Première Partie: PUSS IN BOOTS +
Haunts est un groupe de rock britannique, élevé sur un régime de Talking Heads, Devo et Prince, basé à Londres.
(http://www.myspace.com/haunts)
Anciennement Fear of Flying, le trio anglais devient White Lies en 2006. Leur 1er album « To Lose My Life or Lose My Love » devrait sortir en France fin janvier 2009.
(www.myspace.com/whitelies)
« Drôle d’histoire que ce concert des White Lies pour lequel Alice m’avait intimé l’ordre d’acheter les places plus vite que ça… pour réaliser, trop tard, qu’elle partait au ski avec le lycée la veille !!! Sa place revendue, me voici donc seule pour y aller… Enfin, seule, pas vraiment, puisque je sais que je vais retrouver Gilles et les filles, Malika, Charlotte, Emeline et leur bande. J’ai en plus la lourde mission de me concentrer et de tout mémoriser pour pouvoir faire un compte-rendu détaillé à ma skieuse, qui (contrairement à certains) a adoré l’album des White Lies, que j’apprécie moi aussi (sinon, j’y serais pas allée, suis pas maso, moi !)…
J’arrive à 19h30, juste avant l’ouverture des portes… Le temps de saluer les copains et on peut rentrer… On s’installe devant la scène et on discute en attendant le début du concert.
C’est d’abord Puss in Boots, un groupe parisien, qui s’y colle… Un soupir d’aise s’exhale du public masculin lorsque la chanteuse entre sur scène… Un jolie jeune fille aux épais cheveux noirs qui cachent à moitié son visage, accompagnée d’un jeune BHL sulfureux aux claviers, et d’un batteur et un bassiste aux looks moins marqués… La jeune fille chante bien, d’une voix puissante et sensuelle, sur fond de mélange rock et synthétique assez musclé, qui donne envie de bouger. Par contre, j’ai trouvé l’ensemble un peu uniforme, il n’y a pas vraiment moyen de faire la différence entre les morceaux à première écoute… à part un morceau acoustique joué en milieu du set… Il faut préciser que j’ai été un peu perturbée par la présence physique de la chanteuse, qui s’est trouvée quasi-torse nu après avoir enlevé son gilet, dévoilant de nombreux tatouages - dont un qui serpente sur son do, ainsi que des petits chats qui déambulent sur la ceinture du pantalon (grosse satisfaction coté testostérone !!!). Son petit top m’a donné quelques inquiétudes, et j’ai vraiment eu peur qu’il ne s’échappe en route ! Ça n’a pas été le cas finalement (à la grande déception des garçons ! ;-D). Bref, j’avoue avoir été plus captivée par cette proximité et les détails de sa peau dénudée que par le reste…
Pause et changement de matériel, les musiciens de Haunts viennent eux-mêmes régler leurs guitares et, déjà, on se dit que ça va envoyer niveau son. Ils sont quatre : un guitariste (placé en face de nous, avec sa grosse touffe de cheveux frisés qui lui retombe sur le front), un batteur (qui a l’air d’avoir 14 ans, c’est une manie), un bassiste (avec une allure de prince slave), et un chanteur (très mince, très brun et très encapuchonné) qui joue alternativement de la guitare et du synthé, tous les musiciens participant aux chœurs (j’adore les chœurs judicieusement placés)… Et dès le début, on est conquis ! Je vais encore une fois démontrer mon incapacité à décrire la musique qui me plaît (c’est toujours plus facile de critiquer), en ne parvenant pas à mettre des mots sur ce qui s’est passé avec Haunts hier ! En tout cas, ce dont je suis sûre, c’est que c’est un véritable coup de cœur (et l’album qui est en train de passer dans mes oreilles le confirme). C’est intense, rock’n roll, créatif, ça donne envie de sauter partout, bref c’est booooon !!! On ne s’est pas ennuyé un instant, chaque morceau apportant sa touche à l’ensemble… Côté attitude, pas de pose inutile (ou alors peut-être, juste la capuche du chanteur, capuche qu’il ne quittera pas de la soirée… mais peut-être y a-t-il une bonne raison à cela… un début de calvitie ???), ils bougent bien et communiquent leur plaisir de jouer à Paris pour la première fois (plaisir qui sera renforcé par les chaleureuses félicitations qu’ils recevront après le concert et la prise d’assaut de leur stand de merch (“On veut le CD !”))…
