Première partie : Rhésus
Ce qu’en a pensé Gilles B.:
« Encore une fois, ce fut la course pour avoir les places de ce concert, celles-ci ayant été vendues en une journée. La hype pour Arctic Monkeys ne se dément donc toujours pas, au point de rajouter une nouvelle date au Zénith le 3 juillet. Je dois honnêtement dire que je n'avais pas été convaincu à 100% par leur prestation précédente au Bataclan, le groupe me semblant peu en forme, et il est vrai que, dans un premier temps, j'avais décidé de ne pas aller à ce concert... Mais bon, la passion l'emportant sur la raison, je me suis ravisé (merci, Vincent, pour m’avoir procuré un billet). C'est donc vers 18h30 que je me suis pointé à l'Elysée Montmartre, et, le temps de trouver une place pour me garer, soit un bon quart d'heure, les portes étaient déjà ouvertes, et 2 à 300 personnes avaient déjà pris place dans la salle ! Je retrouvai l'ami Vincent déjà installé sur la droite de la salle, au niveau du pilier. Chose assez bizarre, pas de stand de merchandising ! Plutôt étonnant... Un public assez jeune bien sûr, surtout ceux massés dans les premiers rangs.
En première partie, un groupe avec lequel j'avais déjà fait connaissance à un précédent concert, Rhésus, trio français pratiquant un rock assez proche par moments de Dinosaur Jr. 37mn de concert, bien accueilli par le public, et qui m’a personnellement bien plu (du coup, je vais commander leur album...). Le son est comme d'habitude assez approximatif dans cette salle, trop de graves, trop de résonnance.
Il est maintenant 20h45, et les Arctic Monkeys entrent en scène (on sait au moins que l'on ne rentrera pas tard chez soi !!). Pour nous, c'est la première fois que nous voyons le groupe avec leur nouveau bassiste, et le fait est qu'il a apporté une meilleure constance au groupe. Malheureusement, ce concert est encore une fois partiellement gâché par les mauvaises conditions acoustiques (déjà citées précédemment), même si le son s'améliorera au fûr et à mesure du déroulement du concert. Les Monkeys me semblent en meilleure forme que 
la fois précédente, mais toujours peu de dialogue avec le public (timidité ?) : de toute façon, quand Alex Turner parle, on ne comprend pratiquement rien (sûrement l'accent de Sheffield !). Des le début, pas de surprises, morceaux de 2/3 minutes passés à la moulinette et fosse en ébullition sur 40 à 50 rangées... Cela devient la folie quand, après 2 nouveaux morceaux, ils attaquent I Bet You Look On The Dancefloor, terrible !!.Ce concert était surtout l'occasion de présenter quelques morceaux de leur future album (« Favorite Worst Nightmare »), ce qui fait que nous avons eu droit à 5 ou 6 nouvelles compositions, dont le single Brian Storm. Je dois dire que je n'ai pas été du tout convaincu par ces nouveaux morceaux (contrairement à Kaiser Chiefs quelques mois auparavant qui avaient fait la même chose). Un morceau m'as paru BIEN, un autre pas mal et le reste sans grand intérêt... Bon, il faudra quand même écouter attentivement le disque. Ces nouveaux morceaux expliquent aussi la baisse de régime au milieu du concert. Heureusement, il suffit d'un View From The Afternoon suivi de Dancing Shoes et surtout Fake Tales Of San Francisco, et bien sûr pour finir A Certain Romance avec son rythme reggae, pour remettre le feu à l'Elysée. Comme à leur habitude, ils quittent la scène sans rappel au bout de 62mn (soit quand même 7 mn de plus qu'au Bataclan).
