Ce qu’en a pensé Vik :
« A l'occasion de la sortie de son dernier, "Brest of (tout cela pour ça)", album que je vous recommande chaudement, Miossec organise une petite tournée (dernière date le 5 novembre à Rennes) qui passe ce soir à l'Olympia, donc je suis devant cette mythique salle parisienne pour voir le grand breton qu'il sera sur scène. Son nom est affiché en lettres rouges lumineuses sur la façade de la salle, ça fait bizarre et ça fait plaisir. L’Olympia. C’est une belle salle. La manière dont elle a été reconstruite me plaît car elle a gardé son charme et ce lieu reste à taille humaine. Voilà un spectacle indéniablement émouvant pour tous les fans. Je ne suis pas arrivé à l'avance pour une fois, car ma place est numérotée comme d’habitude mezzanine. Aller à un concert de Miossec, une des figures les plus marquantes et les plus singulières du paysage français, c'est toujours éprouvant émotionnellement, on aime ou on déteste mais Christophe a le don de réinventer ses chansons et de les toucher comme un magicien pour les faire vivre. Miossec c'est toujours et jamais la même chose, jamais la même voix et pourtant toujours le même charme et envoutement avec ses poémes. Brillant disciple de Serge Gainsbourg, Miossec a contribué à redonner ses lettres de noblesse au rock chanté en français. On ne sait jamais à quoi s'attendre avec Miossec... du très bon comme du moins bon. C'est la 16ème fois que je vois Miossec en concert, dont je suis fan absolu.
20H10 : Les lumières s'éteignent, la première partie monte sur scène… est assurée par le groupe belge Zita Swoon. Comme à son habitude, l’élégant Stef Kamil Carlens, le chanteur, se présente sur scène dans une tenue dont lui seul a le secret (il crée lui-même ses vêtements). La formation anversoise occupe bien la scène (avec huit musiciens!), et ses anciens morceaux comme «My Bond With You And Your Planet: Disco!» ou «Hot Hotter Hottest» ont toujours leur succès auprès du public. Très vite, la température monte. Les sonorités se font plus groove et soul. L’étonnant Stef ne tient plus en place. Et comme à son habitude aussi, il nous gratifie de quelques déhanchements. Le public est dans le rythme, des rythmes qui s’affolent. Je m'aperçois que les musiciens assurent grave techniquement et le chanteur (Stef) libère une énergie énorme sur scène qui n'a rien à envier à celle de son groupe. Bref, le groupe enchaîne leurs chansons, les mélodies sont prenantes et le style varie entre la pop fusion et certains rythmes disco et reggae. Un Stef en grand forme. Je n’ai rien à redire. C’était super bien leur pop, le chanteur et les choristes sont d’excellents vocalistes. Ils sont excellent voir même meilleur que les dernières fois à la Cigale le dimanche 3 décembre 2006 oû ici même le lundi 26 mars 2007. Bonne surprise au final et sans doute le coup de cœur de la soirée...durée du set 40 mns. Lumière : une voix off annonce un entracte de 20 min. Les techniciens sur scène s’activent depuis, pour faire place à Christophe, dont j’attends toujours assez fébrilement sa prestation en live. La moyenne d'âge du public est bien au delà des 30ans !
21h30 : Les lumières s'éteignent encore mais cette fois c’est la bonne. L’ouverture du rideau rouge ! Il arrive avec ses quatre acolytes : un violon-clavier, et une formation guitare-basse-batterie. Pantalon noir, chemise noire… Miossec fait son entrée : «Bonsoir… Merci à Zita », il a l'air frais, il ne perd pas une minute et entame "La fidélité"… Et je sors, et je drague comme on crève, Avec tellement de choses à regretter… Oh mon amour, je crève de ne pouvoir te toucher, Oh mon amour, oh mon amour, Oh mon amour, je crève de ne pouvoir te baiser… joué en ouverture, sublime titre. C'est cool car ça met bien dans l'ambiance. Miossec et sa troupe donnent le ton : ce sera rock et classe ce soir pour présenter le nouvel opus. C’est le moment où l’on découvre le personnage… on écoute ou on regarde… Ca commence bien. Le public est forcément conquis d’avance. « Bonsoir » et suite "Maman" plein de tendresse, touchante, il y met toujours du cœur. Puis ça enchaîne. Un peu trop vite peut être. Il ne se pose pas entre les morceaux pour dire deux ou trois conneries comme d'habitude. L’émouvant "Mes crimes : le châtiment", il maitrise bien cette chanson, très très bonne chanson… il mélange (volontairement ?) le texte. Enchainement sans même qu’il fasse une coupure ni même qu’il tourne ses feuilles pour voir où il en est avec une version poignante et marquante "Que devient ton poing". Il fait l’ancienne version mais les paroles… un peu sarcastique, avec un côté bête et méchant dans la façon de chanter. Après quatre morceaux dans le même genre rythmique, arrive toute une série de morceaux aux penchants plus rock les uns que les autres. "30 ans", le guitariste assure, c'est vrai qu'il se donne à fond sur scène, ça fait plaisir, il se distingue bien des autres musiciens. Nicolas Stevens, aussi, est en forme au violon, avec ces trois archets au final … Présentation du violoniste par Miossec. Suit "Brest", chanson calme, beaucoup d’émotion… Est-ce que désormais tu me détestes, D'avoir pu un jour quitter Brest, La rade, le port, ce qu'il en reste Les religions et moi… très émouvant, cette chanson colle à la peau de cette ville, à la fois touchante et dure. On a l'impression d'un concert bien maîtrisé, carré avec des musiciens impeccables. "Les bières" qu’est ce qu’on boit aujourd’hui dans les concerts… le morceau le plus pêchu, pas le plus connu mais Miossec le chante à chaque concert. "La facture d'électricité ", qui a pour thème le chômage et diffusée en boucle sur les radios françaises. La salle exulte et hurle. Les éclairages sont du plus bel effet et s’accordent à merveille avec l’ambiance de la musique. Il dit « Paris, Paris » parfois. Tout semble en place, il n’y a pas de ratés visibles. Difficile de bouder son plaisir car on comprend les paroles, la voix est cabossée mais touchante, les guitares sont percutantes ou caressantes, le violon apporte un plus indéniable, et, enfin, le violoncelle, le piano et les claviers se la jouent « sobre ». Le groupe enchaîne les titres sans le moindre accroc. "Le loup dans la bergerie", ca ne me laisse pas indifférent, c’est certain, il se met sur les genoux, sur le gauche et chante "Je m’en vais"… Je m'en vais bien avant l'heure, Je m'en vais bien avant de te trahir, Je m'en vais avant que l'on ne se laisse aller… Je n'ai aimé que toi, Je t'embrasse jusqu'à en mourir… Belle ovation !
Il enchaine, il enchaine…il n’est pas content ? Il est fatigué. Un peu bourré ? Les chansons défilent et je trouve Miossec un peu absent sur certains couplets ou pour tenir le rythme lorsqu'il chante. C'est comme ça que je l'aime finalement, du moment que le contact avec le public se fait mais là je ne l'ai pas trop trouvé inspiré. "Le défroqué", "Rose", arrive la perle au texte acidulé "La mélancolie" et surprise, son ami Stef de Zita Swoon l’accompagne pour le chœur final … La mélancolie, Qui vient qui coule,Qui vous enfonce tout doucement, Qui vous enroule, Qui vous blottit, Qui vous protège des ouragans… La mélancolie c’est communiste, Tout le monde y a droit de temps en temps…Pendant les derniers instants de la chanson, Miossec se met dans un petit coin et Stef termine la chanson… Il part. Miossec le présente… « Ah, il s’appelle Stef ». "Pentecôte"… ça fait du bien, s’arrête, il dit « calme, calme, oh ! » (ca s’agite devant, un échauffement pour une broutille et intervention de deux videurs) et reprend sa chanson. Je le sens sur la réserve et agacé par cet incident aux premiers rangs pendant son morceau où il demandé du calme. Une heure de joué il s'arrête. Ils sortent tous, mais les instruments restent. Enfin, bientôt le rappel. Je trouve dans l’ensemble Miossec en forme, un concert très propre, sans temps morts, une voix claire et au moins on comprend tout ce qu'il chante. Finie la cigarette, finie la bière sur scène, du moins de façon ostensible, moins de provocation. Miossec, ce soir est en osmose avec ses musiciens et il ne s'est pas trop planté dans les paroles. Le public visiblement peu habitué aux concerts tape des pieds et des mains, trépigne et siffle alors que les lumières ne sont pas encore allumés (signe premier que le concert n’est pas encore tout à fait fini).
