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samedi 27 août 2011

ROCK EN SEINE (FESTIVAL) 2011 # 9 ~ Le Domaine Nationale. ST Cloud.










 
9e Édition  ! 3 Jours ! 4 Scènes ! 60 Concerts ! 
 
SCÈNE PRESSION LIVE



GRANDE SCÈNE



Ce qu’en a pensé Emilie :

« En ce deuxième jour, je fis l’impasse sur les Hushpuppies, ne m’intéressant pas à grand-chose d’autre avant The Jim Jones Revue. Je ne pense pas qu’ils avaient besoin dans le public d’une énième personne venant écouter You’re Gonna Say Yeah ! de toute façon. Je rejoins Sébastien et Priscillia (venus tout spécialement de la Normandie pour Interpol) en fin d’après-midi, il y a plus de monde qu’hier, gérer le premier rang de la grande scène ne sera pas possible pour eux (mais ils obtinrent finalement une place correcte sur le côté). Nous eûmes l’occasion d’entendre vite fait Blonde Redhead (il faut vraiment que je m’y penche quand j’aurai le temps) et The Streets (même avis que pour Odd Future), mais aussi de nous ramasser une énorme averse (merci Pripri pour le parapluie !) avant de nous diriger vers la scène  Pression pour mes derniers chouchous en date (que Priscilia et Sébastien devront rapidement abandonner, puisqu’ils jouent à  19h10, et Interpol à 20h à l’autre bout du site, saloperie de programmation ). Mais je ne regretterai pas d’avoir fait confiance aux Anglais que je connais depuis peu (j’ai reçu Burning Your House Down en même temps que l’album de CSS, et j’en avais surtout retenu le titre éponyme et Shoot First, or ils ont enchaîné les deux). Jim Jones a une voix exceptionnelle, et ce rock’n’roll dans la plus pure tradition 50’s… mais joué à 100 à l’heure, ne nous laissera aucun moment de repos pendant près d’une heure. Danser avec mon genou qui commençait à me faire souffrir et qui plus est sur ce fichu terrain en pente (je ne suis pas un dahu ^^) était plutôt ardu, mais comme le public était à fond, j’ai participé de bon cœur à ce qui ressemblait fortement à une surprise-partie du siècle dernier… si on excepte les « Fuck that shit » que Jim Jones nous a fait hurler de toutes nos forces. Je n’ai pas eu le loisir d’admirer de près le jeu de piano d’Henri Herbert, mais il ne semble pas avoir à pâlir de la comparaison avec Elliot Mortimer qui a quitté le groupe en mars dernier. Pour moi c’était LE concert du week-end, encore meilleur que les Foo Fighters.

À 20 heures, je me hâte vers la grande scène, je ne peux pas trop courir, la foule est dense et le sol boueux, il me faudra un petit quart d’heure pour rejoindre les New Yorkais d’Interpol, sur les premières mesures de Narc. Je suis dégoûtée d’arriver avec deux chansons de retard, mais même si je dois me contenter des écrans, mon cœur bondit de joie, j’adore cette chanson. Beaucoup de gens ont trouvé ce concert trop lent, manquant de jeu de scène et d’interaction avec le public. Eh les gens, c’est Interpol dont on parle là, je suis pas sûre que les morceaux auraient la même profondeur si Paul Banks jumpait partout… Je suis ici principalement pour sa voix, extraordinaire, reconnaissable entre toutes, et je ne vais pas être déçue : Slow Hands, Lights, et surtout Evil, tous les morceaux que je connais y passent, et les autres sont du même niveau ou presque (il faudrait vraiment que j’écoute les albums un de ces jours). Je maudis d’autant plus le fait de ne pas avoir pu les voir en entier et dans de meilleures conditions. « Merci, vous êtes incroyables, à la prochaine », nous dira Paul avant de quitter la scène. Touchante et rare petite phrase qui nous change du français bateau habituel. Priscillia me dira d’ailleurs qu’il parle en fait très convenablement notre langue. Mais il est très timide alors il n’allait pas nous faire un discours non plus.

J’aurais aimé voir DFA 1979 et les Arctic Monkeys (je connais peu, mais j’adore Brianstorm), seulement les Normands ont de la route à faire ce soir et nous préférons rentrer dîner tranquillement à la maison, d’autant que je dois encore enchaîner avec demain.  »






Rock en Seine est un festival de rock qui a lieu depuis 2003 dans le parc de Saint-Cloud (département des Hauts-de-Seine), au cœur de jardins historiques dessinés par Le Nôtre. En quelques années d’existence, ce festival est devenu incontournable, grâce à une programmation éclectique de qualité et il est devenu LE dernier grand rendez-vous de l'été en France. 108.000 visiteurs estimés pour 2011.

(http://www.rockenseine.com/fr/)
(http://www.myspace.com/rockenseine)
(http://fr-fr.facebook.com/rockenseine
 

Groupe londonien 100 rock'n'Roll influencé par les plus grands : Jerry Lee, Elvis, The Sonics, MC5, Brian Auger.... avec rythmes blues débraillés tirés d'un savoureux mélange des Doors, T-Rex et Chuk Berry. Sauvage et hystérique, le rock'n'roll plus vrai que nature de The Jim Jones Revue, Anglais purs et durs.

(www.myspace.com/thejimjonesrevue)
(http://www.jimjonesrevue.com/website/home)
(http://www.facebook.com/thejimjonesrevue)




Interpol (nom choisi en référence à la police internationale et par jeu de mots sur « à l'intérieur de Paul », en allusion à leur chanteur/leader) est un groupe rock de New York, É.-U., formé en 1998, qui a beaucoup été comparé à Joy Division. Les membres du quatuor affirment par contre ne pas en avoir écouté suffisamment pour avoir été véritablement influencés.

(http://www.interpolnyc.com/)
(http://www.facebook.com/pages/Interpol-band/110624472291923)




Album
The Jim Jones Revue (2008)
Burning Your House Down (2010)

Compilation
Here To Save Your Soul (2009)



2002 : Turn On The Bright Lights (Matador Records)
2004 : Antics (Matador Records)
2007 : Our Love To Admire (Capitol Records)
2010 : Interpol (Matador Records)




Jim Jones : Vocal & Guitar
Henri Herbert : Keyboards
Rupert Orton : Guitar
Gavin Jay : Bass
Nick Jones : Drums



Paul Banks : Vox, Guitar
Daniel Kessler : Guitar, Vox
Sam Fogarino : Drums
+
Brandon Curtis : Keys, Vox
Dave Pajo : Bass



La Setlist du Concert
THE JIM JONES REVUE

Non Disponible


La durée du concert : 0h50
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La Setlist du Concert
INTERPOL

Success (Interpol - 2010)
Say Hello to the angels (Turn on the Bright Lights - 2002)
Narc (Antics - 2005)
Hands Away (Antics - 2005)
Barricade (Interpol - 2010)
C'mere (Antics - 2005)
Evil (Antics - 2005)
Lights (Interpol - 2010)
The Heinrich Maneuver (Our Love to Admire - 2007)
Take You On A Cruise (Antics - 2005)
Slow Hands (Antics - 2005)
Not Even Jail (Antics - 2005)
Obstacle 1 (Turn on the Bright Lights - 2002)

 
La durée du concert : 1h00

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