Première Partie :
(http://www.myspace.com/ghinzu)
« 10h30 en cette matinée du 3 avril, et le livreur de la Poste m'apporte un colis Amazon, avec par miracle le dernier album de Ghinzu, « Mirror Mirror », qui vient tout juste de sortir. Ça tombe bien, je vais pouvoir le tester une ou deux fois avant de voir le groupe en concert ce soir. Je suis méfiant, car ce concert étant complet depuis des semaines, je prends mes précautions pour arriver en avance, et je fais bien, car même à 17h, il ya déjà une bonne dizaine de personnes attendant assises devant les portes vitrées. Quelques photos du fronton puis une petite discussion avec un fan de The Joy Formidable, qui m'a reconnu, et je me place sur le côté dans l'attente de la mise en place des barrières. Une mise en place effectuée vers 18h, Vincent me rejoint peu après, encore tout émoustillé par ses deux concerts de Metallica… mais ce soir, il me prévient déjà : Cela va être GRAND !!! Moi je ne sais pas, je n'ai jamais vu Ghinzu en concert, mais leur approche musicale sur les deux derniers disques me plaît vraiment bien.
A peine les portes ouvertes, je me dirige vers le premier rang, pratiquement plein centre. Vincent, lui, va s'installer au balcon. J'aperçois Armelle qui me rejoint devant. C'est une grande fan de Ghinzu, qui menace de me tuer si elle n'a pas la set list ce soir !!! Bon, j'ai quelques atouts dans mon sac qui me permettront certainement d'exaucer ses vœux. En tout cas, je suis content d'assister au concert en sa compagnie. Petite déception tout de même, ils ont placé la fameuse barrière entre la scène et le public, une bénédiction pour les photographes, mais pour ma part je trouve tout de même que c'est une gêne, et surtout que ce soir, cela ne s'imposait pas.
20h, et c'est Black Box Revelation qui monte sur scène. Je connaissais déjà ce jeune duo Belge pour les avoir vus en première partie de dEUS au Trabendo, et leur show ce soir a été conforme à ce que j'en attendais, du blues rock sur-vitaminé : bien sûr, on ne peut s'empêcher de penser aux White Stripes, mais avec moins de finesse, et dans un style beaucoup plus rentre dedans. Le batteur est tout simplement dément !! Un fou furieux, impressionnant derrière ses fûts, il joue comme si sa vie en dépendait. Cela aurait presque été parfait avec une sonorisation beaucoup plus forte. On sent un peu du Blues Explosion de John Spencer là dedans, de l'urgence dans leur musique. Les deux derniers morceaux joués seront tout simplement magistraux. J'aimerais bien les voir dans une petite salle en tête d'affiche pour voir s’ils peuvent assurer pendant plus d'une heure un set de qualité. Bonne accueil du public, dont une grosse majorité ne connaissait absolument pas ce groupe.
Nouvelle courte et agréable attente, j'aime quand la tension monte peu à peu, le décor sur scène est je dirais chirurgical, avec en arrière plan toute une rangée de néons, bonjour les photos. Enfin l'heure fatidique, et Ghinzu investit la scène du Bataclan. Armelle l'avait dit à Robert Gil, l'élément le plus important du groupe, c'est son chanteur John Stargasm, et on le ressent tout de suite, car le personnage est charismatique. Lunettes noire et déjà deux bouteilles de bières débouchées, le voilà qui s'installe derrière son piano, pour débuter le concert avec Mother Allegria, un petit chef d'œuvre que j'écoute et réécoute avec de plus en plus de plaisir, c'est presque solennel ce début de concert. Les personnages sont tous en noir me faisant penser à Interpol, voire à iLiKETRAiNS. Mon dieu, qu'est-ce qu'il peut picoler, John !!! C'est effrayant !!! Mais plus il boit, et plus le show se rôde, plus il devient intense. Je vis toute cette première partie de concert comme une découverte, que ce soit du groupe lui-même en live (et pour l'instant je n'ai d'yeux pratiquement que pour son chanteur), ou de l'interprétation de « Mirror Mirror », qui n'est pour l'instant qu'un album à l'essai, pas encore rôdé dans ma tête, mais où je discerne déjà - grâce aux versions live – un énorme potentiel. L'ambiance de ce début de concert est un peu gâchée par les deux ou trois grands connaux (ce n'est pas méchant, c'est la juste vérité) qui n'arrêtent pas de parler derrière nous, et qui surtout chantent comme des burnes, on devrait les bâillonner avant de rentrer dans la salle, ces gens-là, car ce sont les plus pénibles (sans être forcément méchants, ils réussiraient presque à vous gâcher un concert…) !!! Mais bon, heureusement que la musique reprend le dessus. Eclairage froid et stroboscopique, ou alors complètement rouge, tout rouge et qui montre bien ce que la musique de Ghinzu est pleine de contrastes. Décidemment, j'aime ces groupes belges, qui à l'instar de dEUS, semblent au premier abord extrêmement banals, et qui au final révèlent, surtout en live, une complexité musicale insoupçonnée. Les montées en puissance sur presque chaque morceau sont terribles : c'est ce que j'aime le mieux, ce qui vous fait le plus vibrer : cela vous prend dans les tripes, et vous fait frissonner de plaisir.
