Première Partie: KISSOGRAM
Ce qu’en a pensé Yannick M. :
« Il est 22h30 en ce 18 mars 2009, la décharge d’adrénaline Franz Ferdinand touche hélas à sa fin, la longue cohorte de leur public multi-générationnel se meut vers la sortie dans le long et large couloir de l’Olympia, le rouge des tentures de ce couloir se mariant parfaitement avec nos mines en mode « je sors de la mêlée ». Car mêlée oui ce fut…. Une vraie bonne mêlée de bonheur …. une mêlée d’émotions musicales plus enthousiasmantes les unes que les autres… mêlée d’énergies défoulées dans l’hystérie collective qui embrasait tout l’Olympia, avec une fosse en résonance complète, le faux plancher bondissant tel une piscine à vagues, et des balcons définitivement décomplexés… mêlées de cordes vocales essorées d’avoir accompagné la bande à Alex Kapranos une heure et quart durant… mêlées finalement de souvenirs tout chauds d’envolées rythmiques, de riff rageurs, de débauche d’énergie…
Tout avait plutôt bien commencé avec le groupe Kissogram en première partie, un son plutôt sympathique et des morceaux aux changements de rythmes fréquents (mon petit péché mignon), bref une bonne mise en bouche…
Mais ensuite, le show présenté par Franz Ferdinand aurait pu se « marketer » avec le fameux refrain du tubesque Ulysses « C’mon let’s get high » !! Car toute la salle est montée en pression dès le premier morceau… les corps s’entrechoquaient devant la scène aux rythmes effrénés des tubes historiques, tels The Dark of the Matinée, Take Me Out, ou Do You Want To, de l’explosivité progressive mais réelle des nouveaux titres tels Bite Hard ou No You Girls, des tempos un peu plus « dance » mais tout aussi accrocheurs de Lucid Dreams ou What She Came for, le tout avec des riffs endiablés de Michael, engoncé dans une petite chemisette rouge électrique, ou des morceaux de bravoure aux percussions (à cinq sur un set de batterie, c’était hypnotique !). Franz Ferdinand communiait avec son public, Alex laissant même toucher le manche de sa guitare à quelques chanceux des premiers rangs, ou récoltant entre deux envolées un petit haut féminin… Le plaisir était là, communicatif, généreux, Alex et les siens souriaient, prenaient eux aussi visiblement du plaisir à faire rentrer l’Olympia en transe… et nous avec !
Quelques jours ont passé depuis cette soirée, et il en reste encore beaucoup d’émotions très physiques, des impressions d’intensité, de générosité, d’alchimie, de vibrations... Car c’est toute la magie d’un concert de Franz Ferdinand : on y dépense une énergie incroyable à sauter, bouger, chanter, vibrer… et pourtant on en ressort remplis d’une énergie positive encore bien supérieure à celle que l’on a dépensée, regonflés à bloc, prêts à attaquer des montagnes… En un mot s’il fallait résumer cette soirée : waouuuuuuuuuh !!! »
Tout avait plutôt bien commencé avec le groupe Kissogram en première partie, un son plutôt sympathique et des morceaux aux changements de rythmes fréquents (mon petit péché mignon), bref une bonne mise en bouche…
Mais ensuite, le show présenté par Franz Ferdinand aurait pu se « marketer » avec le fameux refrain du tubesque Ulysses « C’mon let’s get high » !! Car toute la salle est montée en pression dès le premier morceau… les corps s’entrechoquaient devant la scène aux rythmes effrénés des tubes historiques, tels The Dark of the Matinée, Take Me Out, ou Do You Want To, de l’explosivité progressive mais réelle des nouveaux titres tels Bite Hard ou No You Girls, des tempos un peu plus « dance » mais tout aussi accrocheurs de Lucid Dreams ou What She Came for, le tout avec des riffs endiablés de Michael, engoncé dans une petite chemisette rouge électrique, ou des morceaux de bravoure aux percussions (à cinq sur un set de batterie, c’était hypnotique !). Franz Ferdinand communiait avec son public, Alex laissant même toucher le manche de sa guitare à quelques chanceux des premiers rangs, ou récoltant entre deux envolées un petit haut féminin… Le plaisir était là, communicatif, généreux, Alex et les siens souriaient, prenaient eux aussi visiblement du plaisir à faire rentrer l’Olympia en transe… et nous avec !Quelques jours ont passé depuis cette soirée, et il en reste encore beaucoup d’émotions très physiques, des impressions d’intensité, de générosité, d’alchimie, de vibrations... Car c’est toute la magie d’un concert de Franz Ferdinand : on y dépense une énergie incroyable à sauter, bouger, chanter, vibrer… et pourtant on en ressort remplis d’une énergie positive encore bien supérieure à celle que l’on a dépensée, regonflés à bloc, prêts à attaquer des montagnes… En un mot s’il fallait résumer cette soirée : waouuuuuuuuuh !!! »
photos de little lynx
Franz Ferdinand est une formation rock écossaise, constituée à Glasgow en 2001. Ce patronyme leur est venu en regardant une course de chevaux dont l'un des concurrents portait le nom de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche (Franz Ferdinand en allemand). Leur premier album sorti en 2004 a rapidement atteint la troisième position des meilleures ventes d'albums au Royaume-Uni et a remporté un Mercury Music Prize. En 2005 ils ont sorti un deuxième album, You Could Have It So Much Better. Le successeur est attendu le 26 Janvier 2009. Aujourd'hui FF est un phénomène mondial.
(http://www.myspace.com/franzferdinand)
* Alexander « Alex » Paul Kapranos (Huntley) : Vocal & Guitar
* Nicholas « Nick » McCarthy : Guitar & Keyboards
* Robert « Bob » Hardy : Bass
* Paul Thomson : Drums & Guitar
* Nicholas « Nick » McCarthy : Guitar & Keyboards
* Robert « Bob » Hardy : Bass
* Paul Thomson : Drums & Guitar
Come On Home (Franz Ferdinand - 2004)
Do You Want To (You Could Have It So Much Better - 2005)
No You Girls (Tonight - 2009)
Tell Her Tonight (Franz Ferdinand - 2004)
The Dark of the Matinee (Franz Ferdinand - 2004)
The Fallen (You Could Have It So Much Better - 2005)
What She Came For (Tonight - 2009)
Walk Away (You Could Have It So Much Better - 2005)
Bite Hard (Tonight - 2009)
Take Me Out (Franz Ferdinand - 2004)
Turn It On (Tonight - 2009)
Michael (Franz Ferdinand - 2004)
Ulysses (Tonight - 2009)
Encore
Outsiders (You Could Have It So Much Better - 2005)
Lucid Dreams (Tonight - 2009)
This Fire (Franz Ferdinand - 2004)
La durée du concert : 1h17
Franz Ferdinand - Take me out - Live au Printemps de Bourges 2004
Franz Ferdinand - Michael
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire