9e Édition ! 3 Jours ! 4 Scènes ! 60 Concerts !
SCÈNE DE LA CASCADE
GRANDE SCÈNE
Ce qu’en a pensé Emilie :
« Vexée par l’augmentation de prix, je n’ai pas réservé mon pass Rock en Seine à l’avance… et j’ai perdu 10€, cédant finalement à la programmation alléchante. En ce vendredi d’ouverture du festival, Guillaume m’accompagne pour la première fois. Arrivés à 16h, la file d’attente étant un peu plus longue que ce que j’aurais cru, nous manquons le début du set de Biffy Clyro. 
Ayant tous deux fort apprécié la prestation des Écossais en première partie de QOTSA il y a trois ans, nous avions très envie de les revoir. Ils entament Who’s Got A Match ? lorsque nous atteignons enfin la scène de la Cascade. Au final, mais peut-être était-ce à cause de notre arrivée tardive qui réduisit le concert à six titres seulement, on repartit un peu déçus, le groupe (devenu quatuor sur scène) oscillant entre titres énormes (Who’s Got A Match ? donc, mais aussi Living Is A Problem) et morceaux tendance rock FM bien plus faibles et qui, s’ils semblent plus appréciés par le public, refroidissent l’ambiance de notre côté (je pense notamment à Mountains, elle me fatigue cette chanson, et forcément ils ont clos le set avec). Un ensemble en demi-teinte donc, même si Simon Neil, avec son énergie à revendre et son look de Jésus, torse nu et simplement vêtu d’un pantalon mauve, vaut à lui seul le détour.
Bien que j’aurais aimé jeté une oreille à Herman Düne (j’adore la chanson Not On Top), je préfère qu’on aille tout de suite se placer pour CSS, n’ayant pas envie de me contenter des écrans de la grande scène. Nous avons pu de ce fait entendre Odd Future, et constater que nous n’avons absolument aucune ouverture musicale : ça nous a paru horrible. Nous restons à distance respectable (le premier rang c’est pas le truc de Guillaume, et moi-même je n’étais pas vraiment d’humeur ce week-end, avec le son très fort et pas toujours très bon, et la foule). Je remercie du coup Lovefoxxx et sa tenue rouge vif ! Je n’avais pas revu les Brésiliens depuis qu’on les avait découverts aux Transmusicales 2006, et même si je venais surtout pour eux, j’étais pleine d’appréhension. À l’époque on débarquait de notre province, c’était notre premier vrai concert, on ne faisait pas vraiment attention si c’était excellent ou pas, tant que le groupe jouait. Avec le recul, aurais-je autant de plaisir à les voir sur scène ? D’autant que je ne suis pas fan du deuxième album, pas du tout fan d’électro en général, et que cette prestation de jour n’incite pas le public à se montrer dansant et enthousiaste. 
L’ouverture sur I Love You, extrait du dernier album, augmente mes craintes, avant qu’Off The Hook ne me fasse oublier tout ça. Pour sûr, techniquement, le groupe n’atteint pas le niveau de ce qui suivra sur cette même scène. Mais c’est bien un groupe de rock que j’ai en face de moi, l’une des filles a quitté le groupe, mais un nouveau batteur est présent, ils sont donc toujours six sur scène. Et les petites perles composées par Adriano Cintra (qui alterne guitare et clavier, et reste un peu trop en retrait à mon goût, apparaissant peu sur les écrans) s’enchaînent sans problème, même si, comme je le craignais, le public est plutôt mou. Lovefoxxx chante définitivement mieux qu’aux débuts du groupe, mais c’est surtout une vraie furie, elle court partout, fait des galipettes, se déshabille pour laisser apparaître un t-shirt également rouge marqué « TRASH », un mini short en jean et une cape noire façon Batman. Elle portera même un masque d’ailleurs. La scène est envahie de bulles de savon, Adriano pousse des « yeah » incongrus, Lovefoxxx nous annonce qu’elle va se marier et lance un bouquet dans le public, plus que la qualité musicale on retiendra plutôt une grande fête géante, mais j’en ressors définitivement heureuse, avec cerise sur le gâteau, l’enchaînement final Music Is My Hot Hot Sex et City Grrrl, pour laquelle je m’étais déjà prise de passion alors que je n’avais l’album que depuis quelques jours (« I wish I would dye my hair pink, put on black lipstick, no one would give a shit » ou encore « Why are you looking as if I was abnormal, it’s alright I never tried to be normal »). Pour une fois qu’une setlist me plaît, il faut bien que je le précise. Bon c’est trop court par contre 45 minutes, mais je les revois en décembre ça compense. Malheureusement Lovefoxx s’est fait mal à la fin du concert et a été évacuée en ambulance, les écrans n’ont pas filmé ça et j’ai eu la chance de ne l’apprendre qu’après, sinon ça m’aurait terrifiée. Mais elle en fut quitte pour quelques jours de béquilles, ouf !
