« Enfin une occasion de découvrir le Divan du Monde avec ce concert des Bishops, qu’Alice et moi n’avons pas revus depuis plus d’un an… C’était lors d’une mémorable soirée à la Maroquinerie (voir le compte-rendu de Gilles B) qui s’était terminée par un retour sous la neige… Cette fois-ci, c’est sous le soleil et dans une atmosphère très douce que nous arrivons devant la salle. Pour une fois, Fred nous accompagne… Nous sommes vite rejoints par Gaby, Marine et Maxime. Il n’y a pas foule mais les gens arrivent et rentrent petit à petit.
Une fois à l’intérieur, nous pouvons admirer cette très jolie salle, Fred se met à imaginer des concerts de Freevolt sur cette scène… Nous nous plaçons sur le côté gauche (hommage à Gilles B ;-D).
La première partie est assurée par un groupe français : Norma Peals (des lorrains émigrés à Paris depuis un an). Leur nom ne m’est pas inconnu, ils ont participé plusieurs fois aux soirées French Pop Mission qui programment régulièrement des groupes français plutôt à notre goût… De plus, ce que j’ai pu entendre sur leur MySpace m’a bien plu, et je ne serai pas déçue par leur prestation. Ils sont cinq : un clavier, un batteur, un bassiste et deux guitaristes qui chantent. Ce sont ces deux derniers qui occupent le devant de la scène : celui de gauche dégageant une aura plutôt sympathique tandis que l'autre a tendance à en faire un peu trop (il me fait vaguement penser à Julien Doré, ce qui explique peut-être qu'il m'agace un peu, mais, bon, c'est totalement subjectif). Je reconnais une chanson écoutée sur MySpace, Easy and Superficial ; les compos sont bonnes, dans le style rock anglais un peu plus sophistiqué que celui de nos chers Bishops. Bref, un bon moment.
La salle est bien remplie, ça fait plaisir après la salle un peu lugubre de la Maro l'an dernier. Emilie vient nous rejoindre devant, Guillaume et Jérôme qui l'accompagnent préfèrent s'installer au balcon. Je reconnais dans le public quelques visages croisés lors d'autres concerts…
Les Bishops n'ont pas changé leur look intemporel : ils portent toujours des petits costards étriqués à la Beatles, mais ils ont troqué la chemise blanche contre une chemise rouge pour Mike et une beige à pois blanc pour Pete. Et ils ont toujours la patate ! Ah, ce plaisir évident à jouer, ces sourires échangés entre musiciens et surtout le méga-giga-énorme sourire plein de dents de Mike !!! Moi, j'adore ! Je continue à préférer les morceaux du premier album, plus entraînants, mais les ballades du second passent bien également… Entrée triomphante avec Higher Now, Mike est déjà à fond et il le restera pendant tout le concert, bondissant sur la scène, encourageant le public à réagir, il se dépense sans compter. Les titres s'enchaînent, et c'est toujours un plaisir pour les oreilles (j'adore particulièrement l'accord des voix des deux frères quand ils chantent ensemble) et les pieds ! On danse (la salle n'est pas pleine au point qu'on soit compressé) et surtout, dans mon cas, en tout cas, on sourit !!! Ah, ah, je vais finir par avoir les zygomatiques hyper-musclés… Je n'ai pas grand-chose à ajouter. Le set se déroule à toute vitesse et nous laisse tous joyeux et dynamiques, près pour aller au merch discuter un peu avec les musiciens… »
Une fois à l’intérieur, nous pouvons admirer cette très jolie salle, Fred se met à imaginer des concerts de Freevolt sur cette scène… Nous nous plaçons sur le côté gauche (hommage à Gilles B ;-D).
La première partie est assurée par un groupe français : Norma Peals (des lorrains émigrés à Paris depuis un an). Leur nom ne m’est pas inconnu, ils ont participé plusieurs fois aux soirées French Pop Mission qui programment régulièrement des groupes français plutôt à notre goût… De plus, ce que j’ai pu entendre sur leur MySpace m’a bien plu, et je ne serai pas déçue par leur prestation. Ils sont cinq : un clavier, un batteur, un bassiste et deux guitaristes qui chantent. Ce sont ces deux derniers qui occupent le devant de la scène : celui de gauche dégageant une aura plutôt sympathique tandis que l'autre a tendance à en faire un peu trop (il me fait vaguement penser à Julien Doré, ce qui explique peut-être qu'il m'agace un peu, mais, bon, c'est totalement subjectif). Je reconnais une chanson écoutée sur MySpace, Easy and Superficial ; les compos sont bonnes, dans le style rock anglais un peu plus sophistiqué que celui de nos chers Bishops. Bref, un bon moment.
La salle est bien remplie, ça fait plaisir après la salle un peu lugubre de la Maro l'an dernier. Emilie vient nous rejoindre devant, Guillaume et Jérôme qui l'accompagnent préfèrent s'installer au balcon. Je reconnais dans le public quelques visages croisés lors d'autres concerts…
Les Bishops n'ont pas changé leur look intemporel : ils portent toujours des petits costards étriqués à la Beatles, mais ils ont troqué la chemise blanche contre une chemise rouge pour Mike et une beige à pois blanc pour Pete. Et ils ont toujours la patate ! Ah, ce plaisir évident à jouer, ces sourires échangés entre musiciens et surtout le méga-giga-énorme sourire plein de dents de Mike !!! Moi, j'adore ! Je continue à préférer les morceaux du premier album, plus entraînants, mais les ballades du second passent bien également… Entrée triomphante avec Higher Now, Mike est déjà à fond et il le restera pendant tout le concert, bondissant sur la scène, encourageant le public à réagir, il se dépense sans compter. Les titres s'enchaînent, et c'est toujours un plaisir pour les oreilles (j'adore particulièrement l'accord des voix des deux frères quand ils chantent ensemble) et les pieds ! On danse (la salle n'est pas pleine au point qu'on soit compressé) et surtout, dans mon cas, en tout cas, on sourit !!! Ah, ah, je vais finir par avoir les zygomatiques hyper-musclés… Je n'ai pas grand-chose à ajouter. Le set se déroule à toute vitesse et nous laisse tous joyeux et dynamiques, près pour aller au merch discuter un peu avec les musiciens… »
(http://www.myspace.com/normapeals)
The Bishops sont un trio band de London, UK. Formé autour des deux frangins jumeaux Bishop, Mike et Pete. Ce trio avec ses costards-cravate et ce look petite frappe mod, fait irrémédiablement penser aux Jam, ayant un petit air des frères Gallagher d'Oasis, mais les influences des Bishops va cependant crêcher plus du côté des sixties. Le premier album intitulé tout simplement The Bishops est sorti au printemps 2007.
(http://www.myspace.com/thebishopsuk)
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