Ce qu’en a pensé Gilles B. :
« Seconde édition de la musicale de Canal+, toujours dans la prestigieuse salle de l'Olympia, et avec une fois de plus une affiche plus qu'alléchante, avec le grand retour de Placebo et les Belges de Ghinzu, venus promouvoir leur troisième album après un passage remarqué au Bataclan, et avant le Zénith qui se profile à la rentrée. Mais la grande surprise aura été de voir que les billets, loin de s'arracher (je pensais que le concert serait sold out en une journée) se sont vendus au compte goutte, pour finalement afficher un Olympia complet deux jours seulement avant l'évènement. La raison est très simple, il suffisait de faire des sondages pour constater le désintérêt du public pour Placebo depuis 2 ou 3 ans, et je dois bien avouer que moi-même qui étais pourtant un fan de la première heure, j'ai lâché prise depuis quelque temps. Mais les voir à l'Olympia était tout de même une occasion en or.
Je ne me fais pas trop d'illusions en arrivant sur le coup de 17h devant l'Olympia et, effectivement, une petite centaine de personnes sont déjà là. Gilles P, Patrick et Livie arrivent eux aussi au même moment, ce n’est pas gagné pour être au premier rang. Mais trois quarts d'heure plus tard, c'est la ruée vers la salle. Évidemment, comme cela se produit parfois, le soundcheck n'est pas terminé, ce qui fait que nous nous retrouvons bloqués derrière les deux portes donnant accès à la salle. Et comble de malheur, lorsque enfin l'ordre a été donné d'ouvrir les portes, le représentant du service d'ordre qui bloquait notre entrée n'écoutait pas : il a ouvert les portes seulement au bout d'une trentaine de secondes. On traite parfois, avec irrespect, d'abrutis les membres des divers S.O - ce que je n'aime pas d'ailleurs -, mais il faut bien avouer que ce type faisait bien partie de cette catégorie, surtout quand il répondra aux spectateurs : « il y a de la place pour tout le monde ! ». Mais oui, mon gars, va expliquer cela aux jeunes filles qui font la queue depuis plusieurs heures et qui voient leur chance d'être au premier rang s'envoler. Mais passons sur cet incident regrettable, nous voilà tout de même devant, complètement sur la gauche mais avec une visibilité parfaite. Pas d'appareils photos sur nous, les consignes étaient plus que strictes : INTERDIT de photographier même avec un compact. Surprenant... et navrant. Est-ce un ordre émanant de Canal+ ou de Placebo ?? Mystère.
18h30, la salle est encore aux trois quarts vide quand le duo français de Kap Bambino met le pied sur scène. Minimaliste et electro punk, avec une chanteuse peroxydée passablement énervée, j'ai bien aimé toute la première partie de ce concert. Le son était a ssez fort et le beat était bien présent. Le problème de ce genre de musique, surtout en duo, c'est l'effet répétitif. Car il faut bien avouer qu'à la fin du set, j'en avais assez. Pas assez de différences entre les morceaux, on a l'impression d'écouter toujours le même. Mais bon, ce n'était tout de même pas désagréable. Et à voir la mine dépitée de mes copains, j'ai l'impression d'avoir été le seul à ne pas avoir trouvé cela mauvais.
Sound check des guitares de Jim Jones, oh putain, cela devrait décoiffer au vu des quelques accords incendiaires décochés par le roadie du groupe. Erreur, grave erreur !!! Jim Jones Revue, c'est du rock'n'roll purement fifties, ils ont été touché par la grâce du Killer et celle de Little Richard, piano et guitares à fond la caisse. Sauf que ce soir, cela a pris une autre tournure. Ingénieur du son incompétent ? Oui, c'est sûr, car pour que le son des guitares ne passe pas par la sono qui se trouvait à deux mètres de nous, il fallait le faire ! Et malgré les hurlements d'Eric pour attirer l'attention du préposé à la console, rien n'y fera. Personnel de Canal+ ou pas, ce fut un désastre. C'est quand même navrant de voir ce manque de professionnalisme et ce « je m'en foutisme ». Je commence à voir percer le spectre d'une soirée ratée, complètement l'inverse de la Musicale de l'année dernière, où l'on sentait de la convivialité sur scène entre les groupes et dans le public. Donc je ne dirai rien de Jim Jones Revue car j'ai vécu ce concert dans un état second. Dommage pour eux.