Même si j’aurais aimé pouvoir assister à la performance de Big Audio Dynamite (Mick Jones en personne, quoi !), la programmation m’oblige à faire une croix dessus, j’aime pas mal de chansons des Kills et comme on était déjà sur la grande scène, autant y rester, même si Guillaume n’est pas fan du duo Anglo-Américain (il a patienté avec un kebab ;-) ). Même si les Kills ne sont définitivement pas un groupe de festival, j’ai beaucoup apprécié le concert, cette musique minimaliste, presque tribale, et pourtant moderne, la voix d’Alison Mosshart, son énergie, et puis ils ne seront que deux sur scène la plupart du temps, rien que ça c’est énorme. Jamie Hince est un excellent guitariste, les chœurs de Satellite repris par le public étaient splendides, malgré les reviews négatives que j’ai pu lire un peu partout, j’ai vraiment trouvé que c’était un très bon concert. Mais je n’ai pas de point de comparaison, je ne les avais jamais vus avant. Côté points négatifs, on citera la froideur de VV sous ses airs de tigresse (quand elle a dit « Merci », elle aurait pu dire « Vos gueules », ça aurait fait le même effet) mais ça colle plus à leur musique de toute façon. L’absence de Cheap And Cheerful m’a un peu ennuyée, et 55 minutes pour une tête d’affiche, même en festival c’est léger (mais pas forcément de leur faute). Le set s’est terminé, sur une touchante ballade, au bout de dix titres seulement.
À présent, nous commençons à fatiguer et à avoir froid (on s’est pris une averse avant CSS), mais sans être fan des Foo Fighters, on les aime bien et une bonne partie de notre argent est parti dans leur cachet, on ne va pas s’en aller maintenant ! C’est même probablement le groupe que Guillaume avait le plus envie de voir. Et il ne fut pas déçu ! C’est un Dave Grohl en pleine forme qui revient en France après plusieurs années d’absence, pour offrir un show d’anthologie de plus de deux heures (le groupe est monté sur scène un quart d’heure avant l’horaire prévu, et a largement débordé du créneau qui lui était alloué, tout en rentabilisant le temps au maximum, Dave nous prévenant que bon, faire un rappel en bonne et due forme serait du temps perdu, alors on devait considérer que c’était fait). Certes, Dave hurle plus qu’il ne chante, certes, la grande majorité des chansons des FF sont du rock FM grand public pas fin pour deux sous, certes, l’ombre de Nirvana plane sur eux depuis leur création (Pat Smear est d’ailleurs de retour dans leurs rangs, et sera copieusement applaudi par le public, un poil plus que les autres musiciens). Mais on ne peut rien dire quant à leur prestation scénique, énorme, Taylor Hawkins impérial derrière ses fûts, et trois guitares, on s’en est pris plein les oreilles, mais putain c’était bon ! Bon, seul petit bémol, Grohl n’est peut-être pas obligé de copier Josh Homme en apostrophant les gars de la sécurité, ça commence à sentir le réchauffé leur truc. À part ça, les moments de calme étaient très rares, les tubes se sont enchaînés, j’étais dans le bain dès le troisième morceau The Pretender et sa superbe montée en puissance, j’ai hurlé sur Breakout, le passage du film Fous d’Irène en tête, j’ai ri aux blagues de Dave, j’ai hurlé encore sur Best Of You, j’ai crié « Noooo » lorsque Dave nous demandait si on en avait eu assez, alors que mes jambes répondaient l’inverse, et au final, je me dis que les Foo Fighters, même si Dave est meilleur à la batterie, c’est quand même un putain de groupe. Même si je préfère Nirvana, le passé c’est le passé, et les deux groupes ne sont pas comparables. À noter, la présence d’un émouvant panneau en hommage au Pukkelpop dans le public.
