SLAP THE WORLD TOUR 2014
Ce qu’en a pensé Émilie :
« Plus de quatre ans que Guillaume et moi n’avions pas vu Miyavi en concert, ayant fait l’impasse sur le Trianon de 2011. Ce sera la Cigale pour cette fois-ci, et Vincent nous réserve un premier rang parfait, encore merci.
La première partie sera assurée par un DJ dont je n’ai pas retenu le nom, le public (bien entendu jeune et majoritairement féminin) semble conquis, pour moi c’est un supplice mais bon, voyons les choses positivement : en général, plus la première partie me semble à chier, plus l’artiste que je suis venue voir a des chances de me paraître génialissime. Ce soir ne fera pas exception à cette règle, mais même sans première partie exécrable, je suis certaine que mon avis aurait été le même : Takamasa Ishihara (de son vrai nom) est un Dieu de la guitare.
Miyavi officie ce soir en duo, uniquement accompagné de son batteur Bobo, exercice difficile mais mené de main de maître par les deux musiciens. D’entrée de jeu, Miyavi m’éblouit par la vitesse à laquelle sa main se déplace sur les cordes de son instrument. Comme nous étions en fosse lors des deux précédents concerts où nous étions allés, je n’avais encore jamais eu l’occasion d’admirer son jeu avec une vue aussi dégagée. Vincent me signale que Miyavi a coupé ses cheveux, cela ne semble pas perturber les jeunes filles de la salle, qui exultent à la moindre parole (généralement en anglais) du guitariste « samouraï » japonais, dont la chemise entrouverte laisse apercevoir la plastique impeccable. Mais elles apprécient aussi le moindre riff, et cela ajouté au silence religieusement observé lors d’un émouvant morceau dédié aux victimes du tsunami, Kimi Ni Negai Wo, fera voler en éclats mes préjugés sur la groupie de quinze ans hystérique et sans cervelle. On a le public que l’on mérite, je suppose, et l’on ressent l’ouverture d’esprit, la gentillesse et le partage dans toute la Cigale ce soir. Une de nos voisines nous passera d’ailleurs gentiment de petits bâtons lumineux à agiter pendant la dernière chanson du set principal, Ahead Of The Light, et refusera que je les lui rende. C’est très gentil de penser à nous qui venons en « touristes » sans connaître les coutumes des concerts miyaviens, merci ;-)
Si vous me lisez régulièrement, vous savez que le moment va arriver où je vais me plaindre de la setlist, mais je décline toute responsabilité pour cette fois, car quand même, avouer que hurler « Are you ready to rock ? » et ne pas jouer la chanson du même nom, c’était un peu méchant. Hormis cela, pas grand-chose à redire, le son est impeccable, Miyavi est toujours un poil trop bavard mais il est tellement adorable qu’on ne lui en tiendra pas rigueur. Dommage pour les fans, un cadeau lancé sur scène (probablement un tee-shirt) n’obtiendra pas l’attention escomptée, un roadie l’ayant posé sur un ampli alors que Miyavi regardait ailleurs. Mais je pense que les fans auront été suffisamment comblés par des remerciements profondément sincères tout le long du set, pour une fois qu’un artiste nous dit qu’il est heureux de revenir en France et qu’on peut le croire sans réserve, ne boudons pas notre plaisir.
Le rappel sera court, deux morceaux seulement, mais What’s My Name ? clôt magistralement un set proche de la perfection. Je connais fort peu l’imposante discographie du monsieur, pourtant il aura réussi l’exploit de me faire lever sur certains morceaux, et braver ma peur du vide par la même occasion :D Le seul problème avec Miyavi, c’est que beaucoup de guitaristes paraissent bien fades par rapport à lui ! Ce concert était une démonstration de pure technique du début à la fin, mais avec le style si particulier de ce samouraï de la guitare. Un grand moment, nous avons hâte de le revoir en France. Arigato gozaimasu Miyavi to Bobo ! »
La première partie sera assurée par un DJ dont je n’ai pas retenu le nom, le public (bien entendu jeune et majoritairement féminin) semble conquis, pour moi c’est un supplice mais bon, voyons les choses positivement : en général, plus la première partie me semble à chier, plus l’artiste que je suis venue voir a des chances de me paraître génialissime. Ce soir ne fera pas exception à cette règle, mais même sans première partie exécrable, je suis certaine que mon avis aurait été le même : Takamasa Ishihara (de son vrai nom) est un Dieu de la guitare.
Miyavi officie ce soir en duo, uniquement accompagné de son batteur Bobo, exercice difficile mais mené de main de maître par les deux musiciens. D’entrée de jeu, Miyavi m’éblouit par la vitesse à laquelle sa main se déplace sur les cordes de son instrument. Comme nous étions en fosse lors des deux précédents concerts où nous étions allés, je n’avais encore jamais eu l’occasion d’admirer son jeu avec une vue aussi dégagée. Vincent me signale que Miyavi a coupé ses cheveux, cela ne semble pas perturber les jeunes filles de la salle, qui exultent à la moindre parole (généralement en anglais) du guitariste « samouraï » japonais, dont la chemise entrouverte laisse apercevoir la plastique impeccable. Mais elles apprécient aussi le moindre riff, et cela ajouté au silence religieusement observé lors d’un émouvant morceau dédié aux victimes du tsunami, Kimi Ni Negai Wo, fera voler en éclats mes préjugés sur la groupie de quinze ans hystérique et sans cervelle. On a le public que l’on mérite, je suppose, et l’on ressent l’ouverture d’esprit, la gentillesse et le partage dans toute la Cigale ce soir. Une de nos voisines nous passera d’ailleurs gentiment de petits bâtons lumineux à agiter pendant la dernière chanson du set principal, Ahead Of The Light, et refusera que je les lui rende. C’est très gentil de penser à nous qui venons en « touristes » sans connaître les coutumes des concerts miyaviens, merci ;-)
Si vous me lisez régulièrement, vous savez que le moment va arriver où je vais me plaindre de la setlist, mais je décline toute responsabilité pour cette fois, car quand même, avouer que hurler « Are you ready to rock ? » et ne pas jouer la chanson du même nom, c’était un peu méchant. Hormis cela, pas grand-chose à redire, le son est impeccable, Miyavi est toujours un poil trop bavard mais il est tellement adorable qu’on ne lui en tiendra pas rigueur. Dommage pour les fans, un cadeau lancé sur scène (probablement un tee-shirt) n’obtiendra pas l’attention escomptée, un roadie l’ayant posé sur un ampli alors que Miyavi regardait ailleurs. Mais je pense que les fans auront été suffisamment comblés par des remerciements profondément sincères tout le long du set, pour une fois qu’un artiste nous dit qu’il est heureux de revenir en France et qu’on peut le croire sans réserve, ne boudons pas notre plaisir.
Le rappel sera court, deux morceaux seulement, mais What’s My Name ? clôt magistralement un set proche de la perfection. Je connais fort peu l’imposante discographie du monsieur, pourtant il aura réussi l’exploit de me faire lever sur certains morceaux, et braver ma peur du vide par la même occasion :D Le seul problème avec Miyavi, c’est que beaucoup de guitaristes paraissent bien fades par rapport à lui ! Ce concert était une démonstration de pure technique du début à la fin, mais avec le style si particulier de ce samouraï de la guitare. Un grand moment, nous avons hâte de le revoir en France. Arigato gozaimasu Miyavi to Bobo ! »
MIYAVI (雅, miyabi?, de son vrai nom Takamasa Ishihara (石原貴雅?))1, né le 14 septembre 19812 à Osaka, est un chanteur et guitariste Japonais qui, au départ, fait partie du style Visual Kei mais qui n'a fait qu'évoluer depuis, et continue encore, ce qui fait qu'aujourd'hui on le classerait plus dans le J-rock, bien qu'en fait son style soit indescriptible et unique.
(http://myv382tokyo.com/?aid=222)
(https://ja-jp.facebook.com/MIYAVI.OFFlCIAL)
Galyuu (December 2, 2003)
Miyavizm (June 1, 2005)
MYV Pops (August 2, 2006)
Miyaviuta -Dokusou- (September 13, 2006)
This Iz the Japanese Kabuki Rock (March 19, 2008)
What's My Name? (October 13, 2010)
Samurai Sessions vol.1 (November 14, 2012)
Miyavi (June 19, 2013)
The Setlist
MIYAVI (雅
Day 1 (Single - Miyavi - 2013)
Strong (Single - 2011)
Chase It (Miyavi - 2013)
Hell No (Miyavi - 2013)
Justice (Miyavi - 2013)
Secret (Miyavi - 2013)
Chillin’ Chillin’ Money Blue$ (What's My Name? -2010)
Selfish Love (Miyaviuta ~Dokuso - 2006)
君に願いを (Single - 2006)
Guard You (Miyavi - 2013)
Cry Like This (Miyavi - 2013)
No One Knows My Name (Slap it) (Miyavi - 2013)
Ganryu (Single - 2011)
Survive (What's My Name? -2010)
Futuristic Love (What’s My Name? -2010)
Horizon (Miyavi - 2013)
Encore
Ahead Of The Light (Single - Miyavi - 2013)
素晴らしきかな、この世界 -What a wonderful world- (Single - 2007)
What’s My Name? (Single - What’s My Name? -2010)
MIYAVI (雅
Day 1 (Single - Miyavi - 2013)
Strong (Single - 2011)
Chase It (Miyavi - 2013)
Hell No (Miyavi - 2013)
Justice (Miyavi - 2013)
Secret (Miyavi - 2013)
Chillin’ Chillin’ Money Blue$ (What's My Name? -2010)
Selfish Love (Miyaviuta ~Dokuso - 2006)
君に願いを (Single - 2006)
Guard You (Miyavi - 2013)
Cry Like This (Miyavi - 2013)
No One Knows My Name (Slap it) (Miyavi - 2013)
Ganryu (Single - 2011)
Survive (What's My Name? -2010)
Futuristic Love (What’s My Name? -2010)
Horizon (Miyavi - 2013)
Encore
Ahead Of The Light (Single - Miyavi - 2013)
素晴らしきかな、この世界 -What a wonderful world- (Single - 2007)
What’s My Name? (Single - What’s My Name? -2010)
Time Set : 1h55
http://youtu.be/J-dOoBtGd7c
http://youtu.be/uunPriLNr30
http://youtu.be/KyHrOHQoNBs
http://youtu.be/mkjSDDH2nog
http://youtu.be/uunPriLNr30
http://youtu.be/KyHrOHQoNBs
http://youtu.be/mkjSDDH2nog
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