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mercredi 12 mars 2014

FALL OUT BOY (FOB) - THE PRETTY RECKLESS ~ Le Zenith. Paris.






SAVE ROCK AND ROLL EUROPEAN TOUR 2014
 

Support Act : THE PRETTY RECKLESS



Ce qu’en a pensé Émilie :  

« La queue est longue au Zénith alors que j’arrive à l’heure prévue d’ouverture des portes. Je me place sagement au bout, n’ayant pas réussi à apercevoir Vincent qui doit être déjà sur place, je ne vois même plus le Zénith de l’endroit où je suis ! C’est un public bien jeune qui vient voir Fall Out Boy ce soir, bien discipliné aussi, jamais vu une file d’attente aussi impeccable. Pour ma part, c’est la première partie qui m’intéresse, mes chouchous de The Pretty Reckless, pas vus depuis le Trianon de juin 2011. J’ai fait la tronche à l’annonce de cette première partie, qui plus est dans une salle dont je ne suis pas fan, pourquoi pas un Trianon de nouveau ? Mais leur label, Interscope, ayant laissé tomber les Américains suite à un nouvel album trop rock, voire métal sur certains titres, je dois déjà m’estimer heureuse que l’album en question soit finalement sorti chez Razor & Tie, et que j’aie encore l’occasion de les voir sur scène. Quand on songe à la notoriété de Taylor Momsen, ces problèmes pour sortir un disque et partir en tournée, ça fait franchement peur, comment un groupe « lambda » peut-il s’en sortir alors ?

Une fois n’est pas coutume, je me précipite au stand de merch dès mon entrée dans le Zénith, car je n’ai pas encore de tee-shirt du groupe. Bilan : 35€, et 8 pour un malheureux bout de caoutchouc faisant office de bracelet. Le passage au stand sera considérablement raccourci pour le coup : je suis fan, mais je ne suis pas une vache à lait, le groupe vend ces mêmes tee-shirts 20 dollars sur son site… Je me console avec le premier rang parfait que Vincent m’offre comme à son habitude (merci  ), un peu à gauche car plein centre, une avancée risque de gêner notre vue. Je pense que c’est la première fois de ma vie que j’ai hâte de voir la première partie. J’ai fait toute la préparation psychologique nécessaire, sur le fait qu’ils ne joueront que neuf chansons, que le public risque d’être tout sauf réceptif… En fait les fans de TPR sont bien présents, les quelques filles du rang derrière nous déserteront même le Zénith sitôt achevée la prestation du groupe, et les refrains sont fréquemment repris en chœur par la foule. Concert parfait, alors ? Malheureusement non, mais reprenons par le commencement.
 

La croix inversée, symbole du dernier album Going To Hell, sert de décor de fond alors que les musiciens de The Pretty Reckless entrent en scène. C’est Follow Me Down qui ouvre le bal. Premier titre dévoilé du nouvel album même si ce n’est pas à proprement parler un single, ce morceau garage dans la veine de BRMC est un chef d’œuvre pour moi, avec ce pont de toute beauté. Sauf que là, le son est juste exécrable. La batterie de Jamie Perkins et la basse de Mark Damon sont beaucoup, beaucoup trop fortes, rendant la guitare de Ben Phillips presque inaudible. Heureusement, la voix de Taylor parvient à s’extraire de cette bouillie sonore, et quelle voix ! Mais ça ne suffira pas à rendre le concert parfait tel que je l’idéalisais à tort depuis des semaines. Les tressaillements dans ma gorge dus au volume sonore ne m’aident clairement pas à chanter sur les morceaux, et devoir tendre l’oreille pour déceler les solos de guitare, c’est plus que moyen… 