On avait vraiment envie d’aller voir Death In Vegas, mais la fatigue, le set déjà commencé et la foule amassée du côté de la scène Pression auront raison de nous. Et puis, on finit ainsi sur un concert parfait, et j’ai encore deux jours à tenir, il me faut un peu de repos ! »
photos de
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(http://www.rockenseine.com/fr/)
(http://www.myspace.com/rockenseine)
(http://fr-fr.facebook.com/rockenseine)
Biffy Clyro est un groupe de rock alternatif écossais. Malgré une apparente tranquillité au niveau des mélodies, celles-ci se construisent autour d'un mur de son énorme, avec des sons distendus et une batterie puissante. Lorsque Simon Neil chante, les autres membres du trio chantent en cœur derrière, ce qui assure des mélodies délicates, malgré une voix rugissante. Biffy Clyro est l'un des rares groupes à avoir une sorte de slogan. Celui-ci est "Mon the Biffy!" (aussi "Mon the Biff!"), et le public britannique a pris l'habitude de le hurler pendant les concerts. Depuis 2000, ils ont enchaîné les succès, rentrant assez régulièrement dans les charts britanniques et américains.
Cansei de Ser Sexy (littéralement « fatigué(e) d'être sexy » en portugais), aussi connu sous le sigle CSS, est un groupe de São Paulo au Brésil formé en septembre 2003. La principale influence musicale du groupe est l'électro-rock, mais aussi d'autres formes d'art, comme le design, le cinéma et la mode, avec des paroles humoristiques en anglais approximatif et portugais.
(http://www.myspace.com/canseidesersexy)
(http://csshurtssuxxx.blogspot.com/)
( http://www.facebook.com/CSSSUXXX?sk=info)
EPs
Black Rooster EP (2002)
Fried My Little Brains. Japon, (2003)
Run Home Slow, Rough Trade. USA (2005)
Black Balloon EP (2009)
Foo Fighters (1995)
The Colour and the Shape (1997)
There Is Nothing Left to Lose (1999)
One by One (2002)
In Your Honor (2005)
Echoes, Silence, Patience & Grace (2007)
Wasting Light (2011)
Dave Grohl - lead vocals, rhythm & lead guitars, drums (1994-present)
Nate Mendel – bass guitar (1995–present)
Taylor Hawkins – drums, backing vocals (1997–present)
Chris Shiflett – lead & rhythm guitars, backing vocals (1999–present)
Pat Smear – rhythm & lead guitar (1995-1997, 2006-present)
La Setlist du Concert
La durée du concert : 0h40
La durée du concert : 0h40
La durée du concert : 1h00
La durée du concert : 2h00
AFFICHE / PROMO / FLYER
Ayant tous deux fort apprécié la prestation des Écossais en première partie de QOTSA il y a trois ans, nous avions très envie de les revoir. Ils entament Who’s Got A Match ? lorsque nous atteignons enfin la scène de la Cascade. Au final, mais peut-être était-ce à cause de notre arrivée tardive qui réduisit le concert à six titres seulement, on repartit un peu déçus, le groupe (devenu quatuor sur scène) oscillant entre titres énormes (Who’s Got A Match ? donc, mais aussi Living Is A Problem) et morceaux tendance rock FM bien plus faibles et qui, s’ils semblent plus appréciés par le public, refroidissent l’ambiance de notre côté (je pense notamment à Mountains, elle me fatigue cette chanson, et forcément ils ont clos le set avec). Un ensemble en demi-teinte donc, même si Simon Neil, avec son énergie à revendre et son look de Jésus, torse nu et simplement vêtu d’un pantalon mauve, vaut à lui seul le détour.
Bien que j’aurais aimé jeté une oreille à Herman Düne (j’adore la chanson Not On Top), je préfère qu’on aille tout de suite se placer pour CSS, n’ayant pas envie de me contenter des écrans de la grande scène. Nous avons pu de ce fait entendre Odd Future, et constater que nous n’avons absolument aucune ouverture musicale : ça nous a paru horrible. Nous restons à distance respectable (le premier rang c’est pas le truc de Guillaume, et moi-même je n’étais pas vraiment d’humeur ce week-end, avec le son très fort et pas toujours très bon, et la foule). Je remercie du coup Lovefoxxx et sa tenue rouge vif ! Je n’avais pas revu les Brésiliens depuis qu’on les avait découverts aux Transmusicales 2006, et même si je venais surtout pour eux, j’étais pleine d’appréhension. À l’époque on débarquait de notre province, c’était notre premier vrai concert, on ne faisait pas vraiment attention si c’était excellent ou pas, tant que le groupe jouait. Avec le recul, aurais-je autant de plaisir à les voir sur scène ? D’autant que je ne suis pas fan du deuxième album, pas du tout fan d’électro en général, et que cette prestation de jour n’incite pas le public à se montrer dansant et enthousiaste. 
L’ouverture sur I Love You, extrait du dernier album, augmente mes craintes, avant qu’Off The Hook ne me fasse oublier tout ça. Pour sûr, techniquement, le groupe n’atteint pas le niveau de ce qui suivra sur cette même scène. Mais c’est bien un groupe de rock que j’ai en face de moi, l’une des filles a quitté le groupe, mais un nouveau batteur est présent, ils sont donc toujours six sur scène. Et les petites perles composées par Adriano Cintra (qui alterne guitare et clavier, et reste un peu trop en retrait à mon goût, apparaissant peu sur les écrans) s’enchaînent sans problème, même si, comme je le craignais, le public est plutôt mou. Lovefoxxx chante définitivement mieux qu’aux débuts du groupe, mais c’est surtout une vraie furie, elle court partout, fait des galipettes, se déshabille pour laisser apparaître un t-shirt également rouge marqué « TRASH », un mini short en jean et une cape noire façon Batman. Elle portera même un masque d’ailleurs. La scène est envahie de bulles de savon, Adriano pousse des « yeah » incongrus, Lovefoxxx nous annonce qu’elle va se marier et lance un bouquet dans le public, plus que la qualité musicale on retiendra plutôt une grande fête géante, mais j’en ressors définitivement heureuse, avec cerise sur le gâteau, l’enchaînement final Music Is My Hot Hot Sex et City Grrrl, pour laquelle je m’étais déjà prise de passion alors que je n’avais l’album que depuis quelques jours (« I wish I would dye my hair pink, put on black lipstick, no one would give a shit » ou encore « Why are you looking as if I was abnormal, it’s alright I never tried to be normal »). Pour une fois qu’une setlist me plaît, il faut bien que je le précise. Bon c’est trop court par contre 45 minutes, mais je les revois en décembre ça compense. Malheureusement Lovefoxx s’est fait mal à la fin du concert et a été évacuée en ambulance, les écrans n’ont pas filmé ça et j’ai eu la chance de ne l’apprendre qu’après, sinon ça m’aurait terrifiée. Mais elle en fut quitte pour quelques jours de béquilles, ouf !
