Opening : White Hinterland

White Hinterland se présente sur la scène du Trabendo, ils sont deux, elle aux claviers et lui s’occupant des divers bidouillages électroniques. Le constat sera simple et rapide, n’est pas Beach House qui veux ! Musicalement quelconque et je suis gentil, le groupe ne bénéficie pas non plus de la vois de sa chanteuse qui semble bien faible et bien pale surtout avec l’écho permanent qui finis par me lasser. La musique n’est pas entrainante, j’ai du mal à m’intéresser au concert. Faire de la « dreampop » n’est pas chose aisée et White Hinterland n’ont malheureusement pas le talent pour ca. Les chansons sont déstructurées avec une tendance pour un coté tribal sud Africain bien à la mode ces temps ci mais pas de place au rêve et à l’imagination, on se demande juste quand le concert va se terminer. Le public d’ailleurs ne se manifeste presque pas. 35 minutes sans aucun intérêt, la soirée ne commence pas sous de bons hospices.
Un décor presque similaire à celui de la Maroquinerie sauf que les espèces de parasols blanc lumineux sont remplacés cette fois par des sortes de lustres lumineux, quand à l’éclairage il va s’avérer une fois de plus assez imparfait pour les photos mais ce n’est pas pour cela que je suis venu. Peu de différence ce soir par rapport au set de la Maro si ce n’est que Beach House jouera tout de même un peu plus longtemps. Alors est ce la fatigue ou la réalité mais j’ai un peu moins rêver ce soir, l’impression que le son était moins ample malgré la voix toujours bien mise en valeur de Victoria. Mais ce soir je n’ai pas tout à fait réussi à m’immerger complètement dans la dream pop presque parfaite de Beach House. Malgré tout j’avoue que j’ai encore une fois frissonner et fermer les yeux en écoutant le splendide Walk In The Park avec sa mélodie envoutante, ce clavier omniprésent qui donne un air de solennel à la musique et bien sur une fois de plus la voix enrobée d’écho de Victoria qui nous plonge dans une espèce d’allégresse tout en retenue. Et la voir le visage de Victoria penché avec ses cheveux ondulants sur les touches du clavier, c’est un spectacle à lui tout seul. Car Victoria Legrand incarne à elle seule la femme qui se métamorphose d’un coup en beauté fatale.

Beach House est un duo de pop-rock mélancolique de Baltimore, USA, formée en 2004.
(http://www.myspace.com/beachhousemusic)
Victoria
Legrand: Piano, Keyboards, Vocal
Alex Scally : Guitar and Keyboards
Legrand: Piano, Keyboards, Vocal
Alex Scally : Guitar and Keyboards
Walk In The Park (Teen Dream - 2010)
Lover Of Mine (Teen Dream - 2010)
Gila (Devotion - 2008)
Better Times (Teen Dream - 2010)
Norway (Teen Dream - 2010)
Silver Soul (Teen Dream - 2010)
Master Of None (Beach House - 2006)
Austronaut (Devotion - 2008)
Used To Be (Teen Dream - 2010)
Zebra (Teen Dream - 2010)
Heart Of Chambers (Devotion - 2008)
Take Care (Teen Dream - 2010)
Encore
Lover Of Mine (Teen Dream - 2010)
Gila (Devotion - 2008)
Better Times (Teen Dream - 2010)
Norway (Teen Dream - 2010)
Silver Soul (Teen Dream - 2010)
Master Of None (Beach House - 2006)
Austronaut (Devotion - 2008)
Used To Be (Teen Dream - 2010)
Zebra (Teen Dream - 2010)
Heart Of Chambers (Devotion - 2008)
Take Care (Teen Dream - 2010)
Encore
Real Love (Teen Dream - 2010)
10 Mile Stereo (Teen Dream - 2010)
AFFICHE / PROMO / FLYER


Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire