Première Partie :
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Ce qu’en a pensé Cécile D. :
(www.myspace.com/wetpaintwetpaint)
Foals est un groupe de dance-punk nous venant tout droit d'Oxford, Angleterre. Ils assurent avec chic la relève de The Rapture ou de Battles. Fans des Talking Heads, le groupe n'hésite pas a dire que cette influence se retrouve dans leurs enregistrements.
(http://www.myspace.com/foals)
* 2005 : Silent Alarm
* 2005 : Silent Alarm Remixed
* 2007 : A Weekend In The City
* 2007 : Another Weekend In The City - B-sides & Extras
* 2008 : Intimacy
NON DISPONIBLE
La durée du concert : 0h30
Halo (Intimacy - 2008)
Hunting For Witches (A Weekend in the City - 2007)
Positive Tension (Silent Alarm - 2005)
Talons (Intimacy - 2008)
Signs (Intimacy - 2008)
Song for Clay (Disappear Here)(A Weekend in the City - 2007)
Banquet (Silent Alarm - 2005)
Blue Light (Silent Alarm - 2005)
Uniform (A Weekend in the City - 2007)
Two More Years (Single - 2005)
Mercury (Intimacy - 2008)
This Modern Love (Silent Alarm - 2005)
The Prayer (A Weekend in the City - 2007)
Like Eating Glass (Silent Alarm - 2005)
Helicopter (Silent Alarm - 2005)
ENCORE
One Month Off (Intimacy - 2008)
The Price Of Gas (Silent Alarm - 2005)
Ares (Intimacy - 2008)
Flux (A Weekend in the City - 2007)
« Un concert de Bloc Party avec Foals en invité, à Londres un week-end de Paques, c'est, pour Alice et moi, fans des deux groupes, trop alléchant pour résister !!!
Réservation des places en novembre, vite, avant que cette date, ajoutée suite à la vente éclair de celle de la veille, ne soit sold-out elle aussi... Puis organisation de petites vacances pour toute la famille, tant qu'à aller jusqu'à Londres, autant en profiter...
Après une journée bien remplie au marché de Camden Town, et avoir récupéré des tickets auprès de notre amie Clarice (encore merci !), nous voilà parties pour l'Olympia, un lieu dédié habituellement à des salons (genre grande Halle de la Villette, en moins joli). Arrivées là-bas, nous prenons place dans la file "disneylandienne" qui s'est formée, composée à 99% de jeunes indie boys and girls entre 16 et 18 ans. Le tout très organisé et courtois, à l'anglaise... On se fait un goûter express pour prendre des forces, et puis, vers 18h00, on peut rentrer... La salle est immense, mais on trouve facilement une place au deuxième rang sur le côté gauche (on ne voulait de toute façon pas être au milieu, trop risqué...). La scène et la barrière ont été montées au fond de la halle, genre festival...
Quand le premier concert commence, il fait encore jour, c'est marrant. Donc, Wet Paint, c'est plutôt bien, on ne connaît pas du tout, mais on ne s'ennuie pas. Ils sont quatre : une batteuse, un bassiste et deux guitaristes, dont l'un assure le chant lead et l'autre les choeurs. Coté look, beaucoup de cheveux et de barbe (pour les garçons !). Côté musique, un petit coté Bloc Party avec des guitares et un chant plus lourds, ça bouge bien mais, comme d'habitude, la première première partie dans une salle de cette taille, ça n'est pas facile...
Et donc, justement, au rappel, Gordon, le bassiste, nous harangue en demandant : "Are you ready for this ? Are you ready ?"... et on voit revenir Kele déguisé en... lapin de Pâques !!! Costume intégral en moumoute blanche avec chaussons assortis, plus grosse tête de lapin... lol... Il a du perdre quelques kilos là-dedans, le pauvre ! Obligé de virer la tête, puis le haut du costume que le roadie viendra l'aider à nouer autour de sa taille (il avait plein de poils blancs collés sur ses bras)... Il nous avoue que c'est un peu dur de jouer de la guitare avec ce truc sur le dos ! A un moment, il descend vers le public mais là, je perds le fil, on ne voit rien... Le rappel est bien musclé : Ares ("war, war, war, I want to declare a war..."), Price of gas puis, pour finir, Flux qui nous fait toujours partir en vrille avec son fond electro/techno/dance floor, et sa voix si émouvante (oui, oui, vous avez le droit de ricaner ;-D)... et voilà, ils saluent tous ensemble, comme d'hab, et s'en vont, pour de bon cette fois..
La salle se vide et on se rend compte que ça a bien dû chauffer au milieu de la fosse en voyant un jeune homme rapporter à une responsable de la sécurité un passeport et une chaussure... Il tient une autre chaussure à la main, mais c'est la sienne : "I'm so glad I got my shoe back !" nous dit-il avec un grand sourire... Ah, ah...
On sort tranquillement de la salle, et là on peut admirer une fois de plus l'organisation britannique : il y a plein de gars avec des panneaux pour indiquer les bus, etc, plus des gens qui régulent le flux vers le métro. On fait le tour de la salle en attendant que le métro se désengorge et on a croisé le bassiste de Foals qui part avec sa copine... On traîne un peu avant de rentrer, ravies de notre soirée : en effet je craignais d'être déçue (taille de la salle, gros concert, etc) et ça n'a pas du tout été le cas...»