Le groupe quitte la scène, et moi je suis sur le cul, je ne m'attendais pas du tout à un concert de ce genre. C'est marrant, mais avec le recul je vois plein d'influences différentes dans ce groupe. La touche Belge avec dEUS bien sûr, mais aussi une pincée d'Editors (ou est ce l'inverse, Editors qui ressemblerait à Ghinzu ?). Mais c'est vraiment imperceptible, ça vient surtout du fait de John Stargasm qui quelque part me fait penser à Tom Smith, mais un Tom Smith incontrôlable.
Retour de nos héros, et c'est reparti pour deux rappels incendiaires, avec Mine et Blow, la folie et la liesse continuent, c'est beau, c'est grand, c'est tout simplement génial !! Merde, tous les groupes devraient être comme cela sur scène, imprévus et fous. Car l'imprévu c'est lorsque le groupe a normalement définitivement quitté la scène après les deux rappels prévus sur la set list, les lumières sont rallumées depuis plusieurs dizaines de secondes, mais personne dans la salle n'est décidé à partir, c'est une ovation en continu qui jaillit du Bataclan, et je vois Kata complètement affolée entrain d'agiter sa torche en direction de la console située au fond de la salle, je comprends vite ce qu'il se passe, Ghinzu a décidé de revenir sur scène, le guitariste si sage il y a 85 minutes et maintenant torse nu, John est fiévreux et chaud comme la braise, et là, c'est la tuerie avec un I Wanna Be Your Dog des familles. Beaucoup de groupes la reprennent cette chanson, mais ce soir c'est le couteau entre les dents et avec une grande rudesse que le groupe va exécuter le morceau. C'est carrément punk, même Iggy ne la joue plus comme cela depuis longtemps, soudainement et par surprise John s'élance sans calcul et exécute un stage diving magistral, en passant à l'horizontal au dessus de l'espace réservé aux photographes et prenant de court tous les videurs. Ça, c'est du rock'n'roll !! Le guitariste, lui, on se demande s²il n'a pas pris des produits illicites, il semble devenir fou, balançant avec une violence inouïe sa Fender à travers la scène, manquant de peu un videur qui n'a dû son salut qu'à son habileté à l’éviter. Fin agité, le groupe que l'on pensait gentil s'est transformé en un véritable rouleau compresseur emportant tout sur son passage. Quand les lumières se rallument, je suis encore sous le choc, plein de choses qui passent dans ma tête, j'essaie de garder en moi les moments que je viens de vivre, j'essaie de comprendre pourquoi je n'avait pas vu Ghinzu plus tôt (et je n'ai pas la réponse !), je suis un peu dans un état second, mais heureux comme tout. Kata, l'homme providentiel de Radical, me donne deux set lists, ouf ! Armelle aura la sienne !!
On se dirige maintenant vers le stand de merchandising, et là, c'est la foire d'empoigne pour s'en approcher, mais après une bonne dizaine de minutes d'attente, j'arrive enfin à avoir un t-shirt du groupe. Je retrouve Vincent qui a compris tout de suite que j'avais succombé à Ghinzu, il me dit tout simplement "demain, je prends ma place pour le Zénith", et j'avoue que j'ai la même idée en tête. Décidemment, en un peu plus d'une année, j'ai découvert le rock belge avec ces deux fers de lance, dEUS et Ghinzu, qui non seulement sont brillants sur disque, mais qui de plus sont carrément imposants en live. Encore une soirée que je ne suis pas près d'oublier.»
A peine les portes ouvertes, je me dirige vers le premier rang, pratiquement plein centre. Vincent, lui, va s'installer au balcon. J'aperçois Armelle qui me rejoint devant. C'est une grande fan de Ghinzu, qui menace de me tuer si elle n'a pas la set list ce soir !!! Bon, j'ai quelques atouts dans mon sac qui me permettront certainement d'exaucer ses vœux. En tout cas, je suis content d'assister au concert en sa compagnie. Petite déception tout de même, ils ont placé la fameuse barrière entre la scène et le public, une bénédiction pour les photographes, mais pour ma part je trouve tout de même que c'est une gêne, et surtout que ce soir, cela ne s'imposait pas.
20h, et c'est Black Box Revelation qui monte sur scène. Je connaissais déjà ce jeune duo Belge pour les avoir vus en première partie de dEUS au Trabendo, et leur show ce soir a été conforme à ce que j'en attendais, du blues rock sur-vitaminé : bien sûr, on ne peut s'empêcher de penser aux White Stripes, mais avec moins de finesse, et dans un style beaucoup plus rentre dedans. Le batteur est tout simplement dément !! Un fou furieux, impressionnant derrière ses fûts, il joue comme si sa vie en dépendait. Cela aurait presque été parfait avec une sonorisation beaucoup plus forte. On sent un peu du Blues Explosion de John Spencer là dedans, de l'urgence dans leur musique. Les deux derniers morceaux joués seront tout simplement magistraux. J'aimerais bien les voir dans une petite salle en tête d'affiche pour voir s’ils peuvent assurer pendant plus d'une heure un set de qualité. Bonne accueil du public, dont une grosse majorité ne connaissait absolument pas ce groupe.
Nouvelle courte et agréable attente, j'aime quand la tension monte peu à peu, le décor sur scène est je dirais chirurgical, avec en arrière plan toute une rangée de néons, bonjour les photos. Enfin l'heure fatidique, et Ghinzu investit la scène du Bataclan. Armelle l'avait dit à Robert Gil, l'élément le plus important du groupe, c'est son chanteur John Stargasm, et on le ressent tout de suite, car le personnage est charismatique. Lunettes noire et déjà deux bouteilles de bières débouchées, le voilà qui s'installe derrière son piano, pour débuter le concert avec Mother Allegria, un petit chef d'œuvre que j'écoute et réécoute avec de plus en plus de plaisir, c'est presque solennel ce début de concert. Les personnages sont tous en noir me faisant penser à Interpol, voire à iLiKETRAiNS. Mon dieu, qu'est-ce qu'il peut picoler, John !!! C'est effrayant !!! Mais plus il boit, et plus le show se rôde, plus il devient intense. Je vis toute cette première partie de concert comme une découverte, que ce soit du groupe lui-même en live (et pour l'instant je n'ai d'yeux pratiquement que pour son chanteur), ou de l'interprétation de « Mirror Mirror », qui n'est pour l'instant qu'un album à l'essai, pas encore rôdé dans ma tête, mais où je discerne déjà - grâce aux versions live – un énorme potentiel. L'ambiance de ce début de concert est un peu gâchée par les deux ou trois grands connaux (ce n'est pas méchant, c'est la juste vérité) qui n'arrêtent pas de parler derrière nous, et qui surtout chantent comme des burnes, on devrait les bâillonner avant de rentrer dans la salle, ces gens-là, car ce sont les plus pénibles (sans être forcément méchants, ils réussiraient presque à vous gâcher un concert…) !!! Mais bon, heureusement que la musique reprend le dessus. Eclairage froid et stroboscopique, ou alors complètement rouge, tout rouge et qui montre bien ce que la musique de Ghinzu est pleine de contrastes. Décidemment, j'aime ces groupes belges, qui à l'instar de dEUS, semblent au premier abord extrêmement banals, et qui au final révèlent, surtout en live, une complexité musicale insoupçonnée. Les montées en puissance sur presque chaque morceau sont terribles : c'est ce que j'aime le mieux, ce qui vous fait le plus vibrer : cela vous prend dans les tripes, et vous fait frissonner de plaisir.