Il n’y aura malheureusement pas d’amélioration du côté du son, je fais contre mauvaise fortune bon cœur, tentant d’imaginer dans ma tête ce que le concert donnerait dans de bonnes conditions. Après un passage par le premier album, nous poursuivons la découverte de Going To Hell avec Heaven Knows, qui rend bien même sans les chœurs enfantins, que nous remplaçons tant bien que mal. Suit Sweet Things, LA chanson de l’album pour moi. Sympathique intro mode Pierre et le Loup, que j’ai d’ailleurs été déçue de ne pas retrouver sur la version studio, que je ne connaissais pas encore au moment du concert. À l’inverse, la version live ne retranscrit pas certains passages, qui empruntent sérieusement à Marilyn Manson. Mais ce duo Taylor / Ben est juste un pur bonheur, concentré d’ambiance glauque, ambiance très différente d’ailleurs de la version acoustique qui était la seule que je connaissais à ce moment-là. Et que je conseille vivement également (elle est présente sur l’édition limitée du CD). Ayant entendu le groupe déclarer que la version full band était très différente, je l’attendais avec impatience et ne fut déçue que par le son littéralement pourri, dont il était impossible de faire totalement abstraction. L’enchaînement avec l’autre titre chanté par Ben, le jazzy Cold Blooded, restera quand même dans ma mémoire, entendre coup sur coup mes deux morceaux de TPR préférés, ça n’a pas de prix. Taylor prendra ensuite la guitare sur My Medicine, sur ce morceau où les instruments sont un peu plus en retrait par rapport à la voix, le son est (un peu) meilleur. Make Me Wanna Die sera en toute logique la plus applaudie et la plus chantée par la foule, mais le groupe fait bien comprendre qu’une page est tournée en achevant sa prestation sur le titre qui a donné son nom au nouvel album, Going To Hell, qui flirte avec le métal de fort belle manière. Et c’est déjà fini, je pense que je me serais accommodée sans problème de la setlist, courte mais choisie avec goût, s’il n’y avait eu ce son. Je ne regrette pas d’être venue, mais je ne peux pas dire que j’ai préféré ce concert à celui du Trianon, et pourtant, Dieu sait que les morceaux de l’EP Hit Me Like A Man et du second album ont plus de potentiel (et j’adorais déjà Light Me Up). Tant pis, j’espère un retour rapide du groupe dans une salle à taille humaine. 


Et c’est à présent au tour de Fall Out Boy, autre quatuor américain, de monter sur scène. Il y a 10 ans, j’aurais sûrement adoré. Je n’ai jamais été fan, mais c’était pile le genre de musique que j’écoutais à cette époque. Mais maintenant… J’ai essayé d’écouter quelques morceaux récents. Pas convaincue, me voilà ce soir en mode attente de singles, soit l’exact inverse de la majorité des concerts où je vais. Le groupe monte sur scène cagoulé pour The Phoenix, le son est meilleur que pour TPR mais reste fort, je dégaine les bouchons. Musicalement, ça tient la route, mais force est de constater que la voix de Patrick Stump est tout sauf extraordinaire. C’est finalement le capital sympathie du groupe, communicatif au possible (on apprendra à un moment qu’une chanson a été inspirée par des scorpions, un truc de ce genre, les gars sont bavards sur n’importe quel sujet) qui m’empêchera de décrocher totalement. Ça et la plastique irréprochable du bassiste Pete Wentz :D Un solo de guitare de Joe Trohman, un autre de batterie d’Andy Hurley seront des moments agréables, mais que j’aurais préféré voir intégrés dans les chansons. Celui de batterie servait à détourner notre attention le temps que les trois autres membres regagnent la scène après s’être installés près de nous pour un intermède acoustique (d’où l’avancée qui nous a obligés à nous décaler sur la gauche par rapport à notre place habituelle). Super sympa pour les fans, ce petit moment intimiste. La sauce ne prendra pas pour moi, je ne connais pas les titres, et je suis trèèèèèsss difficile sur les morceaux acoustiques, que j’aime exécutés à la perfection, et avec lesquels j’ai du mal même pour certains groupes dont je suis fan. The Pretty Reckless, eux, font des morceaux acoustiques de toute beauté, mais bref, passons.

Comme le gars à mes côtés est à fond dedans (respect d’ailleurs, j’aurais juré qu’il était fan de TPR jusqu’à ce qu’il me montre pendant FOB ce que signifie pour lui le mot « enthousiasme »), je fais des efforts pour paraître concernée, je n’ai pas vraiment à me forcer pour This Ain’t A Scene que j’adore et écoute très souvent, mais elle arrive trop tôt dans la setlist. Peu de temps après, la cover de Beat It me démontre que les gars sont effectivement d’excellents musiciens, et que c’est plutôt côté compositions que ça pèche pour moi (en toute subjectivité, of course). Puis c’est le fameux intermède acoustique et le groupe ne récupèrera mon attention par la suite que pendant Thnks Fr Th Mmrs, et encore, plus parce que j’adore le clip que par intérêt pour le morceau en lui-même.



Bilan : un groupe sympathique et proche de son public, regorgeant d’énergie (sympa cette petite passerelle en hauteur au fond de la scène où les musiciens feront de nombreux allers-retours). Malheureusement, au bout d’un moment, les refrains à base de oh oh oh… Et comme je viens à un concert disons à 90% pour la musique et à 10% pour le spectacle, ça ne passe pas trop chez moi. Je ne rechignerais pas à les revoir si je croise leur chemin, en festival par exemple, mais je ne pense pas que j’y retournerais de moi-même. Cela dit, cela reste un groupe dont j’apprécie quelques chansons, et surtout l’attitude humble et proche du public de ses membres, donc je ne me plains pas, j’aurais pu tomber sur pire (mais dans ce cas, je serais certainement partie avant la fin). Merci aux fans de FOB en tout cas, l’un des publics les plus respectueux de la première partie que j’ai pu côtoyer (pas comme les fans de Killswitch Engage, cf ma review de Dir en Grey en 2009 au Bataclan).»



photos de Benoit Rony - Valentine Zuczek




The Pretty Reckless est un groupe Americain de rock alternatif créé en 2009, aux États-Unis par Taylor Momsen, actrice de Gossip Girl. Taylor met entre parenthèses sa carrière d'actrice pour se consacrer pleinement à sa passion : la musique et plus précisément le rock'n'roll.


(http://goingtohell.me/uk/)
(https://www.facebook.com/theprettyreckless)

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Fall Out Boy est un groupe de musique de rock américain provenant de Wilmette près de Chicago et formé en 2001. Sans nom de groupe à l'origine, les quatre membres demandèrent directement des idées au public à la fin de leur second concert. Un spectateur proposa Fall out Boy, une référence supposée à l'acolyte de Radioactive Man, dans la série Les Simpson . Les Fall Out Boy ont également été nominés dans catégorie « Meilleure révélation de l'année » aux Grammy Awards 2006. Le groupe a actuellement vendu plus de 34 millions d'albums, ce qui en fait un des plus grands vendeur de disque de cette décennie.


Light Me Up (2010)
Going to Hell (2014)





Take This to Your Grave (2003)
From Under the Cork Tree (2005)
Infinity on High (2007)
Folie à Deux (2008)
Save Rock and Roll (2013)


THE PRETTY RECKLESS


 Taylor Momsen – lead vocals, rhythm guitar 

(2009–present) 
Ben Phillips – lead guitar, backing vocals (2010–present) 
 Mark Damon – bass (2010–present)
  Jamie Perkins – drums, percussion (2010–present)



 FALL OUT BOY (FOB)


Patrick Stump – lead vocals (2001–present), guitars (2003–present), piano (2007-present) 
 Pete Wentz – bass guitar, backing vocals (2001–present) 
Joe Trohman – guitars, backing vocals (2001–present) 
 Andy Hurley – drums, percussion, backing vocals (2003–present)

The Setlist
  THE PRETTY RECKLESS

Follow Me Down (Going To Hell - 2014)
Since You're Gone (Light Me Up - 2010)
Miss Nothing (Light Me Up - 2010)
Heaven Knows(Light Me Up - 2010)
Sweet Things (Going To Hell - 2014)
Cold Blooded (Hit Me Like a Man - EP - 2012)
My Medicine (Light Me Up - 2010)
Make Me Wanna Die (Light Me Up - 2010)
Going to Hell (Going To Hell - 2014)


Time Set : 0h40
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The Setlist
FALL OUT BOY (FOB)

The Phoenix (Save Rock and Roll - 2013)
I Slept with Someone in Fall Out Boy and All I Got Was This Stupid Song Written About Me (From Under the Cork Tree - 2005)
A Little Less Sixteen Candles, a Little More "Touch Me" (From Under the Cork Tree - 2005)
This Ain't a Scene, It's an Arms Race (Leaked in London - EP - 2007)
(w/ Guitar Solo at the beginning)

 Alone Together (Save Rock and Roll - 2013)
Thriller (Infinity on High - 2007)
Death Valley (Save Rock and Roll - 2013)
Sugar, We're Goin Down (From Under the Cork Tree - 2005)
Young Volcanoes (Save Rock and Roll - 2013)
Beat It (Michael Jackson cover- Thriller - 1982)

* B STAGE -Acoustic *


I'm Like a Lawyer with the Way I'm Always Trying to Get You Off (Me & You) (Infinity on High - 2007)
Nobody Puts Baby In The Corner (From Under the Cork Tree - 2005)(/w Drum Solo at the beginning) 

