Première Partie:
« La raison de ma venue ce soir au Point FMR tient plus à la présence des Luyas qu’à celle des Dodos. En fin de compte c’est une erreur, car les Dodos vont nous donner un excellent concert, mais jusque-là, je ne m’étais jamais vraiment penché sur ce groupe... à tort d’ailleurs. Concert sold out, ce soir je suis avec Philippe M qui lui a vu les Luyas quelque temps auparavant.
Les Luyas nous viennent du Canada, d’où de nombreux excellents groupes éclosent régulièrement. The Luyas en font partie, mais leur originalité est de proposer une musique et des sons un peu anachroniques. D’ailleurs sur scène le schéma est assez étrange. Plein centre l’espiègle Jessie Stein qui mène la danse de sa voix presque enfantine tout en jouant de la guitare et d’un instrument bizarre dont je ne saurai dire le nom, mélange de guitare, d’épinette et de slide avec au moins douze cordes, et puis sur la droite juste en face de nous on trouve Pietro Amato l’autre élément important du groupe qui assis sur une chaise joue du cor français !! Plutôt originale et anachronique. Au premier abord, la musique surprend, car les rythmes sont en contre temps, mélange de rythmes tribaux et de bruitages divers le tout surmonté par la voix innocente de Jessie. Et malgré le côté bizarre et surprenant de la musique, on se prend vite au jeu et on se laisse aller à ce que l’on pourrait presque qualifier de musique d’avant-garde. Le cor apporte un côté un peu intemporel à la chose. En tout cas, on ne peut pas rester insensible à leur musique éthérée et parfois atmosphérique, on apprécie sans d’ailleurs comprendre pourquoi, ou alors on n’accroche pas du tout. Le morceau le plus accessible est bien sur Too Beautiful To Work joué en plein milieu du set. Il est clair que le groupe, et particulièrement Jessie, prend beaucoup de plaisir à jouer à Paris et le public le leur rend bien. La grosse différence tout de même entre le studio et la performance live c’est que l’on retrouve sur scène un côté beaucoup plus rock et presque accessible que sur le CD. The Luyas vont en l’espace de 40 minutes me séduire en douceur.
Bon, avouons le, je ne connais les Dodos que de nom, je n’ai jamais voulu m’y intéresser ni même écouter quoique ce soit sur Internet. Mea Culpa donc, car je pensais bêtement que le groupe était apparenté à la famille folk indé, un de plus me disais je. Autant le dire tout de suite, sur scène The Dodos ça envoie sec, très sec même. Les trois membres du groupe sont sur le devant de la scène avec la batterie, plein centre, entourée de deux guitaristes. Ce soir c’est bien sur le petit dernier dénommé Colors qui sera à l’honneur. Et plus le concert évoluera, plus je serais séduit par le groupe qui finira son concert en mode débridé avec en bonus la présence de Jessie Stein pour un final particulièrement jouissif. Leur musique est assez difficile à décrire, une sorte de croisement avec un groupe comme The Violent Femmes qui aurait rencontré les fées du folk sans oublier leur côté tribal et parfois presque primitif. 1 h 14 de plaisir avec un groupe qui sur scène ajoute encore plus de force à leur musique simple et lumineuse. Pour ma part une découverte il faut bien l’avouer, car j’étais jusque-là passé un peu à côté de ce groupe. »
Les Luyas nous viennent du Canada, d’où de nombreux excellents groupes éclosent régulièrement. The Luyas en font partie, mais leur originalité est de proposer une musique et des sons un peu anachroniques. D’ailleurs sur scène le schéma est assez étrange. Plein centre l’espiègle Jessie Stein qui mène la danse de sa voix presque enfantine tout en jouant de la guitare et d’un instrument bizarre dont je ne saurai dire le nom, mélange de guitare, d’épinette et de slide avec au moins douze cordes, et puis sur la droite juste en face de nous on trouve Pietro Amato l’autre élément important du groupe qui assis sur une chaise joue du cor français !! Plutôt originale et anachronique. Au premier abord, la musique surprend, car les rythmes sont en contre temps, mélange de rythmes tribaux et de bruitages divers le tout surmonté par la voix innocente de Jessie. Et malgré le côté bizarre et surprenant de la musique, on se prend vite au jeu et on se laisse aller à ce que l’on pourrait presque qualifier de musique d’avant-garde. Le cor apporte un côté un peu intemporel à la chose. En tout cas, on ne peut pas rester insensible à leur musique éthérée et parfois atmosphérique, on apprécie sans d’ailleurs comprendre pourquoi, ou alors on n’accroche pas du tout. Le morceau le plus accessible est bien sur Too Beautiful To Work joué en plein milieu du set. Il est clair que le groupe, et particulièrement Jessie, prend beaucoup de plaisir à jouer à Paris et le public le leur rend bien. La grosse différence tout de même entre le studio et la performance live c’est que l’on retrouve sur scène un côté beaucoup plus rock et presque accessible que sur le CD. The Luyas vont en l’espace de 40 minutes me séduire en douceur.
