« Choix cornélien ce soir, soit venir ici à la Machine pour revoir Shout Out Louds auteur d’un concert lumineux il y a quelques mois à la Maroquinerie ou bien alors aller découvrir Arbouretum à la Maroquinerie. Mon choix est fait et cette fois ce ne sera pas le bon. La Machine, c’est une Loco améliorée en gros. Il y a dorénavant un petit hall où l’on peut patienter et puis l’intérieur a été quelque peu réaménagé, un bar supplémentaire situé dans la grande salle. Sinon c’est toujours le même problème, la scène est beaucoup trop haute et pour peu que les retours soient devant vous et bien vous ne voyez rien. Et puis j’ai à chaque fois le sentiment de ne pas être dans une vraie salle de concert, plutôt un endroit pour danser, ça oui, mais les concerts ? Je ne hume pas l’ambiance bien particulière qu’il devrait y avoir.
Et puis cette sale habitude d’ouvrir les portes tardivement, cette fois c’est à 20 h 30, l’heure indiquée sur les billets, toutefois ! Pas la grande foule ce soir, 400 personnes, peut être un peu plus, mais en tout cas moins qu’une Maroquinerie sold out, cela laisse à penser que beaucoup de gens n’apprécient pas ce lieu. Je patiente tranquillement devant la scène sans trop savoir où me placer, de préférence entre deux retours, c’est la seule chose de sûre !
La première partie est une ancienne connaissance, il s’agit en l’occurrence de Please Don’t Blame Mexico que j’ai du voir lors d’une première partie. Sur scène ils sont trois, un bassiste, un batteur et enfin un organiste chanteur. Leur credo ? Une pop bien propre avec un parfum d’électronique. Bon j’avoue qu’il n’y a pas de quoi s’enthousiasmer, mais j’ai tout de même bien aimé un morceau qui s’appelle je crois The Behinders et qui m’a fait penser aux Sparks. Le dernier morceau joué du nom de The Protocole m’a lui aussi semblé de bonne facture. 33 minutes de concert dans un anonymat relatif.
J’ai de la chance, j’ai la tête qui passe entre deux retours, je verrai enfin l’organiste, le chanteur et le second guitariste, par contre je ne vois pas le batteur et très peu le bassiste de Shout Out Louds. Le concert débute plutôt de belle manière avec 1999 le morceau qui ouvre l’album Work avec une version plutôt convaincante puis un peu plus tard ce sera Very Loud un de leurs meilleurs morceaux extrait du premier album, jusque-là les compositions suffisent à accaparer mon attention et je chante même le refrain «Little By Little» avec un certain entrain. La machine est-elle lancée ? Et bien malheureusement non. La raison ? En vérité je n’en sais trop rien, le groupe semble irréprochable ce soir, mais il semble y avoir un fossé entre le groupe et le public. Même Adam Olénius qui naguère descendait dans la fosse extasiée de la Maroquinerie semble être impuissant à faire passer des émotions ou tout simplement un semblant de flamme et de ferveur à un public bien trop distant et trop sage. Alors oui il y aura bien lors du dernier quart d’heure un peu d’animation derrière moi surtout par la présence de quelques personnes éméchées, c’est dingue d’ailleurs ce besoin qu’éprouvent certains de boire pour pouvoir apprécier un concert. Bref, je ne m’ennuie pas, mais je ne prends pas vraiment de plaisir, juste quelques fulgurances avec The Comeback bien sur ou alors impossible (un de leurs plus beaux morceaux) joué en rappel. Déception donc même si pour la première fois je vais pouvoir suivre la très réservée Bebban qui va passer des claviers à l’accordéon sans oublier un morceau au tambour. Dommage tout de même, le son était bon, l’éclairage aussi, manquait l’ambiance.
Un coup d’œil au chrono, 1 h 20 de concert, je ramasse la setlist et je regarde autour de moi: la salle s’est déjà bien vidée. Avec Michael nous sommes du même avis, ce n’était pas un grand concert malheureusement et pour moi la Machine est en partie responsable de cet état de fait, pas une salle de concert, plutôt une boite pour danser à mon avis. Dommage, j’aurais du aller voir Arbouretum… »
Et puis cette sale habitude d’ouvrir les portes tardivement, cette fois c’est à 20 h 30, l’heure indiquée sur les billets, toutefois ! Pas la grande foule ce soir, 400 personnes, peut être un peu plus, mais en tout cas moins qu’une Maroquinerie sold out, cela laisse à penser que beaucoup de gens n’apprécient pas ce lieu. Je patiente tranquillement devant la scène sans trop savoir où me placer, de préférence entre deux retours, c’est la seule chose de sûre !
La première partie est une ancienne connaissance, il s’agit en l’occurrence de Please Don’t Blame Mexico que j’ai du voir lors d’une première partie. Sur scène ils sont trois, un bassiste, un batteur et enfin un organiste chanteur. Leur credo ? Une pop bien propre avec un parfum d’électronique. Bon j’avoue qu’il n’y a pas de quoi s’enthousiasmer, mais j’ai tout de même bien aimé un morceau qui s’appelle je crois The Behinders et qui m’a fait penser aux Sparks. Le dernier morceau joué du nom de The Protocole m’a lui aussi semblé de bonne facture. 33 minutes de concert dans un anonymat relatif.
J’ai de la chance, j’ai la tête qui passe entre deux retours, je verrai enfin l’organiste, le chanteur et le second guitariste, par contre je ne vois pas le batteur et très peu le bassiste de Shout Out Louds. Le concert débute plutôt de belle manière avec 1999 le morceau qui ouvre l’album Work avec une version plutôt convaincante puis un peu plus tard ce sera Very Loud un de leurs meilleurs morceaux extrait du premier album, jusque-là les compositions suffisent à accaparer mon attention et je chante même le refrain «Little By Little» avec un certain entrain. La machine est-elle lancée ? Et bien malheureusement non. La raison ? En vérité je n’en sais trop rien, le groupe semble irréprochable ce soir, mais il semble y avoir un fossé entre le groupe et le public. Même Adam Olénius qui naguère descendait dans la fosse extasiée de la Maroquinerie semble être impuissant à faire passer des émotions ou tout simplement un semblant de flamme et de ferveur à un public bien trop distant et trop sage. Alors oui il y aura bien lors du dernier quart d’heure un peu d’animation derrière moi surtout par la présence de quelques personnes éméchées, c’est dingue d’ailleurs ce besoin qu’éprouvent certains de boire pour pouvoir apprécier un concert. Bref, je ne m’ennuie pas, mais je ne prends pas vraiment de plaisir, juste quelques fulgurances avec The Comeback bien sur ou alors impossible (un de leurs plus beaux morceaux) joué en rappel. Déception donc même si pour la première fois je vais pouvoir suivre la très réservée Bebban qui va passer des claviers à l’accordéon sans oublier un morceau au tambour. Dommage tout de même, le son était bon, l’éclairage aussi, manquait l’ambiance.
Un coup d’œil au chrono, 1 h 20 de concert, je ramasse la setlist et je regarde autour de moi: la salle s’est déjà bien vidée. Avec Michael nous sommes du même avis, ce n’était pas un grand concert malheureusement et pour moi la Machine est en partie responsable de cet état de fait, pas une salle de concert, plutôt une boite pour danser à mon avis. Dommage, j’aurais du aller voir Arbouretum… »
photos : http://www.photosconcerts.com/shout-out-louds-paris-machine-%28du-moulin-rouge%29-2011-03-28-4965
Shout Out Louds est un groupe de pop/rock originaire de Stockholm (Suède). Formés en 2001, ils jouent une musique à la croisée du rock et de la New Wave.
ALBUMS
Howl Howl Gaff Gaff (October 1, 2003, international version, May 24, 2005)
Our Ill Wills (April 25, 2007)
Work (February 23, 2010)
Our Ill Wills (April 25, 2007)
Work (February 23, 2010)
EPs
100° EP (2003)
Oh, Sweetheart EP (2004)
Very Loud EP (2004)
Combines EP (Remixes) (2006)
100° EP (2003)
Oh, Sweetheart EP (2004)
Very Loud EP (2004)
Combines EP (Remixes) (2006)
Adam Olenius - vocals, guitar
Ted Malmros - bass, percussion, backing vocals
Carl von Arbin - guitar, backing vocals
Eric Edman - drums
Bebban Stenborg - keyboards, accordion, glockenspiel, moog, backing vocals
La Setlist du Concert
SHOUT OUT LOUDS
SHOUT OUT LOUDS
01. 1999 (Work - 2010)
02. South America (Our III Wills - 2007)
03. Very Loud (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
03. Very Loud (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
04. Paper Moon (Work - 2010)
05. Fall Hard (Work - 2010)
06. Candle Burnet Out (Work - 2010)
07. Please Please Please (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
08. Too Late Too Slow (Work - 2010)
09. The Comeback (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
10. Throwing Stones (Work - 2010)
10. Throwing Stones (Work - 2010)
11. Parents Living Room (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
12. You Are Dreaming (Howl Howl Gaff Gaff - 2005)
13. Tonight I Have To Leave It (Our III Wills - 2007)
Encore
14. Go Sadness (Howl Howl Gaff Gaff- Release - 2005)
15. Impossible (Our III Wills - 2007)
14. Walls (Work - 2010)
La durée du concert : 1h20
AFFICHE / PROMO / FLYER
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