Opening : Horse Feathers + Wild Palms + Someone Still Loves You Boris Yeltsin
« La raison de ma venue à la Flèche d’or ce soir est simple et s’appelle Oh No Ono. Voila un groupe que j’ai découvert il y a quelques mois à peine à la Maroquinerie et qui m’avait véritablement époustouflé lors d’un concert surprenant. J’ai pu bénéficier ce soir d’une invitation grâce à une participation à un concours sur le site « Sound Of Violence » (webzine français dédié à l’actualité et à la promotion des artistes britanniques, http://www.soundofviolence.net/). Mais comme c’est souvent le cas à la Flèche d’Or, ce n’est pas un seul groupe qui est au programme ce soir mais pas moins de quatre ! Et bien sûr, difficile à l’avance, de savoir dans quel ordre tout ce petit monde va passer.
C’est tout d’abord Horse Feathers qui ouvrent les hostilités pour un set de 35 mn tout en retenue. Le chanteur ressemble à s’y méprendre à Ron Howard le réalisateur. Sur scène outre le chanteur et guitariste Justin Ringle on trouve 3 autres musiciens. Musicalement c’est proche du folk, le groupe vient de Portland dans l’Oregon (impressionnant de voir d’ailleurs que cette ville ressemble à une pépinière vu le nombre de groupes qui y sont issus). La voix du chanteur est belle avec beaucoup de pureté mais j’avoue que pour ma part, 35 minutes de concert sont largement suffisantes avant que l’ennui me gagne définitivement. C’est propre, bien interprété mais trop monocorde et je n’accroche pas. On notera que le groupe fera une reprise de Gillian Welch.
Petit surprise car le groupe suivant n’est aitre que Oh No Ono que j’attendais plus tard dans la soirée. Malgré le fait que je sois au premier rang, je suis un peux déçu par le son qui est loin d’être à la hauteur, le concert de la Maroquinerie était à ce niveau largement supérieur. J’ai tout de même l’impression qu’a la Flèche d’Or on joue un peu sous amplifié. Deuxième légère déception avec Malthe Fisher le chanteur/guitariste principal qui est cette fois vêtue normalement, on est loin du coté psychédélique qu’il dégageait à la Maro. Du coup le concert sera bon mais inférieur à ce que j’en attendais . Pas assez de monde pour encourager le groupe, un set de 42 minutes joué en roue libre sans grande passion, c’est dommage car ce groupe vaut mieux que cela mais les conditions n’étaient pas réunies ce soir.
On continue la soirée avec le troisième groupe, Wild Palms. Dès les premiers accords du groupe on est fixé : C’est du sous Interpol voir du sous Editors. Je ne vois pas trop l’intérêt de ce groupe qui me parait une pâle copie de ce qui ce fait actuellement. 35 minutes de set suffisant pour me forger une opinion.
Il est maintenant 23h et c’est maintenant au tour des américains de Someone Still Loves You Boris Yeltsin de faire leur apparition sur scène. Le groupe est attendu comme la tête d’affiche de la soirée, personnellement j’en ai un souvenir mitigé lors de leur passage à la Maroquinerie il y a deux de cela. Et cette impression se confirme pendant la première partie de leur set. La prestation est poussive et convenue, ce n’est pas vraiment désagréable mais cela ne décolle pas. Musicalement c e n’est pas désagréable, du rock indé à guitares mais du rock ou il manque une bonne dose de charisme. Et cela s’explique du moins c’est mon explication par le fait que le groupe est une hydre à deux têtes. En effet le show va se décomposer en deux parties. La première plutôt sans grand entrain mené au chant par un des membres du groupe qui outre le fait d’être chanteur joue aussi de la guitare. Mais ou les choses s’arrangent, c’est quand le batteur devient à son tour chanteur/guitariste, le chanteur guitariste d’origine prenant place à la basse, alors oui à ce moment la le groupe devient intéressant, le courant passe enfin et je commence à dodeliner tranquillement de la tête signe que je commence à apprécier la prestation du groupe. Oh bien sur SSLBY ne jouera sans doute jamais en première division mais ces 25 dernières minutes suffiront pour sauver cette fin de soirée.
Il est maintenant minuit, le groupe vient de finir son set de 50 minutes et je ressort de la Flèche d’Or tout de même assez dubitatif, ayant passé une soirée en demi-teinte. Il est vrai qu’un seul groupe m’intéressait vraiment ce soir, c’est un peu le problème de la Flèche d’Or, trop de groupes dans une seule soirée, cela peux parfois être aussi un avantage en terme de découvertes musicale mais ce soir ce ne fut malheureusement pas le cas.»
C’est tout d’abord Horse Feathers qui ouvrent les hostilités pour un set de 35 mn tout en retenue. Le chanteur ressemble à s’y méprendre à Ron Howard le réalisateur. Sur scène outre le chanteur et guitariste Justin Ringle on trouve 3 autres musiciens. Musicalement c’est proche du folk, le groupe vient de Portland dans l’Oregon (impressionnant de voir d’ailleurs que cette ville ressemble à une pépinière vu le nombre de groupes qui y sont issus). La voix du chanteur est belle avec beaucoup de pureté mais j’avoue que pour ma part, 35 minutes de concert sont largement suffisantes avant que l’ennui me gagne définitivement. C’est propre, bien interprété mais trop monocorde et je n’accroche pas. On notera que le groupe fera une reprise de Gillian Welch.