Même si j’aurais aimé pouvoir assister à la performance de Big Audio Dynamite (Mick Jones en personne, quoi !), la programmation m’oblige à faire une croix dessus, j’aime pas mal de chansons des Kills et comme on était déjà sur la grande scène, autant y rester, même si Guillaume n’est pas fan du duo Anglo-Américain (il a patienté avec un kebab ;-) ). Même si les Kills ne sont définitivement pas un groupe de festival, j’ai beaucoup apprécié le concert, cette musique minimaliste, presque tribale, et pourtant moderne, la voix d’Alison Mosshart, son énergie, et puis ils ne seront que deux sur scène la plupart du temps, rien que ça c’est énorme. Jamie Hince est un excellent guitariste, les chœurs de Satellite repris par le public étaient splendides, malgré les reviews négatives que j’ai pu lire un peu partout, j’ai vraiment trouvé que c’était un très bon concert. Mais je n’ai pas de point de comparaison, je ne les avais jamais vus avant. Côté points négatifs, on citera la froideur de VV sous ses airs de tigresse (quand elle a dit « Merci », elle aurait pu dire « Vos gueules », ça aurait fait le même effet) mais ça colle plus à leur musique de toute façon. L’absence de Cheap And Cheerful m’a un peu ennuyée, et 55 minutes pour une tête d’affiche, même en festival c’est léger (mais pas forcément de leur faute). Le set s’est terminé, sur une touchante ballade, au bout de dix titres seulement.
À présent, nous commençons à fatiguer et à avoir froid (on s’est pris une averse avant CSS), mais sans être fan des Foo Fighters, on les aime bien et une bonne partie de notre argent est parti dans leur cachet, on ne va pas s’en aller maintenant ! C’est même probablement le groupe que Guillaume avait le plus envie de voir. Et il ne fut pas déçu ! C’est un Dave Grohl en pleine forme qui revient en France après plusieurs années d’absence, pour offrir un show d’anthologie de plus de deux heures (le groupe est monté sur scène un quart d’heure avant l’horaire prévu, et a largement débordé du créneau qui lui était alloué, tout en rentabilisant le temps au maximum, Dave nous prévenant que bon, faire un rappel en bonne et due forme serait du temps perdu, alors on devait considérer que c’était fait). Certes, Dave hurle plus qu’il ne chante, certes, la grande majorité des chansons des FF sont du rock FM grand public pas fin pour deux sous, certes, l’ombre de Nirvana plane sur eux depuis leur création (Pat Smear est d’ailleurs de retour dans leurs rangs, et sera copieusement applaudi par le public, un poil plus que les autres musiciens). Mais on ne peut rien dire quant à leur prestation scénique, énorme, Taylor Hawkins impérial derrière ses fûts, et trois guitares, on s’en est pris plein les oreilles, mais putain c’était bon ! Bon, seul petit bémol, Grohl n’est peut-être pas obligé de copier Josh Homme en apostrophant les gars de la sécurité, ça commence à sentir le réchauffé leur truc. À part ça, les moments de calme étaient très rares, les tubes se sont enchaînés, j’étais dans le bain dès le troisième morceau The Pretender et sa superbe montée en puissance, j’ai hurlé sur Breakout, le passage du film Fous d’Irène en tête, j’ai ri aux blagues de Dave, j’ai hurlé encore sur Best Of You, j’ai crié « Noooo » lorsque Dave nous demandait si on en avait eu assez, alors que mes jambes répondaient l’inverse, et au final, je me dis que les Foo Fighters, même si Dave est meilleur à la batterie, c’est quand même un putain de groupe. Même si je préfère Nirvana, le passé c’est le passé, et les deux groupes ne sont pas comparables. À noter, la présence d’un émouvant panneau en hommage au Pukkelpop dans le public.On avait vraiment envie d’aller voir Death In Vegas, mais la fatigue, le set déjà commencé et la foule amassée du côté de la scène Pression auront raison de nous. Et puis, on finit ainsi sur un concert parfait, et j’ai encore deux jours à tenir, il me faut un peu de repos ! »
photos de
http://www.photosconcerts.com/the-kills-saint-cloud-domaine-national-2011-08-26-festival-rock-seine-5335
http://www.photosconcerts.com/foo-fighters-saint-cloud-domaine-national-2011-08-26-festival-rock-seine-5338
http://www.photosconcerts.com/foo-fighters-saint-cloud-domaine-national-2011-08-26-festival-rock-seine-5338
Rock en Seine est un festival de rock qui a lieu depuis 2003 dans le parc de Saint-Cloud (département des Hauts-de-Seine), au cœur de jardins historiques dessinés par Le Nôtre. En quelques années d’existence, ce festival est devenu incontournable, grâce à une programmation éclectique de qualité et il est devenu LE dernier grand rendez-vous de l'été en France. 108.000 visiteurs estimés pour 2011.
(http://www.rockenseine.com/fr/)
(http://www.myspace.com/rockenseine)
(http://fr-fr.facebook.com/rockenseine)
Biffy Clyro est un groupe de rock alternatif écossais. Malgré une apparente tranquillité au niveau des mélodies, celles-ci se construisent autour d'un mur de son énorme, avec des sons distendus et une batterie puissante. Lorsque Simon Neil chante, les autres membres du trio chantent en cœur derrière, ce qui assure des mélodies délicates, malgré une voix rugissante. Biffy Clyro est l'un des rares groupes à avoir une sorte de slogan. Celui-ci est "Mon the Biffy!" (aussi "Mon the Biff!"), et le public britannique a pris l'habitude de le hurler pendant les concerts. Depuis 2000, ils ont enchaîné les succès, rentrant assez régulièrement dans les charts britanniques et américains.
(http://www.myspace.com/biffyclyro)
(http://www.biffyclyro.com/home.htm)
(http://www.facebook.com/biffyclyro1)
(http://www.biffyclyro.com/home.htm)
(http://www.facebook.com/biffyclyro1)
Cansei de Ser Sexy (littéralement « fatigué(e) d'être sexy » en portugais), aussi connu sous le sigle CSS, est un groupe de São Paulo au Brésil formé en septembre 2003. La principale influence musicale du groupe est l'électro-rock, mais aussi d'autres formes d'art, comme le design, le cinéma et la mode, avec des paroles humoristiques en anglais approximatif et portugais.
(http://www.myspace.com/canseidesersexy)
(http://csshurtssuxxx.blogspot.com/)
( http://www.facebook.com/CSSSUXXX?sk=info)
The Kills est un groupe de garage rock, fondé en 2001. Bien que le duo était au départ timide et se craignait mutuellement, Mosshart est persuadé qu’ils sont des âmes sœurs, stupéfié par ce qu’ils ont en commun. Cette puissante unité est la raison pour laquelle ils jouent seuls tous les instruments et produisent eux même leurs enregistrements. Le duo anglo-américain est viscéralement attaché à la dimension créatrice d'un rock composé avec urgence. Refrains accrocheurs, rythmiques assouplies, chants heurtés ou voluptueux.
(http://www.facebook.com/TheKills)
Foo Fighters est un groupe de rock américain formé en 1994 à Seattle. Il trouva son origine dans la dissolution de Nirvana, suite à la mort de son leader, Kurt Cobain.
Dave Grohl, le batteur du groupe se lance alors dans son projet, un album intitulé Foo Fighters sur lequel il enregistre tous les instruments à l'exception de quelques titres enregistrés avec l'aide de Krist Novoselic, ancien bassiste de Nirvana, et Pat Smear, ancien guitariste (live) de ce même groupe et membre des Germs.
Cependant, ne se voyant pas entamer une carrière solo, Dave Grohl enrôle dans les Foo Fighters un guitariste, un batteur et un bassiste dont il ne reste aujourd'hui que Nate Mendel, bassiste de la formation originale ainsi que Pat Smear qui fait son retour avec leur album sorti en 2011, Wasting Light.
(http://www.myspace.com/foofighters)
(http://www.foofighters.com/us/home)
(http://www.facebook.com/foofighters)
Foo Fighters est un groupe de rock américain formé en 1994 à Seattle. Il trouva son origine dans la dissolution de Nirvana, suite à la mort de son leader, Kurt Cobain.
Dave Grohl, le batteur du groupe se lance alors dans son projet, un album intitulé Foo Fighters sur lequel il enregistre tous les instruments à l'exception de quelques titres enregistrés avec l'aide de Krist Novoselic, ancien bassiste de Nirvana, et Pat Smear, ancien guitariste (live) de ce même groupe et membre des Germs.
Cependant, ne se voyant pas entamer une carrière solo, Dave Grohl enrôle dans les Foo Fighters un guitariste, un batteur et un bassiste dont il ne reste aujourd'hui que Nate Mendel, bassiste de la formation originale ainsi que Pat Smear qui fait son retour avec leur album sorti en 2011, Wasting Light.
