Première Partie : Housse de Racket
« Après une attente d'une petite heure assises sur le trottoir, direction, sans hésitation, vers "les meilleures places de la Cigale", tant conseillées par les connaisseurs... La marche, à droite de la fosse.
Nous avons d'ici une vue imprenable sur les deux gringalets déguisés en tennis-men (polos lacoste, visière assortie et slim blanc pour le style), qui animèrent la première partie. Une première partie plutôt sympatique, "rock teenagers" aux paroles légères mais qui resta d'assez bonne qualité (un batteur assez doué!!) et qui deviendra plus ou moins électro (à la Daft Punk) vers la fin de quelques morceaux. Deux jeunes musiciens bourrés de second degré et dotés d'un humour qui chauffa efficacement la salle dans l'attente de Micky. Et un public assez peu receptif et long à la détente, qui finira tout de même par crier à tue-tête un refrain idiot mais plutôt fun : "HOUSSE DE RACKETTE !!!!"... Et nous les premières !
C'est vers 20h30, qu'apparaît enfin Micky Green, cette curieuse poupée blonde platine, la peau blanche, les lèvres rouges, vêtue d'une robe plutôt moche et de talons dorés, sur l'air de White t-shirt (titre de l'album). Et cette ex-mannequin en début de carrière de chanteuse se débrouille, il faut l'avouer, parfaitement ! Elle enchaînera donc sans difficulté en 1h15, du chant évidemment, en jouant de la quitare, du piano, de la basse, le tout sans s'arrêter de se trémousser. Pour le bonheur de tous, sa voix est aussi bien, si ce n'est mieux en vrai que sur l'album, elle ne modifie pas ses morceaux (et le public chante avec elle), mais les allonge et nous fait la surprise de les jouer plutôt rock, ou même de rajouter un couplet "hip-hop" à la fin de Begin to fade. L'interprétation de son album fut entrecoupée de cinq reprises de "ses artistes favoris", et d'échanges dans la bonne humeur avec le public et ses musiciens...
Beaucoup de complicité donc (sûrement due à la petite taille de la salle, entre autres). On decouvrira tout au long de ce concert une Micky Green naturelle, presque timide sous des applaudissements, et surtout ne quittant jamais son sourire émerveillé, lâchant quelques éclats de rires, entre les chansons, devant les "blagues" et réactions de son public. En conclusion, Micky était apparemment ravie d'être là, et nous aussi...
Et pour boucler en beauté cette soirée : "HO le sosie de Philippe Katerine!"... Et bien non, c'était bien lui... »
Nous avons d'ici une vue imprenable sur les deux gringalets déguisés en tennis-men (polos lacoste, visière assortie et slim blanc pour le style), qui animèrent la première partie. Une première partie plutôt sympatique, "rock teenagers" aux paroles légères mais qui resta d'assez bonne qualité (un batteur assez doué!!) et qui deviendra plus ou moins électro (à la Daft Punk) vers la fin de quelques morceaux. Deux jeunes musiciens bourrés de second degré et dotés d'un humour qui chauffa efficacement la salle dans l'attente de Micky. Et un public assez peu receptif et long à la détente, qui finira tout de même par crier à tue-tête un refrain idiot mais plutôt fun : "HOUSSE DE RACKETTE !!!!"... Et nous les premières !
C'est vers 20h30, qu'apparaît enfin Micky Green, cette curieuse poupée blonde platine, la peau blanche, les lèvres rouges, vêtue d'une robe plutôt moche et de talons dorés, sur l'air de White t-shirt (titre de l'album). Et cette ex-mannequin en début de carrière de chanteuse se débrouille, il faut l'avouer, parfaitement ! Elle enchaînera donc sans difficulté en 1h15, du chant évidemment, en jouant de la quitare, du piano, de la basse, le tout sans s'arrêter de se trémousser. Pour le bonheur de tous, sa voix est aussi bien, si ce n'est mieux en vrai que sur l'album, elle ne modifie pas ses morceaux (et le public chante avec elle), mais les allonge et nous fait la surprise de les jouer plutôt rock, ou même de rajouter un couplet "hip-hop" à la fin de Begin to fade. L'interprétation de son album fut entrecoupée de cinq reprises de "ses artistes favoris", et d'échanges dans la bonne humeur avec le public et ses musiciens...
Beaucoup de complicité donc (sûrement due à la petite taille de la salle, entre autres). On decouvrira tout au long de ce concert une Micky Green naturelle, presque timide sous des applaudissements, et surtout ne quittant jamais son sourire émerveillé, lâchant quelques éclats de rires, entre les chansons, devant les "blagues" et réactions de son public. En conclusion, Micky était apparemment ravie d'être là, et nous aussi...
Et pour boucler en beauté cette soirée : "HO le sosie de Philippe Katerine!"... Et bien non, c'était bien lui... »
Micky Green, de son vrai nom Michaela Gehrmann , est une chanteuse, auteur, compositeur, de pop australienne née près de Sydney. La surprise de la rentrée, par cette jeune femme, installée à Paris, révélée par le single OH!. Un album,White T-Shirt, frais et surprenant qui oscille entre pop et électro. Assurément une belle révélation.
White T-Shirt (White T-Shirt - 2007)
Begin To Fade (White T-Shirt - 2007)
Did It (White T-Shirt - 2007)
Empty Tins (White T-Shirt - 2007)
Oh! (White T-Shirt - 2007)
Baby (White T-Shirt - 2007)
Fatth (Cover George Michael)
Some Sun (White T-Shirt - 2007)
The Catch (White T-Shirt - 2007)
Shoulda (White T-Shirt - 2007)
50 Ways To Leave Your Lover (Cover Paul Simon)
If The Light (White T-Shirt - 2007)
Something Got Me Started (Cover Simply Red)
Now It Gone (White T-Shirt - 2007)
Nothing To Prove (White T-Shirt - 2007)
ENCORE
Maybe (White T-Shirt - 2007)
Call Me (Cover Blondie)
Song Formally Known As ! (Cover Regurgitator)
Micky Green - Oh
Micky Green - "Shoulda"
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