Le retour ! Nouvelle ovation, Miossec présente ses musiciens. Bravo ! On a d’emblait le droit à une reprise (!?) "Chanson pour Nathalie" de Nino Ferrer, bof, un peu limite, un peu massacrée, il en zappe la moitié. Un moment de solitude. Il s'en rend compte et s'en excuse auprès de l'auteur défunt. Il balance une connerie pour se rattraper. Vient ensuite une nouvelle reprise (!?) en disant « c’est Alain », "Osez Joséphine" de Bashung. Là ça il la gère super bien et ses musiciens sont au rendez vous. Normal: plus de la moitié du groupe l'a joué avec Alain Bashung mais avec lui en guest et en live ça aurait été encore mieux. Il parle un peu avec les gens qui sont devant. En leur demandent ce qu’ils veulent écouter et réponds «Si je devais jouer toutes les merdes que j'ai écrites ». Il se détend et joue la reprise fulgurante de "Non, non, non, je ne suis plus saoul" et met des frissons à la salle qui chante avec lui. Il se barre à nouveau. Retour… Il revient vite… On l’empêche de fumer peut être dans les coulisses. Deuxième rappel: "DOM-TOM", "Brûle", magnifique… il a chanté deux fois le même couplet. Tout luit tout brille mais rien ne brûle, Tout brille tout scintille mais rien ne se consume, C'est comme ça c'est ainsi tout s'envie… et en final en beauté "Ainsi soit-il", sublime texte. Il finit le concert par «Les paroles sont de Georges Perros…au lieu d’acheter des cd à la con». « Merci Christophe » crie une vois. "Merci madame" lui répond-t-il. Puis, lorsque les lumières se sont rallumées (là c’est le signal indiquant qu’il faut se déchaîner), quelques personnes ont continué d’applaudir, mais se sentant bien seules au milieu de tous ces gens qui se dirigeaient vers la sortie ont abandonné leurs protestations. Alors comme il le dit modestement lui-même en sous titre : «Tout ça Pour ça »… certes mais merci quand même pour ce « tout ». Très peu d’échanges avec le public, c’est certain, mais ce n’est pas son truc.
Un bon concert avec un Miossec qui semble avoir fait un trait sur son passé. On a passé un bon moment. Tout le monde sort de la salle avec le sourire. vivement sa prochaine tournée générale...!! »
21h30 : Les lumières s'éteignent encore mais cette fois c’est la bonne. L’ouverture du rideau rouge ! Il arrive avec ses quatre acolytes : un violon-clavier, et une formation guitare-basse-batterie. Pantalon noir, chemise noire… Miossec fait son entrée : «Bonsoir… Merci à Zita », il a l'air frais, il ne perd pas une minute et entame "La fidélité"… Et je sors, et je drague comme on crève, Avec tellement de choses à regretter… Oh mon amour, je crève de ne pouvoir te toucher, Oh mon amour, oh mon amour, Oh mon amour, je crève de ne pouvoir te baiser… joué en ouverture, sublime titre. C'est cool car ça met bien dans l'ambiance. Miossec et sa troupe donnent le ton : ce sera rock et classe ce soir pour présenter le nouvel opus. C’est le moment où l’on découvre le personnage… on écoute ou on regarde… Ca commence bien. Le public est forcément conquis d’avance. « Bonsoir » et suite "Maman" plein de tendresse, touchante, il y met toujours du cœur. Puis ça enchaîne. Un peu trop vite peut être. Il ne se pose pas entre les morceaux pour dire deux ou trois conneries comme d'habitude. L’émouvant "Mes crimes : le châtiment", il maitrise bien cette chanson, très très bonne chanson… il mélange (volontairement ?) le texte. Enchainement sans même qu’il fasse une coupure ni même qu’il tourne ses feuilles pour voir où il en est avec une version poignante et marquante "Que devient ton poing". Il fait l’ancienne version mais les paroles… un peu sarcastique, avec un côté bête et méchant dans la façon de chanter. Après quatre morceaux dans le même genre rythmique, arrive toute une série de morceaux aux penchants plus rock les uns que les autres. "30 ans", le guitariste assure, c'est vrai qu'il se donne à fond sur scène, ça fait plaisir, il se distingue bien des autres musiciens. Nicolas Stevens, aussi, est en forme au violon, avec ces trois archets au final … Présentation du violoniste par Miossec. Suit "Brest", chanson calme, beaucoup d’émotion… Est-ce que désormais tu me détestes, D'avoir pu un jour quitter Brest, La rade, le port, ce qu'il en reste Les religions et moi… très émouvant, cette chanson colle à la peau de cette ville, à la fois touchante et dure. On a l'impression d'un concert bien maîtrisé, carré avec des musiciens impeccables. "Les bières" qu’est ce qu’on boit aujourd’hui dans les concerts… le morceau le plus pêchu, pas le plus connu mais Miossec le chante à chaque concert. "La facture d'électricité ", qui a pour thème le chômage et diffusée en boucle sur les radios françaises. La salle exulte et hurle. Les éclairages sont du plus bel effet et s’accordent à merveille avec l’ambiance de la musique. Il dit « Paris, Paris » parfois. Tout semble en place, il n’y a pas de ratés visibles. Difficile de bouder son plaisir car on comprend les paroles, la voix est cabossée mais touchante, les guitares sont percutantes ou caressantes, le violon apporte un plus indéniable, et, enfin, le violoncelle, le piano et les claviers se la jouent « sobre ». Le groupe enchaîne les titres sans le moindre accroc. "Le loup dans la bergerie", ca ne me laisse pas indifférent, c’est certain, il se met sur les genoux, sur le gauche et chante "Je m’en vais"… Je m'en vais bien avant l'heure, Je m'en vais bien avant de te trahir, Je m'en vais avant que l'on ne se laisse aller… Je n'ai aimé que toi, Je t'embrasse jusqu'à en mourir… Belle ovation !
Il enchaine, il enchaine…il n’est pas content ? Il est fatigué. Un peu bourré ? Les chansons défilent et je trouve Miossec un peu absent sur certains couplets ou pour tenir le rythme lorsqu'il chante. C'est comme ça que je l'aime finalement, du moment que le contact avec le public se fait mais là je ne l'ai pas trop trouvé inspiré. "Le défroqué", "Rose", arrive la perle au texte acidulé "La mélancolie" et surprise, son ami Stef de Zita Swoon l’accompagne pour le chœur final … La mélancolie, Qui vient qui coule,Qui vous enfonce tout doucement, Qui vous enroule, Qui vous blottit, Qui vous protège des ouragans… La mélancolie c’est communiste, Tout le monde y a droit de temps en temps…Pendant les derniers instants de la chanson, Miossec se met dans un petit coin et Stef termine la chanson… Il part. Miossec le présente… « Ah, il s’appelle Stef ». "Pentecôte"… ça fait du bien, s’arrête, il dit « calme, calme, oh ! » (ca s’agite devant, un échauffement pour une broutille et intervention de deux videurs) et reprend sa chanson. Je le sens sur la réserve et agacé par cet incident aux premiers rangs pendant son morceau où il demandé du calme. Une heure de joué il s'arrête. Ils sortent tous, mais les instruments restent. Enfin, bientôt le rappel. Je trouve dans l’ensemble Miossec en forme, un concert très propre, sans temps morts, une voix claire et au moins on comprend tout ce qu'il chante. Finie la cigarette, finie la bière sur scène, du moins de façon ostensible, moins de provocation. Miossec, ce soir est en osmose avec ses musiciens et il ne s'est pas trop planté dans les paroles. Le public visiblement peu habitué aux concerts tape des pieds et des mains, trépigne et siffle alors que les lumières ne sont pas encore allumés (signe premier que le concert n’est pas encore tout à fait fini).
Le retour ! Nouvelle ovation, Miossec présente ses musiciens. Bravo ! On a d’emblait le droit à une reprise (!?) "Chanson pour Nathalie" de Nino Ferrer, bof, un peu limite, un peu massacrée, il en zappe la moitié. Un moment de solitude. Il s'en rend compte et s'en excuse auprès de l'auteur défunt. Il balance une connerie pour se rattraper. Vient ensuite une nouvelle reprise (!?) en disant « c’est Alain », "Osez Joséphine" de Bashung. Là ça il la gère super bien et ses musiciens sont au rendez vous. Normal: plus de la moitié du groupe l'a joué avec Alain Bashung mais avec lui en guest et en live ça aurait été encore mieux. Il parle un peu avec les gens qui sont devant. En leur demandent ce qu’ils veulent écouter et réponds «Si je devais jouer toutes les merdes que j'ai écrites ». Il se détend et joue la reprise fulgurante de "Non, non, non, je ne suis plus saoul" et met des frissons à la salle qui chante avec lui. Il se barre à nouveau. Retour… Il revient vite… On l’empêche de fumer peut être dans les coulisses. Deuxième rappel: "DOM-TOM", "Brûle", magnifique… il a chanté deux fois le même couplet. Tout luit tout brille mais rien ne brûle, Tout brille tout scintille mais rien ne se consume, C'est comme ça c'est ainsi tout s'envie… et en final en beauté "Ainsi soit-il", sublime texte. Il finit le concert par «Les paroles sont de Georges Perros…au lieu d’acheter des cd à la con». « Merci Christophe » crie une vois. "Merci madame" lui répond-t-il. Puis, lorsque les lumières se sont rallumées (là c’est le signal indiquant qu’il faut se déchaîner), quelques personnes ont continué d’applaudir, mais se sentant bien seules au milieu de tous ces gens qui se dirigeaient vers la sortie ont abandonné leurs protestations. Alors comme il le dit modestement lui-même en sous titre : «Tout ça Pour ça »… certes mais merci quand même pour ce « tout ». Très peu d’échanges avec le public, c’est certain, mais ce n’est pas son truc.