(http://www.myspace.com/foofighters)
(http://www.foofighters.com/us/home)
(http://www.facebook.com/foofighters)
Albums
• Blackened Sky 11 Mars 2002
• The Vertigo of Bliss 16 Juin 2003
• Infinity Land 4 Octobre 2004
• Puzzle 4 Juin 2007
• Only Revolutions 9 Novembre 2009
• The Vertigo of Bliss 16 Juin 2003
• Infinity Land 4 Octobre 2004
• Puzzle 4 Juin 2007
• Only Revolutions 9 Novembre 2009
Cansei de Ser Sexy (2005/2006)
Donkey (2008)
La Liberación (2011)
Donkey (2008)
La Liberación (2011)
Albums
2003 : Keep on Your Mean Side
2005 : No Wow
2008 : Midnight Boom
2011 : Blood Pressures
2003 : Keep on Your Mean Side
2005 : No Wow
2008 : Midnight Boom
2011 : Blood Pressures
EPs
Black Rooster EP (2002)
Fried My Little Brains. Japon, (2003)
Run Home Slow, Rough Trade. USA (2005)
Black Balloon EP (2009)
Foo Fighters (1995)
The Colour and the Shape (1997)
There Is Nothing Left to Lose (1999)
One by One (2002)
In Your Honor (2005)
Echoes, Silence, Patience & Grace (2007)
Wasting Light (2011)
Simon Neil : Vocal & Guitar
James Johnston : Bass
Ben Johnston : Drums
James Johnston : Bass
Ben Johnston : Drums
Lovefoxxx - chant
Adriano Cintra - batterie, guitare, basse, chant et production
Luiza Sá - guitare, batterie et claviers
Ana Rezende - guitare et harmonica
Carolina Parra - guitare et batterie
Adriano Cintra - batterie, guitare, basse, chant et production
Luiza Sá - guitare, batterie et claviers
Ana Rezende - guitare et harmonica
Carolina Parra - guitare et batterie
Alison "VV" Mosshart : Vocals
Jamie "Hotel" Hince : Guitar
Jamie "Hotel" Hince : Guitar
Nate Mendel – bass guitar (1995–present)
Taylor Hawkins – drums, backing vocals (1997–present)
Chris Shiflett – lead & rhythm guitars, backing vocals (1999–present)
Pat Smear – rhythm & lead guitar (1995-1997, 2006-present)
La Setlist du Concert
BIFFY CLYRO
The Captain (Only Revolution - 2009)
That Golden Rule (Only Revolution - 2009)
Glitter and Trauma (Infinity Land - 2004)
God & Satan (Only Revolution - 2009)
Who's Got a Match? (Puzzle - 2007)
Stress on the Sky (Blackened Sky - 2002)
Bubbles (Only Revolution - 2009)
Living Is A Problem Because Everything Dies (Puzzle - 2007)
Many Of Horror (Only Revolution - 2009)
Mountains (Only Revolution - 2009)
That Golden Rule (Only Revolution - 2009)
Glitter and Trauma (Infinity Land - 2004)
God & Satan (Only Revolution - 2009)
Who's Got a Match? (Puzzle - 2007)
Stress on the Sky (Blackened Sky - 2002)
Bubbles (Only Revolution - 2009)
Living Is A Problem Because Everything Dies (Puzzle - 2007)
Many Of Horror (Only Revolution - 2009)
Mountains (Only Revolution - 2009)
La durée du concert : 0h40
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La Setlist du Concert
CSS
I Love You (La Liberación - 2011)
Off The Hook (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Rat Is Dead (Rage) (Donkey - 2008)
Alala (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Hits Me Like A Rock (La Liberación - 2011)
Move (Donkey - 2008)
Red Alert (La Liberación - 2011)
Let's Make Love and Listen To Death From Above (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Jager Yoga (Donkey - 2008)
La Liberación (La Liberación - 2011)
Music Is My Hot Hot Sex (Cansei de Ser Sexy - 2005)
City Grrrl (La Liberación - 2011)
Off The Hook (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Rat Is Dead (Rage) (Donkey - 2008)
Alala (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Hits Me Like A Rock (La Liberación - 2011)