Petit surprise car le groupe suivant n’est aitre que Oh No Ono que j’attendais plus tard dans la soirée. Malgré le fait que je sois au premier rang, je suis un peux déçu par le son qui est loin d’être à la hauteur, le concert de la Maroquinerie était à ce niveau largement supérieur. J’ai tout de même l’impression qu’a la Flèche d’Or on joue un peu sous amplifié. Deuxième légère déception avec Malthe Fisher le chanteur/guitariste principal qui est cette fois vêtue normalement, on est loin du coté psychédélique qu’il dégageait à la Maro. Du coup le concert sera bon mais inférieur à ce que j’en attendais . Pas assez de monde pour encourager le groupe, un set de 42 minutes joué en roue libre sans grande passion, c’est dommage car ce groupe vaut mieux que cela mais les conditions n’étaient pas réunies ce soir.
On continue la soirée avec le troisième groupe, Wild Palms. Dès les premiers accords du groupe on est fixé : C’est du sous Interpol voir du sous Editors. Je ne vois pas trop l’intérêt de ce groupe qui me parait une pâle copie de ce qui ce fait actuellement. 35 minutes de set suffisant pour me forger une opinion.
Il est maintenant 23h et c’est maintenant au tour des américains de Someone Still Loves You Boris Yeltsin de faire leur apparition sur scène. Le groupe est attendu comme la tête d’affiche de la soirée, personnellement j’en ai un souvenir mitigé lors de leur passage à la Maroquinerie il y a deux de cela. Et cette impression se confirme pendant la première partie de leur set. La prestation est poussive et convenue, ce n’est pas vraiment désagréable mais cela ne décolle pas. Musicalement c e n’est pas désagréable, du rock indé à guitares mais du rock ou il manque une bonne dose de charisme. Et cela s’explique du moins c’est mon explication par le fait que le groupe est une hydre à deux têtes. En effet le show va se décomposer en deux parties. La première plutôt sans grand entrain mené au chant par un des membres du groupe qui outre le fait d’être chanteur joue aussi de la guitare. Mais ou les choses s’arrangent, c’est quand le batteur devient à son tour chanteur/guitariste, le chanteur guitariste d’origine prenant place à la basse, alors oui à ce moment la le groupe devient intéressant, le courant passe enfin et je commence à dodeliner tranquillement de la tête signe que je commence à apprécier la prestation du groupe. Oh bien sur SSLBY ne jouera sans doute jamais en première division mais ces 25 dernières minutes suffiront pour sauver cette fin de soirée.
Il est maintenant minuit, le groupe vient de finir son set de 50 minutes et je ressort de la Flèche d’Or tout de même assez dubitatif, ayant passé une soirée en demi-teinte. Il est vrai qu’un seul groupe m’intéressait vraiment ce soir, c’est un peu le problème de la Flèche d’Or, trop de groupes dans une seule soirée, cela peux parfois être aussi un avantage en terme de découvertes musicale mais ce soir ce ne fut malheureusement pas le cas.»
Oh No Ono est un quintette de pop expérimentale de la petite ville danoise d'Aalborg, formé en 2003. Leur musique, complexe et d'un autre monde, défie les conventions et les attentes.
(http://www.myspace.com/ohnoono)
Now You Know Oh No Ono - 2005
Yes - 2006
Eggs - 2010
Yes - 2006
Eggs - 2010
Aske Zidore (guitar, vocals, samples)
Kristian Olsen (keyboards etc.)
Malthe Fischer (vocals, guitar and samples)
Nis Svoldgaard (bass, vocals)
Kristoffer Rom (drums)
Kristian Olsen (keyboards etc.)
Malthe Fischer (vocals, guitar and samples)
Nis Svoldgaard (bass, vocals)
Kristoffer Rom (drums)
La Setlist du Concert
OH NO ONO
01. Helplessy Young (Eggs - 2010)
02. The Tea Party (Eggs - 2010)
03. Ba Ba Baba Ba Well Anyway (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
02. The Tea Party (Eggs - 2010)
03. Ba Ba Baba Ba Well Anyway (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
04. Eleanor Speaks (Eggs - 2010)
05. Internet Warrior (Eggs - 2010)
06. Icicless ( Eggs - 2010)
07. Am I Right? (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
08. The Wave Ballet (Eggs - 2010)
09. Miss Miss Moss (Eggs - 2010)
10. Fat Simon Says (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
05. Internet Warrior (Eggs - 2010)
06. Icicless ( Eggs - 2010)
07. Am I Right? (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
08. The Wave Ballet (Eggs - 2010)
09. Miss Miss Moss (Eggs - 2010)
10. Fat Simon Says (EP Now You Know Oh No Ono - 2005)
AFFICHE / PROMO / FLYER
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