Le temps de parvenir jusqu’au bar et d’en ramener un coup de blanc pour les garçons, et c’est au tour des Whites Lies… Comme on est sur la gauche, on se retrouve un peu au pied des énormes claviers (enfin, surtout Eric !) qui seront actionnés par un musicien additionnel (cela répond à mon interrogation : “comment vont-ils faire sur scène pour reproduire les chansons de l’album ?”). Entrée assez théâtrale des jeunes gens (moyenne d’âge 20 ans, comme les autres groupes de la soirée, d’ailleurs…) sous les jeux de lumière blanche… L’éclairage est soigné, que du blanc, qui met en valeur les silhouettes sombres des musiciens (dress code : black only !). Je prends notamment beaucoup de plaisir à regarder le (joli) batteur jouer, les cheveux dans le vent (du ventilateur), auréolé de lumière… Le chanteur se tient juste devant nous (détail rigolo, il porte des super baskets noires et dorées, comme quoi les White Lies sont un peu disco quelque part ;-D), et le bassiste, qui assure aussi quelques chœurs, est sur la droite. Bon, même mes oreilles ensablées ont bien perçu que la voix de Harry n’était pas aussi impressionnante que sur le CD, mais, de là à affirmer comme Eric qu’il chantait faux, non, je ne peux pas… Bon son, avec la voix beaucoup moins en avant que sur l’album. Ils commencent par mon morceau préféré (Fairewell to the Fairground)… c’est un peu dommage pour moi, j’aurais sans doute plus apprécié s’il avait été joué un peu plus tard. Les morceaux s’enchaînent et on arrive très vite à la fin du set (neuf morceaux !). Les musiciens s’excusent, mais ils n’ont pas pu répéter plus de morceaux, car ils ont du partir en tournée. Rapidement l’ambiance n’est pas sinistre comme on aurait pu le craindre, même si, dans la salle, c’est quand même assez calme (on n’aura pas été dérangés par nos voisins ce soir) quoique chaleureux. J’ai passé un très bon moment (même si je me suis plus éclatée avec Haunts) et j’ai une pensée pour Alice (en fait, mes pensées ne l’ont pas quittée du concert) qui en aurait bien profité si elle avait pu être là…
Il ne me reste plus qu’à traîner un peu pour pouvoir rencontrer les musiciens, et ramener à ma louloute une précieuse dédicace et des photos, ce qui sera fait, les White Lies, comme les Haunts, se montrant parfaitement charmants et coopératifs… »
J’arrive à 19h30, juste avant l’ouverture des portes… Le temps de saluer les copains et on peut rentrer… On s’installe devant la scène et on discute en attendant le début du concert.
C’est d’abord Puss in Boots, un groupe parisien, qui s’y colle… Un soupir d’aise s’exhale du public masculin lorsque la chanteuse entre sur scène… Un jolie jeune fille aux épais cheveux noirs qui cachent à moitié son visage, accompagnée d’un jeune BHL sulfureux aux claviers, et d’un batteur et un bassiste aux looks moins marqués… La jeune fille chante bien, d’une voix puissante et sensuelle, sur fond de mélange rock et synthétique assez musclé, qui donne envie de bouger. Par contre, j’ai trouvé l’ensemble un peu uniforme, il n’y a pas vraiment moyen de faire la différence entre les morceaux à première écoute… à part un morceau acoustique joué en milieu du set… Il faut préciser que j’ai été un peu perturbée par la présence physique de la chanteuse, qui s’est trouvée quasi-torse nu après avoir enlevé son gilet, dévoilant de nombreux tatouages - dont un qui serpente sur son do, ainsi que des petits chats qui déambulent sur la ceinture du pantalon (grosse satisfaction coté testostérone !!!). Son petit top m’a donné quelques inquiétudes, et j’ai vraiment eu peur qu’il ne s’échappe en route ! Ça n’a pas été le cas finalement (à la grande déception des garçons ! ;-D). Bref, j’avoue avoir été plus captivée par cette proximité et les détails de sa peau dénudée que par le reste…
Pause et changement de matériel, les musiciens de Haunts viennent eux-mêmes régler leurs guitares et, déjà, on se dit que ça va envoyer niveau son. Ils sont quatre : un guitariste (placé en face de nous, avec sa grosse touffe de cheveux frisés qui lui retombe sur le front), un batteur (qui a l’air d’avoir 14 ans, c’est une manie), un bassiste (avec une allure de prince slave), et un chanteur (très mince, très brun et très encapuchonné) qui joue alternativement de la guitare et du synthé, tous les musiciens participant aux chœurs (j’adore les chœurs judicieusement placés)… Et dès le début, on est conquis ! Je vais encore une fois démontrer mon incapacité à décrire la musique qui me plaît (c’est toujours plus facile de critiquer), en ne parvenant pas à mettre des mots sur ce qui s’est passé avec Haunts hier ! En tout cas, ce dont je suis sûre, c’est que c’est un