Just One Yesterday (Save Rock and Roll - 2013)
I Don't Care (Folie à deux - 2008)
My Songs Know What You Did in the Dark (Light 'Em Up) (Save Rock and Roll - 2013)

Encore


Save Rock and Roll (Save Rock and Roll - 2013)
Thnks fr th Mmrs (Infinity on High - 2007)
Saturday (Take This to Your Grave - 2003)



Time Set : 1h25


AFFICHE / PROMO / FLYER
 





samedi 8 mars 2014

DISTANT WORLDS (遠い世界:音楽ファイナルファンタジーから) ~ Le Palais des Congrès. Paris.













遠い世界:音楽ファイナルファンタジーから
DISTANT WORLDS music from FINAL FANTASY TOUR 2014
 

Support Act : --- 



Ce qu’en a pensé Émilie :  

 « Quatrième Distant Worlds pour Guillaume et moi en ce samedi après-midi (séance choisie pour éviter un éventuel clash avec un autre concert le soir, mais finalement pas de problème). Nous avons commencé les festivités par un resto japonais en compagnie de quelques joueurs de Final Fantasy XIV, c’était bien sympa. Je ne joue pas pour ma part, mais je ne refuse jamais un resto jap :D.

Malheureusement nous ne passerons pas le concert avec les autres, chacun ayant pris des places de son côté au moment de la mise en vente. Les nôtres sont un poil mieux que l’année dernière, et cette fois-ci, sans bousculade à l’entrée car elles sont numérotées. La vue est parfaite, et cela sans débourser le prix du fameux sésame VIP (bon, c’était pas donné quand même…). L’orchestre s’avèrera aujourd’hui parfaitement au point, exit les petits couacs de janvier 2013, et le son est très bon. Dommage que le programme ne varie guère par rapport à nos expériences précédentes. Et quand il varie, ce n’est pas forcément à mon goût (version modifiée de Blinded By Light…). Heureusement, mon intérêt monte en flèche avec l’arrivée sur scène d’un guitariste, Simon Schembri. Sur Dear Friends tirée de FF V, rien d’extraordinaire, mais sur Vamo’ Alla Flamenco, extraite du neuvième épisode, le monsieur fait des merveilles. Comme il s’agit d’un des rares morceaux de cet après-midi que je n’ai jamais entendu en live, qui plus est tiré du seul FF auquel j’ai un peu joué, il remporte haut la main la palme de meilleur moment de ce concert pour ma part. De quoi supporter la deuxième intervention de Miss Calloway (qui viendra trois fois en tout, et dont la voix ne me plaît toujours pas) avant un medley Chocobo dont on ne se lasse pas (bon, peut-être un tout petit peu quand même, mais on n’arriverait pas à faire sans, et puis il varie un peu à chaque fois). La première partie du concert m’a paru bien courte, preuve que même si je commence à connaître pas mal de morceaux, je ne rechigne pas à les écouter encore et encore.

Nobuo Uematsu nous a encore honorés de sa présence, et on ne peut s’empêcher de sourire à l’habituelle petite glissade sur scène, à ses incongrues baskets d’un blanc éclatant alors qu’il est habillé en costard, et de manière générale, on a le sourire aux lèvres simplement parce que cet homme est l’un des compositeurs les plus talentueux et prolifiques au monde (même s’il n’est pas le seul auteur des titres de ce concert). Son nom est d’ailleurs bien plus salué au générique que celui des autres, ce que je trouve quand même un peu déplacé, mais bon, c’est comme ça avec les légendes :D L’un des autres grands moments de ce soir sera l’interprétation, brève mais amusante, du thème principal par Monsieur Uematsu et Monsieur Roth, notre (bavard) chef d’orchestre préféré (bon, OK, je n’en connais pas d’autre…) au… chofar, qu’on leur a offert quelques jours avant lors d’une interview. Je ne connaissais pas cet instrument, qu’Arnie Roth a nommé « kudu », le terme anglais provenant de son matériau de fabrication, la corne de koudou (merci Wikipedia). Original.