Car tout va basculer dans une autre dimension. Si la première partie était pour moi une sorte d'initiation et de découverte, avec toutes les incertitudes que cela laisse entendre, le très long final va être terrible. Je dis final, car à partir d'un certain moment, il n'y aura plus un instant de répit, ce sera du bonheur à l'état pur. Tout d'abord un détail qui pour moi n'est jamais négligeable, c'est le son. On est parti d'un début de spectacle avec une basse omniprésente (et pourtant j'aime bien la basse), qui couvrait le son des deux guitares, un peu embêtant tout de même. Mais le problème sera résolu au fil du concert. Et puis je crois que tout va basculer dans la folie, presque comme dans un film, avec tout d'abord 21st Century Crooner, et à partir de là, rien ne sera plus comme avant. Je suis pris dans une tornade musicale, dans un maelstrom qui emporte tout sur son passage. C'est impressionnant, car même pour moi qui ne connaît pas les morceaux par cœur, moi qui découvre ce soir, je suis d'un coup sidéré par la puissance du groupe. John chante maintenant debout sur son piano, il doit en être à sa 7 ou 8ème bière… Quant au guitariste qui se trouve sur ma gauche, lui si sage au début du concert, le voilà qui commence à mettre tout simplement le feu. La montée en puissance est inexorable maintenant, Do You Read Me, Je T'attendrai et enfin pour moi le clou du spectacle, une version apocalyptique de Kill The Surfer. Je n'avais pu écouter cette chanson que deux fois, et malgré cela, j'avais été frappé. Mais là, c'est l'apothéose, un mélange explosif de glam rock avec une pincée d'électro, ça me transporte tout simplement, fabuleux !!!
Le groupe quitte la scène, et moi je suis sur le cul, je ne m'attendais pas du tout à un concert de ce genre. C'est marrant, mais avec le recul je vois plein d'influences différentes dans ce groupe. La touche Belge avec dEUS bien sûr, mais aussi une pincée d'Editors (ou est ce l'inverse, Editors qui ressemblerait à Ghinzu ?). Mais c'est vraiment imperceptible, ça vient surtout du fait de John Stargasm qui quelque part me fait penser à Tom Smith, mais un Tom Smith incontrôlable.
Retour de nos héros, et c'est reparti pour deux rappels incendiaires, avec Mine et Blow, la folie et la liesse continuent, c'est beau, c'est grand, c'est tout simplement génial !! Merde, tous les groupes devraient être comme cela sur scène, imprévus et fous. Car l'imprévu c'est lorsque le groupe a normalement définitivement quitté la scène après les deux rappels prévus sur la set list, les lumières sont rallumées depuis plusieurs dizaines de secondes, mais personne dans la salle n'est décidé à partir, c'est une ovation en continu qui jaillit du Bataclan, et je vois Kata complètement affolée entrain d'agiter sa torche en direction de la console située au fond de la salle, je comprends vite ce qu'il se passe, Ghinzu a décidé de revenir sur scène, le guitariste si sage il y a 85 minutes et maintenant torse nu, John est fiévreux et chaud comme la braise, et là, c'est la tuerie avec un I Wanna Be Your Dog des familles. Beaucoup de groupes la reprennent cette chanson, mais ce soir c'est le couteau entre les dents et avec une grande rudesse que le groupe va exécuter le morceau. C'est carrément punk, même Iggy ne la joue plus comme cela depuis longtemps, soudainement et par surprise John s'élance sans calcul et exécute un stage diving magistral, en passant à l'horizontal au dessus de l'espace réservé aux photographes et prenant de court tous les videurs. Ça, c'est du rock'n'roll !! Le guitariste, lui, on se demande s²il n'a pas pris des produits illicites, il semble devenir fou, balançant avec une violence inouïe sa Fender à travers la scène, manquant de peu un videur qui n'a dû son salut qu'à son habileté à l’éviter. Fin agité, le groupe que l'on pensait gentil s'est transformé en un véritable rouleau compresseur emportant tout sur son passage. Quand les lumières se rallument, je suis encore sous le choc, plein de choses qui passent dans ma tête, j'essaie de garder en moi les moments que je viens de vivre, j'essaie de comprendre pourquoi je n'avait pas vu Ghinzu plus tôt (et je n'ai pas la réponse !), je suis un peu dans un état second, mais heureux comme tout. Kata, l'homme providentiel de Radical, me donne deux set lists, ouf ! Armelle aura la sienne !!
On se dirige maintenant vers le stand de merchandising, et là, c'est la foire d'empoigne pour s'en approcher, mais après une bonne dizaine de minutes d'attente, j'arrive enfin à avoir un t-shirt du groupe. Je retrouve Vincent qui a compris tout de suite que j'avais succombé à Ghinzu, il me dit tout simplement "demain, je prends ma place pour le Zénith", et j'avoue que j'ai la même idée en tête. Décidemment, en un peu plus d'une année, j'ai découvert le rock belge avec ces deux fers de lance, dEUS et Ghinzu, qui non seulement sont brillants sur disque, mais qui de plus sont carrément imposants en live. Encore une soirée que je ne suis pas près d'oublier.»