Réservation des places en novembre, vite, avant que cette date, ajoutée suite à la vente éclair de celle de la veille, ne soit sold-out elle aussi... Puis organisation de petites vacances pour toute la famille, tant qu'à aller jusqu'à Londres, autant en profiter...
Après une journée bien remplie au marché de Camden Town, et avoir récupéré des tickets auprès de notre amie Clarice (encore merci !), nous voilà parties pour l'Olympia, un lieu dédié habituellement à des salons (genre grande Halle de la Villette, en moins joli). Arrivées là-bas, nous prenons place dans la file "disneylandienne" qui s'est formée, composée à 99% de jeunes indie boys and girls entre 16 et 18 ans. Le tout très organisé et courtois, à l'anglaise... On se fait un goûter express pour prendre des forces, et puis, vers 18h00, on peut rentrer... La salle est immense, mais on trouve facilement une place au deuxième rang sur le côté gauche (on ne voulait de toute façon pas être au milieu, trop risqué...). La scène et la barrière ont été montées au fond de la halle, genre festival...
Quand le premier concert commence, il fait encore jour, c'est marrant. Donc, Wet Paint, c'est plutôt bien, on ne connaît pas du tout, mais on ne s'ennuie pas. Ils sont quatre : une batteuse, un bassiste et deux guitaristes, dont l'un assure le chant lead et l'autre les choeurs. Coté look, beaucoup de cheveux et de barbe (pour les garçons !). Côté musique, un petit coté Bloc Party avec des guitares et un chant plus lourds, ça bouge bien mais, comme d'habitude, la première première partie dans une salle de cette taille, ça n'est pas facile...
Le temps que le matériel soit changé, la nuit est tombée, et c'est au tour de Foals, que nous attendons le coeur battant... De là où nous sommes placées, nous voyons Walter (basse) et Yannis (guitare et chant) dans les "coulisses" (enfin l'espace vide qui fait office de coulisses). Les voilà (petit rappel : Foals = 5 musiciens, batterie, basse, clavier + 2 guitares)!!! On va passer un excellent moment, intense comme à chaque fois, mais court, vraiment très court (enfin, déjà, quand ils sont en tête d'affiche, ils ne jouent pas assez longtemps, alors là, forcément...). Ils commencent par l'Intro, the French open puis Balloons, Cassius, une nouvelle chanson (wéééé), Two steps twice, Red sock pugie et une autre chanson mais, honte sur nous, on ne se rappelle pas laquelle (Olympic Airways ?)... Huit morceaux ! ça passe à toute vitesse... De notre côté, on est un peu les seules déchaînées, heureusement le petit couple juste devant nous est fan aussi, on peut sautiller ensemble, toujours cette frénésie irrésistible transmise par Foals (ce qui explique notre "fanitude" extatique). Au milieu, par contre, il y a plus d'ambiance. Sur scène, les garçons sont à fond comme toujours... Yannis, le chanteur a l'air plus en forme que lors du festival des Inrocks, où son comportement avait été un peu inquiétant ; ça fait plaisir ! De là où nous sommes, le mur d'amplis alignés sur le coté gêne un peu la visibilité, et on ne peut qu'entr'apercevoir Jack, le batteur, qui est caché par l’une des grosses caméras qui doivent capter les images pour les retransmettre sur les écrans géants... dommage qu'elles n'aient pas été mise en service pour les premières parties... Et voilà, c'est fini alors que ça vient à peine de commencer... Plus qu'à attendre Bloc Party en défendant nos places, la foule commençant à se compacter...
Et voici les Bloc Party (Deuxième petit rappel : Bloc Party = batterie, basse + 2 guitares) qui rentrent en scène et attaquent aussitôt Halo... Russel moulinant sur sa guitare et Kele toujours très en forme, avec son ignoble Kway vert et noir (exprès pour faire plaisir à Alice qui, en hommage, en avait essayé un rose/vert/bleu/violet le matin même à Camden ???). Ils ont l'air super contents de jouer là, et l'ambiance fervente de la salle est vraiment prenante ! Je crois que c'est, avec le Nouveau Casino bien sûr, mon meilleur concert de Bloc Party. On voit bien la scène, le son est bon, on peut danser et sauter avec nos voisins, sans se faire piétiner, tout bien, quoi (en plus la salle est hyper aérée, on n'a même pas chaud (on y repensera quand on sera au Bataclan !)... Chose surprenante, je m'attendais à entendre les Anglais brailler tous les refrains en choeur, et bien, non... Pas plus mal à vrai dire... Kele toujours très à l'aise, parle au public, évoque le concert de la veille, nous explique qu'hier, il n'a pas pensé à solliciter le public du fond mais qu'aujourd'hui il ne les oubliera pas... Il annonce aussi que c'est leur dernier concert à Londres avant longtemps, que beaucoup de groupes craignent un peu de jouer à Londres parce que le public y est réputé difficile, mais que eux ils adorent jouer ici, et qu'ils trouvent le public génial (il savait qu'on était là ?). Il parle aussi beaucoup de Pâques (il doit être en train de préparer sa surprise pour le rappel), mais bon je ne comprends pas tout... Et donc, justement, au rappel, Gordon, le bassiste, nous harangue en demandant : "Are you ready for this ? Are you ready ?"... et on voit revenir Kele déguisé en... lapin de Pâques !!! Costume intégral en moumoute blanche avec chaussons assortis, plus grosse tête de lapin... lol... Il a du perdre quelques kilos là-dedans, le pauvre ! Obligé de virer la tête, puis le haut du costume que le roadie viendra l'aider à nouer autour de sa taille (il avait plein de poils blancs collés sur ses bras)... Il nous avoue que c'est un peu dur de jouer de la guitare avec ce truc sur le dos ! A un moment, il descend vers le public mais là, je perds le fil, on ne voit rien... Le rappel est bien musclé : Ares ("war, war, war, I want to declare a war..."), Price of gas puis, pour finir, Flux qui nous fait toujours partir en vrille avec son fond electro/techno/dance floor, et sa voix si émouvante (oui, oui, vous avez le droit de ricaner ;-D)... et voilà, ils saluent tous ensemble, comme d'hab, et s'en vont, pour de bon cette fois..