Pour ce qui est de la seconde partie, le grand moment fut sans conteste le retour de Maria and Draco de FF VI, que nous n’avions pas eue depuis 2011. Même si l’opéra est loin d’être mon genre préféré, les fantastiques voix de Vincent Billier, Sophie Pondjiclis et Paul Gaugler suffisent à rendre le morceau monumental (mais pas tout à fait aussi bien que Vamo’ Alla Flamenco, moi vous savez, dès qu’il y a de la guitare…). Ce qui est génial avec ce titre, c’est que rien qu’avec les paroles, les images du jeu et le narrateur (rôle assuré aujourd’hui par un Florent Dorin impeccable), même si vous êtes inculte niveau FF VI comme moi, vous êtes aussitôt immergé dans cette histoire d’amour tragique. Dans la lignée FF VI, on aurait aimé le retour de Dancing Mad (mais installez donc un orgue au Palais des Congrès !), ce sera pour une autre fois, pour le Trianon de Nobuo en novembre peut-être ?

Un grand merci à toute l’équipe de Distant Worlds, et aux organisateurs de la Fée Sauvage (je n’ai pas forcément été tendre dans mon compte-rendu de l’année dernière vus les cafouillages dans la queue, mais rien à redire cette année). Hormis Dancing Mad, j’ai quelques autres regrets (oui je sais je radote), j’adorerais entendre Windy Meadows de feu la première version de FF XIV (peu de chances d’après Guillaume), et j’aime terminer le concert sur Terra’s Theme, mais c’était le Main Theme pour cette fois. On ne peut pas tout avoir… De ce fait je ne serai pas contre le fait de remettre le couvert l’année prochaine, mais pour l’instant, voyons déjà ce que Nobuo Uematsu nous réserve en novembre avec ses Earthbound Papas. Et quelques jours avant, on devrait réviser un peu les bases au Video Games Live, où j’espère (pour changer un peu de FF) du Earthworm Jim 2 et du Tetris (je ne prends pas trop de risque sur cette dernière). Vive la musique, les jeux vidéo, et les musiques de jeux vidéo ;-)
»



photos de 



Distant Worlds: Music From Final Fantasy est une tournée de concerts mettant en vedette la musique de la série Final Fantasy qui a commencé sa tournée les 4 Décembre 2007, à Stockholm , en Suède , et continue à ce jour. Contrairement aux tournées précédentes, c'est une tournée mondiale.  Produit par AWR Music Productions et soutenu par Thomas Böcker à titre consultatif, la série de concerts avec de la musique est menée par Arnie Roth et composé par Nobuo Uematsu. Lancé en conjonction avec le vingtième anniversaire de Final Fantasy, les concerts comprennent la musique de chaque match de la série. 

(http://www.myspace.com/distantworldsfinalfantasy) 


2007 - Distant Worlds: Music from Final Fantasy (Nobuo Uematsu)
2010 - Distant Worlds: Music from Final Fantasy (Royal Stockholm Philharmonic Orchestra)
2010 - Distant Worlds II: More Music from Final Fantasy [Soundtrack]
2011 - DVD Boxset Distant Worlds music from FINAL FANTASY Returning Home




Lamoureux Orchestra and Choir
Arnie Roth, conductor
Susan Calloway, vocal soloist
Simon Schembri, guitar soloist
Nobuo Uematsu in attendance

 
The Setlist
DISTANT WORLDS

 
Final Fantasy Series: Prelude
Final Fantasy Series: Battle & Victory Theme Medley
Final Fantasy VII: Opening - Bombing Mission
Final Fantasy XII: Kiss Me Good-Bye (with Susan Calloway)
Final Fantasy X: Hymn Of The Fayth
Final Fantasy X: To Zanarkand
Final Fantasy V: Dear Friends (with Simon Schembri)
Final Fantasy IX : Vamo’ Alla Flamenco (with Simon Schembri)
Final Fantasy IX: A Place To Call Home - Melodies Of Life (with Susan Calloway)
Final Fantasy Series: Chocobo Medley 2014

Intermission

Final Fantasy VIII: Liberi Fatali
Final Fantasy XIII Lightning Returns : Light Eternal 2ndpart
Final Fantasy VII: Main Theme
Final Fantasy XIV: Answers (with Susan Calloway)
Final Fantasy XI: Ronfaure
Final Fantasy VI: Opera “Maria And Draco”(with Vincent Billier, Sophie Pondjiclis, Paul Gaugler and Florent Dorin)
Final Fantasy Series: Main Theme Medley

Encore

Final Fantasy VII: One-Winged Angel


 Time Set : 2h00

AFFICHE / PROMO / FLYER