The Black Box Revelation ne vous dit peut-être rien et pourtant… Ces jeunes rockeurs commencent à faire parler d’eux de l’autre côté de notre frontière linguistique.« Une énergie scénique surprenante ! » semble s’enthousiasmer la presse flamande spécialisée. En somme, un duo – et oui ! – guitare-voix-batterie dans la lignée directe des White Stripes et autres groupes rock garage du moment. La recette ? Un minimum de constructions et d’arrangements pour faire ressortir un maximum d’énergie et de force ; des guitares grinçantes, une voix cassée et des roulements batterie pour un rock on ne peut plus brut.
(http://www.myspace.com/theblackboxrevelation)
(http://www.theblackboxrevelation.be)
Ghinzu est un groupe de rock belge. Le nom du groupe fait référence à la marque de couteau Ginsu ("plus on coupe, plus il s'aiguise"). Formé en 1999 à Bruxelles, le groupe sort Electronic Jacuzzi, son premier album autoproduit (le label Dragoon a été créé par et pour le groupe) en 2000. En février 2004 sort le deuxième album Blow. Cette fois les choses démarrent réellement pour le groupe. Le succès du single Do You Read Me fait décoller les ventes spécialement en France où une horde de fans commence à les suivre. Des concerts sold-out à Paris, à l'Elysée-Montmartre et à l'Olympia feront grand bruit. C'est sur scène, par des prestations déjantées de dandy-punks, que se crée le succès du groupe. Un nouvel album, "Mirror Mirror", dont la date de sortie a déjà été plusieurs fois repoussée, sortira en Mars 2009.
(http://www.myspace.com/theblackboxrevelation)
(http://www.theblackboxrevelation.be)
Ghinzu est un groupe de rock belge. Le nom du groupe fait référence à la marque de couteau Ginsu ("plus on coupe, plus il s'aiguise"). Formé en 1999 à Bruxelles, le groupe sort Electronic Jacuzzi, son premier album autoproduit (le label Dragoon a été créé par et pour le groupe) en 2000. En février 2004 sort le deuxième album Blow. Cette fois les choses démarrent réellement pour le groupe. Le succès du single Do You Read Me fait décoller les ventes spécialement en France où une horde de fans commence à les suivre. Des concerts sold-out à Paris, à l'Elysée-Montmartre et à l'Olympia feront grand bruit. C'est sur scène, par des prestations déjantées de dandy-punks, que se crée le succès du groupe. Un nouvel album, "Mirror Mirror", dont la date de sortie a déjà été plusieurs fois repoussée, sortira en Mars 2009.
(http://www.myspace.com/ghinzu)
John Stargasm (vocals, guitar, keyboards)
Mika Nagazaki (bass)
Greg Remy (guitar, drums)
Tony Babyface (drums)
Mika Nagazaki (bass)
Greg Remy (guitar, drums)
Tony Babyface (drums)
Intro
Mother Allegra (Mirror Mirror - 2009)
Cold Love (Mirror Mirror - 2009)
Take It Easy (Mirror Mirror - 2009)
High Voltage Queen (the Reign Of) (Blow - 2004)
This War Is Silent (Carmina)(Mirror Mirror - 2009)
Death (New)
Death II (New)
This Light (Mirror Mirror - 2009)
Dragster Wave (Blow - 2004)
21st Century Crooners (Blow - 2004)
Do You Read Me (Blow - 2004)
Je T’Attendrai (Mirror Mirror - 2009)
Kill The Surfers (Mirror Mirror - 2009)
Encore 1
Mine (Blow - 2004)
Encore 2
Blow (Blow - 2004)
Encore 3
I Wanna Be Your Dog (Iggy Pop & The Stooges Cover)
Mother Allegra (Mirror Mirror - 2009)
Cold Love (Mirror Mirror - 2009)
Take It Easy (Mirror Mirror - 2009)
High Voltage Queen (the Reign Of) (Blow - 2004)
This War Is Silent (Carmina)(Mirror Mirror - 2009)
Death (New)
Death II (New)
This Light (Mirror Mirror - 2009)
Dragster Wave (Blow - 2004)
21st Century Crooners (Blow - 2004)
Do You Read Me (Blow - 2004)
Je T’Attendrai (Mirror Mirror - 2009)
Kill The Surfers (Mirror Mirror - 2009)
Encore 1
Mine (Blow - 2004)
Encore 2
Blow (Blow - 2004)
Encore 3
I Wanna Be Your Dog (Iggy Pop & The Stooges Cover)
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