Le moment que j'attendais est enfin arrivé, la prestation de Ghinzu. Il faut bien dire que c'est le groupe qui m'intéresse le plus ce soir. Et malgré une sonorisation encore une fois désastreuse, mais tout de même audible, John Stargasm et sa bande ont tout de suite conquis le public de l'Olympia. Costumes noirs et canettes de bières à la main, les Belges ont quelque chose dans leur attitude qui de suite impressionne. Et quand John attaque seul au piano Mother Allegra, une sublime introduction à tous leurs récents concerts, je frissonne déjà. La suite n'est qu'une confirmation, Ghinzu est actuellement l’un des groupes essentiels du monde du rock. Puissant et tellement porteur d'une frénésie jubilatoire, les Belges emportent tout sur leur passage en 45 minutes chrono… car le temps leur est compté, Placebo tête d'affiche oblige. « Mirror Mirror » est bien sûr à l'honneur avec tout d'abord le titre éponyme, nous, nous sommes déjà pas loin du KO, mais c'est avec Cold Love que nous baissons définitivement la garde, vaincus et heureux. Qu'est-ce que c'est bon, ces montées en puissance, toute cette débauche de lumières et de son, avec pour conséquence mon adrénaline qui monte et qui me donne envie de hurler ma joie ! J'ai l'impression que pour beaucoup de gens venus voir Placebo, c'est la surprise : c'est à chaque fois une ovation qui accompagne la fin du morceau. Malgré la durée réduite du set, un nouveau morceau est joué pour la première fois ce soir, du nom de Chocolate et ma fois, il semble que la veine de l'inspiration ne se soit pas tarie. Si Do You Read Me avait préalablement montré Ghinzu dans son côté rock mélodique inspiré, le final avec Kill The Surfer les montre sous une nouvelle facette, du glam hérité de Goldfrapp (« ohh la la ») lui même hérité bien sûr de T Rex et consort, mais là, c'est du Glam survitaminé et torturé, grâce à la magie des machines et des guitares. Grand seigneur, le groupe se retire sous les ovations de l'Olympia,mais malgré les demandes du public, il ne reviendra pas. Au passage je ne remercie pas le crétin (si, si, je me permets…) de Canal+ qui, alors qu'il était sur scène et que je lui demandais (poliment) de me donner la set list, s'est contenté de me regarder, de sourire et de ne pas la donner... Peur d'enfreindre des règles ??? Merde, ce n'est qu'un bout de papier avec des titres dessus, quoi !!! Arrêtons les conneries, ces mecs-là se prennent pour plus importants qu'ils ne le sont.
Je dis cela, car cela m'ennuie que Ghinzu soit là ce soir comme faire valoir, alors que je pense sincèrement que la créativité et l'enthousiasme est de leur côté, et non plus de celui de Brian Molko Inc.
Cela ne rigole plus maintenant sur scène, une armée de roadies prépare minutieusement le matériel, je ne sais pas pourquoi, mais je sens moyennement le truc.