Un bon concert avec un Miossec qui semble avoir fait un trait sur son passé. On a passé un bon moment. Tout le monde sort de la salle avec le sourire. vivement sa prochaine tournée générale...!! »
Christophe Miossec est un auteur-compositeur-interprète français né à Brest dans le Finistère. Cet artiste a tout vécu : la peur, la fragilité, les remords, les revers. Il doit son succès à sa personnalité tourmentée, ses textes acerbes et ses concerts généreux et imprévisibles.
1995 : Boire
1997 : Baiser
1998 : À Prendre)
2001 : Brûle
2004 : 1964
2006 : L'étreinte
1997 : Baiser
1998 : À Prendre)
2001 : Brûle
2004 : 1964
2006 : L'étreinte
2007 : Brest Of (Tou ça pour ça)
Christophe Miossec : Voix, guitare, piano
Robert Johnson : guitare
Nicolas Stevens : violon et aux claviers/piano
Arnaud Dieterlen : batterie
Jean-François Assy : violoncelle et à la basse
Robert Johnson : guitare
Nicolas Stevens : violon et aux claviers/piano
Arnaud Dieterlen : batterie
Jean-François Assy : violoncelle et à la basse
La Setlist du Concert
MIOSSEC
L’Infidélité (Baiser - 1997)
Maman (Avec Zita Swoon) (L'Étreinte - 2006)
Mes crimes : le châtiment (L'Étreinte - 2006)
Que devient ton poing quand tu tends les doits (Boire - 1995)
Brest (1964 - 2004)
Les Bières aujourd’hui s’ouvrent manuellement (A Prendre - 1998)
La Facture d’Electricité (L'Étreinte - 2006)
Le Loup Dans La Bergerie (L'Étreinte - 2006)
Je M’En Vais (1964 - 2004)
Le défroqué (Brûle - 2001)
Rose (1964 - 2004)
La Melancolie (Avec Stef Kamil Carlsen) (L'Étreinte - 2006)
Pentecôte (1964 - 2004)
Encore 1
Chanson pour Nathalie (N. Ferrer Cover)
Osez Joséphine (A.Bashung Cover)
Non Non Non (Je Ne Suis Plus Saoul) (Boire - 1995)
Encore 2
Dom-Tom (Brûle - 2001)
Brûle (Brûle - 2001)
Ainsi soit-elle (Brûle - 2001)
Maman (Avec Zita Swoon) (L'Étreinte - 2006)
Mes crimes : le châtiment (L'Étreinte - 2006)
Que devient ton poing quand tu tends les doits (Boire - 1995)
Brest (1964 - 2004)
Les Bières aujourd’hui s’ouvrent manuellement (A Prendre - 1998)
La Facture d’Electricité (L'Étreinte - 2006)
Le Loup Dans La Bergerie (L'Étreinte - 2006)
Je M’En Vais (1964 - 2004)
Le défroqué (Brûle - 2001)
Rose (1964 - 2004)
La Melancolie (Avec Stef Kamil Carlsen) (L'Étreinte - 2006)
Pentecôte (1964 - 2004)
Encore 1
Chanson pour Nathalie (N. Ferrer Cover)
Osez Joséphine (A.Bashung Cover)
Non Non Non (Je Ne Suis Plus Saoul) (Boire - 1995)
Encore 2
Dom-Tom (Brûle - 2001)
Brûle (Brûle - 2001)
Ainsi soit-elle (Brûle - 2001)
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