La salle se vide et on se rend compte que ça a bien dû chauffer au milieu de la fosse en voyant un jeune homme rapporter à une responsable de la sécurité un passeport et une chaussure... Il tient une autre chaussure à la main, mais c'est la sienne : "I'm so glad I got my shoe back !" nous dit-il avec un grand sourire... Ah, ah...
On sort tranquillement de la salle, et là on peut admirer une fois de plus l'organisation britannique : il y a plein de gars avec des panneaux pour indiquer les bus, etc, plus des gens qui régulent le flux vers le métro. On fait le tour de la salle en attendant que le métro se désengorge et on a croisé le bassiste de Foals qui part avec sa copine... On traîne un peu avant de rentrer, ravies de notre soirée : en effet je craignais d'être déçue (taille de la salle, gros concert, etc) et ça n'a pas du tout été le cas...»
(www.myspace.com/wetpaintwetpaint)
Foals est un groupe de dance-punk nous venant tout droit d'Oxford, Angleterre. Ils assurent avec chic la relève de The Rapture ou de Battles. Fans des Talking Heads, le groupe n'hésite pas a dire que cette influence se retrouve dans leurs enregistrements.
(http://www.myspace.com/foals)
Bloc Party est un groupe britannique de indie rock, formé en 2003. Le groupe se fait connaître fin 2004 par deux EPs successifs (Bloc Party EP et Little Thoughts EP) qui font fureur dans les boîtes britanniques et européennes grâce à un punk rock d'un nouveau genre. En Février 2005, le groupe a sorti leur premier album Silent Alarm, qui est aussitôt acclamé par la critique et fait par NME “Album de l'Année”. Leur deuxième album studio, A Weekend in the City, en 2007, a atteint le sommet de numéro deux au Royaume-Uni et le nombre douze en Billboard 200. Pour son troisième album, Intimacy, Bloc Party a décidé sans prévenir en plein mois d'août de sortir son nouvel album directement sur son site. Sortie officielle album Octobre 2008.
(http://www.myspace.com/blocparty)* 2005 : Silent Alarm
* 2005 : Silent Alarm Remixed
* 2007 : A Weekend In The City
* 2007 : Another Weekend In The City - B-sides & Extras
* 2008 : Intimacy
Yannis Philippakis (Vocal & Guitar)
Jack Bevan (Drums)
Jimmy Smith (Guitar)
Edwin Congreave (Keyboards)
Walter Gervers (Bass)
Jack Bevan (Drums)
Jimmy Smith (Guitar)
Edwin Congreave (Keyboards)
Walter Gervers (Bass)
* Kele Okereke : Vocal & Guitar
* Russell Lissack : Guitar
* Gordon Moakes : Bass et Vocals
* Matt Tong : Drums & Vocals
* Russell Lissack : Guitar
* Gordon Moakes : Bass et Vocals
* Matt Tong : Drums & Vocals
NON DISPONIBLE
La durée du concert : 0h30
Halo (Intimacy - 2008)
Hunting For Witches (A Weekend in the City - 2007)
Positive Tension (Silent Alarm - 2005)
Talons (Intimacy - 2008)
Signs (Intimacy - 2008)
Song for Clay (Disappear Here)(A Weekend in the City - 2007)
Banquet (Silent Alarm - 2005)
Blue Light (Silent Alarm - 2005)
Uniform (A Weekend in the City - 2007)
Two More Years (Single - 2005)
Mercury (Intimacy - 2008)
This Modern Love (Silent Alarm - 2005)
The Prayer (A Weekend in the City - 2007)
Like Eating Glass (Silent Alarm - 2005)
Helicopter (Silent Alarm - 2005)
ENCORE
One Month Off (Intimacy - 2008)
The Price Of Gas (Silent Alarm - 2005)
Ares (Intimacy - 2008)
Flux (A Weekend in the City - 2007)
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