidels (1983)
* Real Live (In Europe, 1984) (1984)
* Empire Burlesque (1985)
* The Bootleg Series Vol 1-3 - Rare & Unreleased 1961 -1991 (1991)

Solo discography

* Mick Taylor (1979) US #119 [5 wks on top 200]
* Stranger in This Town (1990)
* Too Hot for Snakes (1991) (Carla Olson & Mick Taylor)
* Arthur's Club-Geneve 1995 (Mick Taylor & Snowy White) (Promo CD/TV Especial)
* A Stone's Throw (2000)
* Coastin' Home aka Live at the 14 Below (1995) re-issued 2002

With Carla Olson

* Too Hot For Snakes aka Live at the Roxy (1991 live album)
* Within An Ace (1993)
* Reap The Whirlwind(1994)
* Special - The best of Carla Olson (1995, Virgin Records)
* The Ring of Truth (2001)

Too Hot For Snakes plus (2008, Collectors' Choice) 2 CD set of the Roxy album plus You Gotta Move and a 2nd disc of 13 studio tracks 1993 - 2004 including a previously unreleased version of Winter and Think I'm Goin' Mad from the Carla-produced Barry Goldberg album Stoned Again.

Other session work

* Tubular Bells Premiere (Mike Oldfield) June '73 Queen Elizabeth Hall
* Tubular Bells (Mike Oldfield) Telecast Tubular Bells Part One and Tubular Bells Part Two. Recorded at BBC Broadcasting House November 1973[16] and aired in early '74 and June '74. Available on Oldfield's Elements DVD.
* The Tin Man Was A Dreamer (Nicky Hopkins) (1973)
* "London Underground" (Herbie Mann 1974)
* Billy Preston - Live European Tour (Billy Preston) (A& M, 1974). Recorded with Stones Mobile Studio during the '73 tour. Preston opened up for the band with Mick Taylor on guitar.

released on CD (A& M - Japan, 2002)

* Have Blues Will Travel (Speedo Jones) (Integrity Records, 1988)
* Reggae II (Herbie Mann) (Atlantic, 1976)
* Just A Story From America (Elliott Murphy) (Columbia 1977)
* Waiting for Columbus (Little Feat) (1978) double CD released 2002
* Expresso II (Gong) (1978)
* Alan Merrill (Alan Merrill)'s solo album (Polydor, 1985) recorded in London in 1977
* Vinyl (Dramarama) (1991)
* Once in a Blue Moon (Gerry Groom) (1993)
* Cartwheels (Anthony Thistlethwaite) (1993)
* Crawfish and Caviar (Anthony Thistlethwaite)
* Mick & I (2001) Miyuki & Mick Taylor
* From Clarksdale to Heaven (BlueStorm, 2002) John Lee Hooker Tribute Album.
* Meaning Of Life (Todd Sharpville) (Cathouse/Universal, 2003)
* Key To Love (Debbie Davies) (Shanachie Records, 2003)
* Shadow Man (re-release of a Sasha album from '96) (2003)

Originally released by Alpha Music in 1996, this "Mick Taylor featuring Sasha" album should have read "Sasha featuring Mick Taylor", but the company felt it would sell better under a household name. It features Mick Taylor on guitar, but is basically a Sasha Gracanin album.

* Treasure Island (Nikki Sudden) (Secretly Canadian, 2004)







MICK TAYLOR BANDMICK TAYLOR (g, voc)
MAX MIDDLETON (kb)
MICHAEL BAILEY (b)
JEFF ALLEN (dms)













  • Secret Affair
  • Twisted Sister
  • Alabama
  • Losing my faith
  • Burial Ground (without Mick )
  • Blind Willie Mc Tell ( with Bits of All Along the watchtower )
  • Can't you hear me knocking
  • No Expectations
La durée du concert : 1h40

AFFICHE / PROMO / FLYER