Placebo sur scène, c'est Brian Molko et... Brian Molko, les autres ne sont que des faire valoir, un point c'est tout. Je ne lui trouve pas vraiment bonne mine d'ailleurs à Brian, avec son visage qui semble hyper maquillé et en conséquence artificiel. Six sur scène, cela dépasse ma compréhension, moi qui en étais resté à leur trio d'origine. Dès le premier morceau, c'est une sorte de rouleau compresseur, gros son, grosses lumières, Placebo s'est américanisé. Et ce soir, c'est presque uniquement à la promotion de « Battle For The Sun » auquel on assiste. Je ne comprends pas trop, d'ailleurs, l'intérêt de jouer presque intégralement le contenu du dernier album. La set list est donc à mon avis inintéressante. Et puis, il n'y a pas d'âme dans ce concert, tout est artificiel. Par moments, ce n'est pas moins de trois guitares qui jouent en même temps, moi qui croyait pendant longtemps ce genre d'exercice réservé aux groupes sudistes. Et puis les morceaux du dernier album sont presque tous du même tonneau, sans relief, le tout, bien entendu, masqué par le rouleau compresseur des six musiciens. Molko fait son boulot, peu communicatif sauf vers la fin ou un semblant d'enthousiasme semble revenir quand il fera se lever un par un les récalcitrants au balcon qui ne voulaient pas se mettre debout (Hein Gilles P ?). Alors oui, la violoniste est blonde et mignonne. Et alors ??? Quel intérêt dans Placebo ? Oui, le batteur est plein de tatouages et frappe comme un damné. Est-ce vraiment ce qu'il fallait au groupe ? Moi j'ai passé une heure et demi assez terrifiante : l'ennui se mêlait à la consternation. Au final, mon verdict est quand même sans appel : Placebo est pour moi un groupe en fin de vie, la voie qu'ils ont prise depuis « Meds » est désastreuse. Et je ne vois pas comment ils vont s'en sortir. Mais je me trompe peut-être. En tout cas, c'est bien dommage pour un groupe qui était, il faut bien le rappeler, l’un des fers de lance musicaux pendant de longues années, un groupe que j'adorais (d'ailleurs ce concert n'enlève rien à ce qu'ils ont fait dans le passé). Il est maintenant loin le temps de Nancy Boy !!!
Pas grand-chose d'autre à rajouter, je suis assez triste de la tournure de cette soirée (excepté la belle prestation de Ghinzu), j'ai trouvé le contraste énorme entre la Musicale de l'année dernière, avec Gossip et The Kills, où l'ambiance était formidable et celle de cette année. Les avis sont une fois de plus partagés entre les copains : bon ou mauvais ? L'avenir dira en tout cas ce qu'il adviendra de la suite de la carrière de Placebo. »
Je ne me fais pas trop d'illusions en arrivant sur le coup de 17h devant l'Olympia et, effectivement, une petite centaine de personnes sont déjà là. Gilles P, Patrick et Livie arrivent eux aussi au même moment, ce n’est pas gagné pour être au premier rang. Mais trois quarts d'heure plus tard, c'est la ruée vers la salle. Évidemment, comme cela se produit parfois, le soundcheck n'est pas terminé, ce qui fait que nous nous retrouvons bloqués derrière les deux portes donnant accès à la salle. Et comble de malheur, lorsque enfin l'ordre a été donné d'ouvrir les portes, le représentant du service d'ordre qui bloquait notre entrée n'écoutait pas : il a ouvert les portes seulement au bout d'une trentaine de secondes. On traite parfois, avec irrespect, d'abrutis les membres des divers S.O - ce que je n'aime pas d'ailleurs -, mais il faut bien avouer que ce type faisait bien partie de cette catégorie, surtout quand il répondra aux spectateurs : « il y a de la place pour tout le monde ! ». Mais oui, mon gars, va expliquer cela aux jeunes filles qui font la queue depuis plusieurs heures et qui voient leur chance d'être au premier rang s'envoler. Mais passons sur cet incident regrettable, nous voilà tout de même devant, complètement sur la gauche mais avec une visibilité parfaite. Pas d'appareils photos sur nous, les consignes étaient plus que strictes : INTERDIT de photographier même avec un compact. Surprenant... et navrant. Est-ce un ordre émanant de Canal+ ou de Placebo ?? Mystère.