véritable coup de cœur (et l’album qui est en train de passer dans mes oreilles le confirme). C’est intense, rock’n roll, créatif, ça donne envie de sauter partout, bref c’est booooon !!! On ne s’est pas ennuyé un instant, chaque morceau apportant sa touche à l’ensemble… Côté attitude, pas de pose inutile (ou alors peut-être, juste la capuche du chanteur, capuche qu’il ne quittera pas de la soirée… mais peut-être y a-t-il une bonne raison à cela… un début de calvitie ???), ils bougent bien et communiquent leur plaisir de jouer à Paris pour la première fois (plaisir qui sera renforcé par les chaleureuses félicitations qu’ils recevront après le concert et la prise d’assaut de leur stand de merch (“On veut le CD !”))…
Le temps de parvenir jusqu’au bar et d’en ramener un coup de blanc pour les garçons, et c’est au tour des Whites Lies… Comme on est sur la gauche, on se retrouve un peu au pied des énormes claviers (enfin, surtout Eric !) qui seront actionnés par un musicien additionnel (cela répond à mon interrogation : “comment vont-ils faire sur scène pour reproduire les chansons de l’album ?”). Entrée assez théâtrale des jeunes gens (moyenne d’âge 20 ans, comme les autres groupes de la soirée, d’ailleurs…) sous les jeux de lumière blanche… L’éclairage est soigné, que du blanc, qui met en valeur les silhouettes sombres des musiciens (dress code : black only !). Je prends notamment beaucoup de plaisir à regarder le (joli) batteur jouer, les cheveux dans le vent (du ventilateur), auréolé de lumière… Le chanteur se tient juste devant nous (détail rigolo, il porte des super baskets noires et dorées, comme quoi les White Lies sont un peu disco quelque part ;-D), et le bassiste, qui assure aussi quelques chœurs, est sur la droite. Bon, même mes oreilles ensablées ont bien perçu que la voix de Harry n’était pas aussi impressionnante que sur le CD, mais, de là à affirmer comme Eric qu’il chantait faux, non, je ne peux pas… Bon son, avec la voix beaucoup moins en avant que sur l’album. Ils commencent par mon morceau préféré (Fairewell to the Fairground)… c’est un peu dommage pour moi, j’aurais sans doute plus apprécié s’il avait été joué un peu plus tard. Les morceaux s’enchaînent et on arrive très vite à la fin du set (neuf morceaux !). Les musiciens s’excusent, mais ils n’ont pas pu répéter plus de morceaux, car ils ont du partir en tournée. Rapidement l’ambiance n’est pas sinistre comme on aurait pu le craindre, même si, dans la salle, c’est quand même assez calme (on n’aura pas été dérangés par nos voisins ce soir) quoique chaleureux. J’ai passé un très bon moment (même si je me suis plus éclatée avec Haunts) et j’ai une pensée pour Alice (en fait, mes pensées ne l’ont pas quittée du concert) qui en aurait bien profité si elle avait pu être là…
Il ne me reste plus qu’à traîner un peu pour pouvoir rencontrer les musiciens, et ramener à ma louloute une précieuse dédicace et des photos, ce qui sera fait, les White Lies, comme les Haunts, se montrant parfaitement charmants et coopératifs… »
Haunts est un groupe de rock britannique, élevé sur un régime de Talking Heads, Devo et Prince, basé à Londres.
(http://www.myspace.com/haunts)
Anciennement Fear of Flying, le trio anglais devient White Lies en 2006. Leur 1er album « To Lose My Life or Lose My Love » devrait sortir en France fin janvier 2009.
(www.myspace.com/whitelies)
Banks (vocals, guitar, synth)
Alex Woodcock(guitar, backing vocals)
Gareth Grover (drums, backing vocals)
Mitch Mitchener (bass guitar, backing vocals)
Alex Woodcock(guitar, backing vocals)
Gareth Grover (drums, backing vocals)
Mitch Mitchener (bass guitar, backing vocals)
Harry McVeigh : Vocal & Guitar
Charles Cave : Bass
Jack Lawrence-Brown : Drums
Charles Cave : Bass
Jack Lawrence-Brown : Drums
PUSS IN BOOTS
Londons Burning
Bomz II Drop
Underground
Grace
Battle of Britain
Love is Blind
Black Eyed Girl
Live Fast Die Young
La durée du concert : 0h30
Bomz II Drop
Underground
Grace
Battle of Britain
Love is Blind
Black Eyed Girl
Live Fast Die Young
La durée du concert : 0h30
Farewell To The Fairground
To Lose My Life
From The Stars
A Place To Hide
Unfinished Business
E.S.T.
Fifty On Our Foreheads
The Price Of Love
Death
To Lose My Life
From The Stars
A Place To Hide
Unfinished Business
E.S.T.
Fifty On Our Foreheads
The Price Of Love
Death
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