Move (Donkey - 2008)
Red Alert (La Liberación - 2011)
Let's Make Love and Listen To Death From Above (Cansei de Ser Sexy - 2005)
Jager Yoga (Donkey - 2008)
La Liberación (La Liberación - 2011)
Music Is My Hot Hot Sex (Cansei de Ser Sexy - 2005)
City Grrrl (La Liberación - 2011)
La durée du concert : 0h40
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La Setlist du Concert
THE KILLS
No Wow (No Wow - 2005)
Future Starts Slow (Blood Pressures - 2011)
Heart Is a Beating Drum (Blood Pressures - 2011)
Kissy Kissy (Keep on Your Mean Side - 2003)
U.R.A. Fever (Midnight Boom - 2008)
DNA (Blood Pressures - 2011)
Satellite (Blood Pressures - 2011)
Tape Song (Midnight Boom - 2008)
Baby Says (Blood Pressures - 2011)
The Last Goodbye (Blood Pressures - 2011)
Pots and Pans (Blood Pressures - 2011)
Fried My Little Brains (Keep On Your Mean Side - 2003)
Sour Cherry (Midnight Boom - 2008)
Future Starts Slow (Blood Pressures - 2011)
Heart Is a Beating Drum (Blood Pressures - 2011)
Kissy Kissy (Keep on Your Mean Side - 2003)
U.R.A. Fever (Midnight Boom - 2008)
DNA (Blood Pressures - 2011)
Satellite (Blood Pressures - 2011)
Tape Song (Midnight Boom - 2008)
Baby Says (Blood Pressures - 2011)
The Last Goodbye (Blood Pressures - 2011)
Pots and Pans (Blood Pressures - 2011)
Fried My Little Brains (Keep On Your Mean Side - 2003)
Sour Cherry (Midnight Boom - 2008)
La durée du concert : 1h00
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La Setlist du Concert
FOO FIGHTERS
Bridge Burning (Wasting Light - 2011)
Rope (Wasting Light - 2011)
The Pretender (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
My Hero (The Colour and the Shape - 1997)
Learn to Fly (There is Nothing Left to Lose - 1999)
White Limo (Wasting Light - 2011)
Arlandria (Wasting Light - 2011)
Breakout (There is Nothing Left to Lose - 1999)
Cold Day in the Sun (In Your Honor - 2005)
Long Road to Ruin (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
Stacked Actors (There is Nothing Left to Lose - 1999)
Walk (Wasting Light - 2011)
Monkey Wrench (The Colour and the Shape - 1997)
Let It Die (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
These Days (Wasting Light - 2011)
Best of You (In Your Honor - 2005)
Times Like These (One By One - 2002)
Young Man Blues (Mose Allison Cover) (Medium Rare - 2011)All My Life (One By One - 2002)
Everlong (The Colour and the Shape - 1997)
Bridge Burning (Wasting Light - 2011)
Rope (Wasting Light - 2011)
The Pretender (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
My Hero (The Colour and the Shape - 1997)
Learn to Fly (There is Nothing Left to Lose - 1999)
White Limo (Wasting Light - 2011)
Arlandria (Wasting Light - 2011)
Breakout (There is Nothing Left to Lose - 1999)
Cold Day in the Sun (In Your Honor - 2005)
Long Road to Ruin (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
Stacked Actors (There is Nothing Left to Lose - 1999)
Walk (Wasting Light - 2011)
Monkey Wrench (The Colour and the Shape - 1997)
Let It Die (Echoes, Silence, Patience & Grace - 2007)
These Days (Wasting Light - 2011)
Best of You (In Your Honor - 2005)
Times Like These (One By One - 2002)
Young Man Blues (Mose Allison Cover) (Medium Rare - 2011)All My Life (One By One - 2002)
Everlong (The Colour and the Shape - 1997)
La durée du concert : 2h00
AFFICHE / PROMO / FLYER
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