la fois précédente, mais toujours peu de dialogue avec le public (timidité ?) : de toute façon, quand Alex Turner parle, on ne comprend pratiquement rien (sûrement l'accent de Sheffield !). Des le début, pas de surprises, morceaux de 2/3 minutes passés à la moulinette et fosse en ébullition sur 40 à 50 rangées... Cela devient la folie quand, après 2 nouveaux morceaux, ils attaquent I Bet You Look On The Dancefloor, terrible !!.Ce concert était surtout l'occasion de présenter quelques morceaux de leur future album (« Favorite Worst Nightmare »), ce qui fait que nous avons eu droit à 5 ou 6 nouvelles compositions, dont le single Brian Storm. Je dois dire que je n'ai pas été du tout convaincu par ces nouveaux morceaux (contrairement à Kaiser Chiefs quelques mois auparavant qui avaient fait la même chose). Un morceau m'as paru BIEN, un autre pas mal et le reste sans grand intérêt... Bon, il faudra quand même écouter attentivement le disque. Ces nouveaux morceaux expliquent aussi la baisse de régime au milieu du concert. Heureusement, il suffit d'un View From The Afternoon suivi de Dancing Shoes et surtout Fake Tales Of San Francisco, et bien sûr pour finir A Certain Romance avec son rythme reggae, pour remettre le feu à l'Elysée. Comme à leur habitude, ils quittent la scène sans rappel au bout de 62mn (soit quand même 7 mn de plus qu'au Bataclan).Bon, le concert était meilleur que celui de l'année dernière, c'est sûr, par contre j'estime qu'un groupe à ce niveau de popularité se doit de donner plus que cela. Et j'allais oublier aussi le défaut récurent d'Alex Turner: qu'il ARRETE de ré-accorder sa guitare entre chaque morceau, c'est agaçant !!! Et cela coupe le rythme... Je suis peut-être dur dans mes propos, mais j'aimerais tant que ce genre de groupe prenne du PLAISIR à jouer, et surtout qu'ils en donnent beaucoup plus aux gens qui les admirent et viennent les voir. Je retournerai quand même les voir au mois de juillet, on verra ce que cela donnera dans une grande salle. Ah oui ! j'allais oublier : pour l'anecdote, Jarvis Cocker était présent à ce concert. »
Arctic Monkeys est un groupe de rock indépendant anglais, originaire de Sheffield et formé en 2002. Alex Turner est la plume principale du groupe. Dès les premiers concerts, leur énergie transcende la foule.Leur premier single paru après avoir signé chez Domino est I Bet You Look Good on the Dancefloor, qui le 17 octobre 2005, atteint directement la première place des charts britanniques. Avec un premier album endiablé, dont le titre à rallonge annonce la couleur rock et décalée de 13 titres déchaînés : « Whatever people say I am, that’s what I’m not », les Arctic Monkeys n’ont pas fini de défrayer la chronique ! On dit des Arctic Monkeys que ce sont les nouveaux Franz Ferdinand, les héritiers des Libertines, les alter-ego rock de The Streets. Que de références pour un jeune groupe de rock à guitares qui débute ! Malgré la fraîcheur de leur son, on peut retrouver les influences de The Jam pour leur côté mod et de The Clash pour leur énergie.
(http://www.myspace.com/arcticmonkeys)
Whatever People Say I Am, That's What I'm Not (2006)
Favourite Worst Nightmare (2007)
* Alex Turner (Vocal, Guitar)
* Jamie Cook (Guitar)
* Nick O'Malley (Bass)
* Matt Helders (Drums)
La Setlist du Concert
ARTIC MONKEYS
This House Is A Circus (Favourite Worst Nightmare
- 2007)
Teddy Picker (Favourite Worst Nightmare - 2007)
I Bet You Look Good On The Dancefloor (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
Still Take You Home (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
D Is For Dangerous (Favourite Worst Nightmare - 2007)
When The Sun Goes Down (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
From The Ritz To The Rubble (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
Fluorescent Adolescent (Favourite Worst Nightmare - 2007)
Do Me A Favour (Favourite Worst Nightmare - 2007)
You Probably Couldn't See For The Lights But You (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
Leave Before The Lights Come On (Favourite Worst Nightmare - 2007)
What if you were right ? (B Side Brianstorm - 2007)
Brianstorm (Favourite Worst Nightmare - 2007)
The View From The Afternoon (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
Dancing Shoes (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
Fake Tales Of San Francisco (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
A Certain Romance (Whatever people say I am, that’s what I’m not - 2006)
La durée du concert : 1h02
Arctic Monkeys - A view from the afternoon
Arctic Monkeys - Fake Tales Of San Francisco
Arctic Monkeys - I Bet You Look Good On The Dance Floor
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