18h30, la salle est encore aux trois quarts vide quand le duo français de Kap Bambino met le pied sur scène. Minimaliste et electro punk, avec une chanteuse peroxydée passablement énervée, j'ai bien aimé toute la première partie de ce concert. Le son était a ssez fort et le beat était bien présent. Le problème de ce genre de musique, surtout en duo, c'est l'effet répétitif. Car il faut bien avouer qu'à la fin du set, j'en avais assez. Pas assez de différences entre les morceaux, on a l'impression d'écouter toujours le même. Mais bon, ce n'était tout de même pas désagréable. Et à voir la mine dépitée de mes copains, j'ai l'impression d'avoir été le seul à ne pas avoir trouvé cela mauvais.
Sound check des guitares de Jim Jones, oh putain, cela devrait décoiffer au vu des quelques accords incendiaires décochés par le roadie du groupe. Erreur, grave erreur !!! Jim Jones Revue, c'est du rock'n'roll purement fifties, ils ont été touché par la grâce du Killer et celle de Little Richard, piano et guitares à fond la caisse. Sauf que ce soir, cela a pris une autre tournure. Ingénieur du son incompétent ? Oui, c'est sûr, car pour que le son des guitares ne passe pas par la sono qui se trouvait à deux mètres de nous, il fallait le faire ! Et malgré les hurlements d'Eric pour attirer l'attention du préposé à la console, rien n'y fera. Personnel de Canal+ ou pas, ce fut un désastre. C'est quand même navrant de voir ce manque de professionnalisme et ce « je m'en foutisme ». Je commence à voir percer le spectre d'une soirée ratée, complètement l'inverse de la Musicale de l'année dernière, où l'on sentait de la convivialité sur scène entre les groupes et dans le public. Donc je ne dirai rien de Jim Jones Revue car j'ai vécu ce concert dans un état second. Dommage pour eux.
Le moment que j'attendais est enfin arrivé, la prestation de Ghinzu. Il faut bien dire que c'est le groupe qui m'intéresse le plus ce soir. Et malgré une sonorisation encore une fois désastreuse, mais tout de même audible, John Stargasm et sa bande ont tout de suite conquis le public de l'Olympia. Costumes noirs et canettes de bières à la main, les Belges ont quelque chose dans leur attitude qui de suite impressionne. Et quand John attaque seul au piano Mother Allegra, une sublime introduction à tous leurs récents concerts, je frissonne déjà. La suite n'est qu'une confirmation, Ghinzu est actuellement l’un des groupes essentiels du monde du rock. Puissant et tellement porteur d'une frénésie jubilatoire, les Belges emportent tout sur leur passage en 45 minutes chrono… car le temps leur est compté, Placebo tête d'affiche oblige. « Mirror Mirror » est bien sûr à l'honneur avec tout d'abord le titre éponyme, nous, nous sommes déjà pas loin du KO, mais c'est avec Cold Love que nous baissons définitivement la garde, vaincus et heureux. Qu'est-ce que c'est bon, ces montées en puissance, toute cette débauche de lumières et de son, avec pour conséquence mon adrénaline qui monte et qui me donne envie de hurler ma joie ! J'ai l'impression que pour beaucoup de gens venus voir Placebo, c'est la surprise : c'est à chaque fois une ovation qui accompagne la fin du morceau. Malgré la durée réduite du set, un nouveau morceau est joué pour la première fois ce soir, du nom de Chocolate et ma fois, il semble que la veine de l'inspiration ne se soit pas tarie. Si Do You Read Me avait préalablement montré Ghinzu dans son côté rock mélodique inspiré, le final avec Kill The Surfer les montre sous une nouvelle facette, du glam hérité de Goldfrapp (« ohh la la ») lui même hérité bien sûr de T Rex et consort, mais là, c'est du Glam survitaminé et torturé, grâce à la magie des machines et des guitares. Grand seigneur, le groupe se retire sous les ovations de l'Olympia,mais malgré les demandes du public, il ne reviendra pas. Au passage je ne remercie pas le crétin (si, si, je me permets…) de Canal+ qui, alors qu'il était sur scène et que je lui demandais (poliment) de me donner la set list, s'est contenté de me regarder, de sourire et de ne pas la donner... Peur d'enfreindre des règles ??? Merde, ce n'est qu'un bout de papier avec des titres dessus, quoi !!! Arrêtons les conneries, ces mecs-là se prennent pour plus importants qu'ils ne le sont.
Je dis cela, car cela m'ennuie que Ghinzu soit là ce soir comme faire valoir, alors que je pense sincèrement que la créativité et l'enthousiasme est de leur côté, et non plus de celui de Brian Molko Inc.
Cela ne rigole plus maintenant sur scène, une armée de roadies prépare minutieusement le matériel, je ne sais pas pourquoi, mais je sens moyennement le truc.
Placebo sur scène, c'est Brian Molko et... Brian Molko, les autres ne sont que des faire valoir, un point c'est tout. Je ne lui trouve pas vraiment bonne mine d'ailleurs à Brian, avec son visage qui semble hyper maquillé et en conséquence artificiel. Six sur scène, cela dépasse ma compréhension, moi qui en étais resté à leur trio d'origine. Dès le premier morceau, c'est une sorte de rouleau compresseur, gros son, grosses lumières, Placebo s'est américanisé. Et ce soir, c'est presque uniquement à la promotion de « Battle For The Sun » auquel on assiste. Je ne comprends pas trop, d'ailleurs, l'intérêt de jouer presque intégralement le contenu du dernier album. La set list est donc à mon avis inintéressante. Et puis, il n'y a pas d'âme dans ce concert, tout est artificiel. Par moments, ce n'est pas moins de trois guitares qui jouent en même temps, moi qui croyait pendant longtemps ce genre d'exercice réservé aux groupes sudistes. Et puis les morceaux du dernier album sont presque tous du même tonneau, sans relief, le tout, bien entendu, masqué par le rouleau compresseur des six musiciens. Molko fait son boulot, peu communicatif sauf vers la fin ou un semblant d'enthousiasme semble revenir quand il fera se lever un par un les récalcitrants au balcon qui ne voulaient pas se mettre debout (Hein Gilles P ?). Alors oui, la violoniste est blonde et mignonne. Et alors ??? Quel intérêt dans Placebo ? Oui, le batteur est plein de tatouages et frappe comme un damné. Est-ce vraiment ce qu'il fallait au groupe ? Moi j'ai passé une heure et demi assez terrifiante : l'ennui se mêlait à la consternation. Au final, mon verdict est quand même sans appel : Placebo est pour moi un groupe en fin de vie, la voie qu'ils ont prise depuis « Meds » est désastreuse. Et je ne vois pas comment ils vont s'en sortir. Mais je me trompe peut-être. En tout cas, c'est bien dommage pour un groupe qui était, il faut bien le rappeler, l’un des fers de lance musicaux pendant de longues années, un groupe que j'adorais (d'ailleurs ce concert n'enlève rien à ce qu'ils ont fait dans le passé). Il est maintenant loin le temps de Nancy Boy !!!
Pas grand-chose d'autre à rajouter, je suis assez triste de la tournure de cette soirée (excepté la belle prestation de Ghinzu), j'ai trouvé le contraste énorme entre la Musicale de l'année dernière, avec Gossip et The Kills, où l'ambiance était formidable et celle de cette année. Les avis sont une fois de plus partagés entre les copains : bon ou mauvais ? L'avenir dira en tout cas ce qu'il adviendra de la suite de la carrière de Placebo. »
Projet né en octobre 2001, Kap Bambino, groupe de Bordeaux, développe une électro contemporaine efficace et énergique. Basée sur des rythmiques riches et percutantes, des riffs enivrants et des lyrics déstructurées, sa musique échappe aux schémas du genre.
(http://www.myspace.com/kapbambino)
Groupe londonien 100 rock'n'Roll influencé par les plus grands : Jerry Lee, Elvis, The Sonics, MC5, Brian Auger.... avec rythmes blues débraillés tirés d'un savoureux mélange des Doors, T-Rex et Chuk Berry. Sauvage et hystérique, le rock'n'roll plus vrai que nature de The Jim Jones Revue, Anglais purs et durs.
(www.myspace.com/thejimjonesrevue)
Ghinzu est un groupe de rock belge. Le nom du groupe fait référence à la marque de couteau Ginsu ("plus on coupe, plus il s'aiguise"). Formé en 1999 à Bruxelles, le groupe sort Electronic Jacuzzi, son premier album autoproduit (le label Dragoon a été créé par et pour le groupe) en 2000. En février 2004 sort le deuxième album Blow. Cette fois les choses démarrent réellement pour le groupe. Le succès du single Do You Read Me fait décoller les ventes spécialement en France où une horde de fans commence à les suivre. Des concerts sold-out à Paris, à l'Elysée-Montmartre et à l'Olympia feront grand bruit. C'est sur scène, par des prestations déjantées de dandy-punks, que se crée le succès du groupe. Un nouvel album, "Mirror Mirror", est sorti le Mars 2009.
(http://www.myspace.com/ghinzu)
Placebo est un groupe de rock alternatif créé en 1994 à Londres et originellement appelé Ashtray Heart, La musique et les textes de Placebo se distinguent par une inclination romantique exacerbée. Autrefois allié à une imagerie provocante et excessive, ce romantisme exubérant s'inscrit désormais dans une attitude bien plus introvertie. Opérant un changement progressif de son image et de sa musique, adoucissant le punk-rock de ses débuts avant d'incorporer des samples, Placebo a gagné une reconnaissance internationale et est connu du grand public pour ses titres Pure Morning, Every You Every Me, Special K, The Bitter End ou encore Meds. Le nouvel album Battle for the Sun sortira le 8 juin 2009.
(http://www.myspace.com/placebo)
(http://www.myspace.com/kapbambino)
Groupe londonien 100 rock'n'Roll influencé par les plus grands : Jerry Lee, Elvis, The Sonics, MC5, Brian Auger.... avec rythmes blues débraillés tirés d'un savoureux mélange des Doors, T-Rex et Chuk Berry. Sauvage et hystérique, le rock'n'roll plus vrai que nature de The Jim Jones Revue, Anglais purs et durs.
(www.myspace.com/thejimjonesrevue)
Ghinzu est un groupe de rock belge. Le nom du groupe fait référence à la marque de couteau Ginsu ("plus on coupe, plus il s'aiguise"). Formé en 1999 à Bruxelles, le groupe sort Electronic Jacuzzi, son premier album autoproduit (le label Dragoon a été créé par et pour le groupe) en 2000. En février 2004 sort le deuxième album Blow. Cette fois les choses démarrent réellement pour le groupe. Le succès du single Do You Read Me fait décoller les ventes spécialement en France où une horde de fans commence à les suivre. Des concerts sold-out à Paris, à l'Elysée-Montmartre et à l'Olympia feront grand bruit. C'est sur scène, par des prestations déjantées de dandy-punks, que se crée le succès du groupe. Un nouvel album, "Mirror Mirror", est sorti le Mars 2009.
(http://www.myspace.com/ghinzu)
Placebo est un groupe de rock alternatif créé en 1994 à Londres et originellement appelé Ashtray Heart, La musique et les textes de Placebo se distinguent par une inclination romantique exacerbée. Autrefois allié à une imagerie provocante et excessive, ce romantisme exubérant s'inscrit désormais dans une attitude bien plus introvertie. Opérant un changement progressif de son image et de sa musique, adoucissant le punk-rock de ses débuts avant d'incorporer des samples, Placebo a gagné une reconnaissance internationale et est connu du grand public pour ses titres Pure Morning, Every You Every Me, Special K, The Bitter End ou encore Meds. Le nouvel album Battle for the Sun sortira le 8 juin 2009.
(http://www.myspace.com/placebo)
* Electronic Jacuzzi (2000. Reissued in 2005)
* Blow (2004)
* Mirror Mirror (2009)
* Blow (2004)
* Mirror Mirror (2009)
* Placebo (1996)
* Without You I'm Nothing (1998)
* Black Market Music (2000)
* Sleeping with Ghosts (2003)
* Meds (2006)
* Battle for the Sun (2009)
* Without You I'm Nothing (1998)
* Black Market Music (2000)
* Sleeping with Ghosts (2003)
* Meds (2006)
* Battle for the Sun (2009)
John Stargasm (vocals, guitar, keyboards)
Mika Nagazaki (bass)
Greg Remy (guitar, drums)
Tony Babyface (drums)
Mika Nagazaki (bass)
Greg Remy (guitar, drums)
Tony Babyface (drums)
Brian Molko: Vocal & Guitar
Stefan Olsdal: Bass
Steve Forrest: Drums
Stefan Olsdal: Bass
Steve Forrest: Drums
Additional live lineup members are:
* Bill Lloyd (1999-present) – guitar, bass guitar, keyboards, piano (touring and studio)
* Fiona Brice (2008-present) – violin, keyboards, theremin, backing vocals
* Nick Gavrilovich (2009-present) – keyboards, guitar, backing vocals
* Bill Lloyd (1999-present) – guitar, bass guitar, keyboards, piano (touring and studio)
* Fiona Brice (2008-present) – violin, keyboards, theremin, backing vocals
* Nick Gavrilovich (2009-present) – keyboards, guitar, backing vocals
Mother Allegra (Mirror Mirror - 2009)
Mirror Mirror (Mirror Mirror - 2009)
Dream Maker (Mirror Mirror - 2009)
Dream Maker (Mirror Mirror - 2009)
Cold Love (Mirror Mirror - 2009)
Take It Easy (Mirror Mirror - 2009)
Dragster Wave (Blow - 2004)
21st Century Crooners (Blow - 2004)
Do You Read Me (Blow - 2004)
Chocolate (New Song)
21st Century Crooners (Blow - 2004)
Do You Read Me (Blow - 2004)
Chocolate (New Song)
Kill The Surfers (Mirror Mirror - 2009)
Kitty Litter (Battle for the Sun - 2009)
Ashtray Heart (Battle for the Sun - 2009)
Battle for the Sun (Battle for the Sun - 2009)
For What It's Worth (Battle for the Sun - 2009)
Soulmates (Live - 2003)
Speak In Togues (Battle for the Sun - 2009)
Follow The Cops Back Home (Meds -2007)
Every You Every Me (Without You I'm Nothing - 1998)
Julien (Battle for the Sun - 2009)
Special Needs (Sleeping with Ghosts - 2003)
Never-Ending Why (Battle for the Sun - 2009)
Devil in the Details (Battle for the Sun - 2009)
Happy You're Gone (Battle for the Sun - 2009)
Meds (Meds -2007)
Come Undone (Battle for the Sun - 2009)
Special K (Black Market Music - 2000)
Song To Say Goodbye (Meds -2007)
Encore 1
Infra - Red (Meds -2007)
The Bitter End (Sleeping with Ghosts - 2003)
Encore 2
Taste In Men (Black Market Music - 2000)
Ashtray Heart (Battle for the Sun - 2009)
Battle for the Sun (Battle for the Sun - 2009)
For What It's Worth (Battle for the Sun - 2009)
Soulmates (Live - 2003)
Speak In Togues (Battle for the Sun - 2009)
Follow The Cops Back Home (Meds -2007)
Every You Every Me (Without You I'm Nothing - 1998)
Julien (Battle for the Sun - 2009)
Special Needs (Sleeping with Ghosts - 2003)
Never-Ending Why (Battle for the Sun - 2009)
Devil in the Details (Battle for the Sun - 2009)
Happy You're Gone (Battle for the Sun - 2009)
Meds (Meds -2007)
Come Undone (Battle for the Sun - 2009)
Special K (Black Market Music - 2000)
Song To Say Goodbye (Meds -2007)
Encore 1
Infra - Red (Meds -2007)
The Bitter End (Sleeping with Ghosts - 2003)
Encore 2
Taste In Men (Black Market Music - 2000)
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