Bon, avouons le, je ne connais les Dodos que de nom, je n’ai jamais voulu m’y intéresser ni même écouter quoique ce soit sur Internet. Mea Culpa donc, car je pensais bêtement que le groupe était apparenté à la famille folk indé, un de plus me disais je. Autant le dire tout de suite, sur scène The Dodos ça envoie sec, très sec même. Les trois membres du groupe sont sur le devant de la scène avec la batterie, plein centre, entourée de deux guitaristes. Ce soir c’est bien sur le petit dernier dénommé Colors qui sera à l’honneur. Et plus le concert évoluera, plus je serais séduit par le groupe qui finira son concert en mode débridé avec en bonus la présence de Jessie Stein pour un final particulièrement jouissif. Leur musique est assez difficile à décrire, une sorte de croisement avec un groupe comme The Violent Femmes qui aurait rencontré les fées du folk sans oublier leur côté tribal et parfois presque primitif. 1 h 14 de plaisir avec un groupe qui sur scène ajoute encore plus de force à leur musique simple et lumineuse. Pour ma part une découverte il faut bien l’avouer, car j’étais jusque-là passé un peu à côté de ce groupe. »
The Luyas est un quintette de Montréal, Québec, Canada. Le groupe a été formé en 2006.
(http://theluyas.wordpress.com/)
(http://www.myspace.com/theluyas)
(http://www.myspace.com/theluyas)
(http://www.myspace.com/theluyas)
(http://www.myspace.com/theluyas)
The Dodos est un groupe de rock expérimental formé à San Francisco, Californie en 2005, combinant psyché folk, New Weird America et influences noisy.
Albums
Faker Death - 2007, cd, rerelease 2008
Too Beautiful to Work - 2011
EP
Tiny Head/Spherical Mattress 7" - 2009
Dodo Bird Meric Long (2005)
Beware of the Maniacs (2006)
Visiter (2008) (2006)
Time To Die (2009) ( 2009)
No Color (2011)
THE LUYAS
Jessie Stein (vocals/guitars/moodswinger)
Pietro Amato (French Horn, bells, keys)
Stefan Schneider (drums)
Mathieu Charbonneau (Wurlitzer
THE DODOS
Faker Death - 2007, cd, rerelease 2008
Too Beautiful to Work - 2011
EP
Tiny Head/Spherical Mattress 7" - 2009
Dodo Bird Meric Long (2005)
Beware of the Maniacs (2006)
Visiter (2008) (2006)
Time To Die (2009) ( 2009)
No Color (2011)
THE LUYAS
Jessie Stein (vocals/guitars/moodswinger)
Pietro Amato (French Horn, bells, keys)
Stefan Schneider (drums)
Mathieu Charbonneau (Wurlitzer
THE DODOS
Meric Long : Chant, Guitare
Logan Kroeber : Batterie
Keaton Snyder : Vibraphone (Depuis 2009)
Logan Kroeber : Batterie
Keaton Snyder : Vibraphone (Depuis 2009)
La Setlist du Concert
THE LUYAS
Spherical Mattress (Too Beautiful to Work - 2011)
Cold Canada (Too Beautiful to Work - 2011)
Moodslaye (Too Beautiful to Work - 2011)
What Mercy Is (Too Beautiful to Work - 2011)
Too Beautiful To Work (Too Beautiful to Work - 2011)
Canary (Too Beautiful to Work - 2011)
?
Tiny Head (Too Beautiful to Work - 2011)
Spherical Mattress (Too Beautiful to Work - 2011)
Cold Canada (Too Beautiful to Work - 2011)
Moodslaye (Too Beautiful to Work - 2011)
What Mercy Is (Too Beautiful to Work - 2011)
Too Beautiful To Work (Too Beautiful to Work - 2011)
Canary (Too Beautiful to Work - 2011)
?
Tiny Head (Too Beautiful to Work - 2011)
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