Première partie : Sheraff (was number one)
« Les dinosaures du Rock, Status Quo, sont de retour ! Ce groupe mythique qui tourne depuis plus de 41 ans sans relâche fait encore bouger son public et au fil du temps il a su construire une carrière plus que respectable. Leurs origines remontent aux années 60s en tant que groupe Beat et il sont fait ensuite un virage vers un Boogie Rock simple, genre dont ils sont est devenu des vrais maitres incontestés. La dernière date que Status Quo avait faite à Paris remonte à 2002 dans cette même salle le 30 avril et le groupe fêtera ses 40 ans de carrière avec un concert évenement à l'Olympia ce dimanche. Puisque Francis Rossi, Rick Parfitt & co. ont toujours autant la pêche, comme le témoigne leur dernier album (malheureusement de 2005!), ce concert parisien promet d'être un grand moment de chaleur et de rock'n'roll pour une prestation scénique survoltée ! Il ne fallait donc pas rater un tel évènement pour crier dans cette salle mytique : Joyeux anniversaire Status Quo ! Quelque ami et très fan n’était pas là car le prix prohibitif des places y était pour quelque chose. Un public plutôt âgé est déjà sur place. Je rentre donc dans la salle chargé d’une multitude de flyers, et je me dirige vers la mezzanine 0101, la plus belle place, plein centre, de l’Olympia. Des ballons (couleur bleu, blanc, rouge) ont été distribués, en fosse et en balcons, par le fan-club pour préparer le meilleur accueil possible au groupe.
20h00 : Première partie : Sheraff (was number one). Un très jeune groupe parisien de rock garage, une fois de plus issu de la "nouvelle scène rock". Du gros rock n'roll qu'on croirait sorti d'une ferme d'Australie, entre Radio Birdman, Jet et AC/DC, ce groupe produit une musique de bonne facture, esthétique et sans prise de tête. Leurs influences musicales sont trop nombreuses pour en faire une liste exhaustive, enfin, ils ont plutôt assuré dans l'ensemble. Une chose : un son et une puissance live, un plein d’énergie qui fait taper du pied à coup sûr. Durée du set 30mn.
21h00 : Les lumières s'éteignent tout simplement et les projecteurs prennent la relève pour nous montrer une scène sobre avec un mur blanc fait d’amplis Marshall pour les oreilles solides. Impressionnante vision. Nos vétérans Status Quo investissent la scène comme des gamins en folies dans un flamboiement de lumière et démarrent avec l’habituelle "Caroline", chevauché irrésistible dans un style rock'n'roll à la Chuck Berry… Come on sweet Caroline You're my sweet CarolineYou know I wanna take ya I really gotta make ya… le ton de la soirée est donné : du boogie-rock (bien musclé). Immédiatement, comme prévu par le Fan Club, on voit les ballons tricolores s'agiter de toute part pour un accueil chaleureux par un public pas tout jeune mais envahi d’une osmose de fête. Le groupe semble surpris par un tel accueil, il n'y a qu'à voir les mimiques de Francis. L'ambiance monte rapidement et ne retombera à aucun moment laissant le public hocher de la tète et taper du pied au rythme des standard du groupe. Les voix de Francis et Rick sont bonnes, parfois soutenues par le reste de la bande... Le son est nickel une fois de plus (Merci Olympia) ! La paire de Telecaster par Francis Rossi et Rick Parfitt donne le spectacle : l’alchimie entre les deux musiciens est incroyable et c’est un tandem de guitares qui ne crains pas de comparaisons. Excellent aussi la section rythmique composée du bassiste John Edwards et du batteur Matt Letley, précis et incisif. Pour compléter le tableau, il y a les claviers joués par Andy Bown. Les coups de riffs boogie sont efficaces et le solo de Rossi dans "Don't waste my time" est un modèle, plus que surprenant. Il n'y a qu'à regarder la vitesse à laquelle il attaque chaque riff. Avec cette chanson et "Paper Plane", Status Quo impose son boogie traditionnel. Des medleys… "What You're Proposing/Down The Dustpipe/Little Lady/Red Sky/Dear John"… avec un bon chant et des riff de Rick font réagir les fans. Sans perdre de vue les rythmes boogie o combien efficaces, Status Quo se montrer d’une extraordinaire présence sur scène et d'une puissance à toute épreuve comme en témoigne "Big Fat Mama" (mention spéciale au pont instrumental, digne des BO des plus grands western de Sergio Leone).
La présence sur scène des musiciens, la "patte" immédiatement identifiable du groupe malgré le fait que les compos sont variées, le plaisir évident du groupe à être là... Tout sonne juste, tout fait mouche lors de ce concert... que je defini d'anthologie. La furie ininterrompue continue avec "Ray Over Lay Down", "Rain", Forty-Five Hundred Times (version raccourcie) ", "Down Down ou" des excellents titres du plus récent Heavy Traffic 2002, toujours aussi populaire (All Stand Up, The Oriental, Creepin' Up On You). Comment font-ils pour produire une telle déflagration sonore, et rendre le public aussi hystérique? Si vous appréciez le rock binaire, teinté de boogie à trois accords, vous êtes à la bonne place ce soir. Ils font du boogie/blues, ils font du Quo, et perso, c'est tout ce que je leur demande. Effervescence dans le public en plein délire! Solos de guitares enflammés. Blues Rock de qualité. Energie à revendre. Duels de guitare, Rock n roll ! Le groupe s’éclate et le public aussi ! Quel plaisir de voir le groupe jubiler de l'accueil et s'éclater. Soudés au corps à corps, jambes écartées, cheveux dans le visage, les musiciens de Status Quo peaufinent depuis quarante ans leur boogie-rock musclé ! Le groupe sonne très carré, et même un peu trop pro : tout cela manque un peu de spontanéité mais c’est sympa les poses qu'ils prennent lorsqu'ils sont quatre devant la scène (quand le claviériste Andy Bown prend sa guitare). Un véritable bain de jouvence pour certains ! Sur "Whatever You Want" la foule était déchaînée. Le batteur est encore très frais et vigoureux, assure chaque chanson merveilleusement et étonne le public.
Et comme il ne faut pas changer une formule qui marche, la fin de set se terminera par l’habituel géant "Rockin' All Over The World", composée par le grand John Fogerty, mais portée au succès aussi par Status Quo, qui a donné à cette chanson une nouvelle vie … We're going crazy and we're going today Here we go, rockin' all over the world And I like it, I like it, I like it, I like it I li-li-like it, li-li-like… pour terminer le set et se reposer quelques minutes laissant leurs fans complétaient étourdis sous les choc de vibrations, durant ce spectacle chaleureux mené de main de maître. Ce soir, on retrouve le Status Quo qu'on aime, celui qui nous émeut sur scène !
Le long rappel qui s’en suit voit le groupe enchainer, dans un moment de calme relatif, une version mélodique mais énervée de In "The Army Now"… Now you remember what the draftman said Nothing to do all day but stay in bed You're in the army now oh, oh, youre in the army now… suivit d’un démoniaque medley "Mystery Song/Railroad/Most of the Time/Wild Side of Life/Rollin' Home/Again and Again/ Slow Train" … ils ont mit à la salle debout! Les gens bougent et dansent, les fans ont le sourire et le spectacle est de qualité. Le morceau final "Rock & Roll Music/ Bye Bye Johnny" démarre et il n'en faut pas plus au public, encore tout dégoulinant, pour commencer à se balancer au rythme, vraie conclusion en fanfare d'un concert prodigieux qui ne pouvait se terminer autrement... sur un au revoir. Ils achèvent ainsi la soirée en apothéose, vidant la tête de chacun tout en laissant un énorme souvenir à la place. A peine les lumières se rallument qu'une clameur rauque et sourde scandant " Status Quo ! Status Quo ! Status Quo !..." commence à s'élever dans la salle. No, ils ne reviendront pas. Dommage.
Malgré la force de l’âge, les Status Quo ont mouillé leur chemise et il est quand même parvenu pendant cette soirée à mettre le feu et à interpréter magnifiquement la plupart des chansons. Un groupe très proche du public qui a offert un excellent concert, même avec une setlist classique. Leur rock est basique, fait de montagnes de riffs et de sueur, sans être de grande valeur artistique ou particulièrement mémorable ou historique (mais au fond qui s’en soucie ?) c’est du Status Quo bien rôdé. D’accord ce groupe n’est pas à la mode, il ne l’a jamais été, loin de sa jeunesse, mais ils jouent une musique qui a quelque chose d'irrésistible. Un rock dur mais en réalité très simple, qu’on retiens avec facilité et tout cela, avec seulement trois accords... mais qui fait plaisir à entendre et comme ils chantaient les Stones, je peux vous le confirmer « It's Only Rock and Roll, but I like It ».
Un pensé aussi à mon ami Patrick qui était dans la salle pour ce grand concert, car Francis et Rick, Andy, John et Matt m’ont fait vibrer encore une fois. Ce soir je le savais mais j’ai encore pris une prendre une grande claque de Boogie Rock !!! Long Live ROCK’N’ROLL !!! »
20h00 : Première partie : Sheraff (was number one). Un très jeune groupe parisien de rock garage, une fois de plus issu de la "nouvelle scène rock". Du gros rock n'roll qu'on croirait sorti d'une ferme d'Australie, entre Radio Birdman, Jet et AC/DC, ce groupe produit une musique de bonne facture, esthétique et sans prise de tête. Leurs influences musicales sont trop nombreuses pour en faire une liste exhaustive, enfin, ils ont plutôt assuré dans l'ensemble. Une chose : un son et une puissance live, un plein d’énergie qui fait taper du pied à coup sûr. Durée du set 30mn.
21h00 : Les lumières s'éteignent tout simplement et les projecteurs prennent la relève pour nous montrer une scène sobre avec un mur blanc fait d’amplis Marshall pour les oreilles solides. Impressionnante vision. Nos vétérans Status Quo investissent la scène comme des gamins en folies dans un flamboiement de lumière et démarrent avec l’habituelle "Caroline", chevauché irrésistible dans un style rock'n'roll à la Chuck Berry… Come on sweet Caroline You're my sweet CarolineYou know I wanna take ya I really gotta make ya… le ton de la soirée est donné : du boogie-rock (bien musclé). Immédiatement, comme prévu par le Fan Club, on voit les ballons tricolores s'agiter de toute part pour un accueil chaleureux par un public pas tout jeune mais envahi d’une osmose de fête. Le groupe semble surpris par un tel accueil, il n'y a qu'à voir les mimiques de Francis. L'ambiance monte rapidement et ne retombera à aucun moment laissant le public hocher de la tète et taper du pied au rythme des standard du groupe. Les voix de Francis et Rick sont bonnes, parfois soutenues par le reste de la bande... Le son est nickel une fois de plus (Merci Olympia) ! La paire de Telecaster par Francis Rossi et Rick Parfitt donne le spectacle : l’alchimie entre les deux musiciens est incroyable et c’est un tandem de guitares qui ne crains pas de comparaisons. Excellent aussi la section rythmique composée du bassiste John Edwards et du batteur Matt Letley, précis et incisif. Pour compléter le tableau, il y a les claviers joués par Andy Bown. Les coups de riffs boogie sont efficaces et le solo de Rossi dans "Don't waste my time" est un modèle, plus que surprenant. Il n'y a qu'à regarder la vitesse à laquelle il attaque chaque riff. Avec cette chanson et "Paper Plane", Status Quo impose son boogie traditionnel. Des medleys… "What You're Proposing/Down The Dustpipe/Little Lady/Red Sky/Dear John"… avec un bon chant et des riff de Rick font réagir les fans. Sans perdre de vue les rythmes boogie o combien efficaces, Status Quo se montrer d’une extraordinaire présence sur scène et d'une puissance à toute épreuve comme en témoigne "Big Fat Mama" (mention spéciale au pont instrumental, digne des BO des plus grands western de Sergio Leone).
La présence sur scène des musiciens, la "patte" immédiatement identifiable du groupe malgré le fait que les compos sont variées, le plaisir évident du groupe à être là... Tout sonne juste, tout fait mouche lors de ce concert... que je defini d'anthologie. La furie ininterrompue continue avec "Ray Over Lay Down", "Rain", Forty-Five Hundred Times (version raccourcie) ", "Down Down ou" des excellents titres du plus récent Heavy Traffic 2002, toujours aussi populaire (All Stand Up, The Oriental, Creepin' Up On You). Comment font-ils pour produire une telle déflagration sonore, et rendre le public aussi hystérique? Si vous appréciez le rock binaire, teinté de boogie à trois accords, vous êtes à la bonne place ce soir. Ils font du boogie/blues, ils font du Quo, et perso, c'est tout ce que je leur demande. Effervescence dans le public en plein délire! Solos de guitares enflammés. Blues Rock de qualité. Energie à revendre. Duels de guitare, Rock n roll ! Le groupe s’éclate et le public aussi ! Quel plaisir de voir le groupe jubiler de l'accueil et s'éclater. Soudés au corps à corps, jambes écartées, cheveux dans le visage, les musiciens de Status Quo peaufinent depuis quarante ans leur boogie-rock musclé ! Le groupe sonne très carré, et même un peu trop pro : tout cela manque un peu de spontanéité mais c’est sympa les poses qu'ils prennent lorsqu'ils sont quatre devant la scène (quand le claviériste Andy Bown prend sa guitare). Un véritable bain de jouvence pour certains ! Sur "Whatever You Want" la foule était déchaînée. Le batteur est encore très frais et vigoureux, assure chaque chanson merveilleusement et étonne le public.
Et comme il ne faut pas changer une formule qui marche, la fin de set se terminera par l’habituel géant "Rockin' All Over The World", composée par le grand John Fogerty, mais portée au succès aussi par Status Quo, qui a donné à cette chanson une nouvelle vie … We're going crazy and we're going today Here we go, rockin' all over the world And I like it, I like it, I like it, I like it I li-li-like it, li-li-like… pour terminer le set et se reposer quelques minutes laissant leurs fans complétaient étourdis sous les choc de vibrations, durant ce spectacle chaleureux mené de main de maître. Ce soir, on retrouve le Status Quo qu'on aime, celui qui nous émeut sur scène !
Le long rappel qui s’en suit voit le groupe enchainer, dans un moment de calme relatif, une version mélodique mais énervée de In "The Army Now"… Now you remember what the draftman said Nothing to do all day but stay in bed You're in the army now oh, oh, youre in the army now… suivit d’un démoniaque medley "Mystery Song/Railroad/Most of the Time/Wild Side of Life/Rollin' Home/Again and Again/ Slow Train" … ils ont mit à la salle debout! Les gens bougent et dansent, les fans ont le sourire et le spectacle est de qualité. Le morceau final "Rock & Roll Music/ Bye Bye Johnny" démarre et il n'en faut pas plus au public, encore tout dégoulinant, pour commencer à se balancer au rythme, vraie conclusion en fanfare d'un concert prodigieux qui ne pouvait se terminer autrement... sur un au revoir. Ils achèvent ainsi la soirée en apothéose, vidant la tête de chacun tout en laissant un énorme souvenir à la place. A peine les lumières se rallument qu'une clameur rauque et sourde scandant " Status Quo ! Status Quo ! Status Quo !..." commence à s'élever dans la salle. No, ils ne reviendront pas. Dommage.
Malgré la force de l’âge, les Status Quo ont mouillé leur chemise et il est quand même parvenu pendant cette soirée à mettre le feu et à interpréter magnifiquement la plupart des chansons. Un groupe très proche du public qui a offert un excellent concert, même avec une setlist classique. Leur rock est basique, fait de montagnes de riffs et de sueur, sans être de grande valeur artistique ou particulièrement mémorable ou historique (mais au fond qui s’en soucie ?) c’est du Status Quo bien rôdé. D’accord ce groupe n’est pas à la mode, il ne l’a jamais été, loin de sa jeunesse, mais ils jouent une musique qui a quelque chose d'irrésistible. Un rock dur mais en réalité très simple, qu’on retiens avec facilité et tout cela, avec seulement trois accords... mais qui fait plaisir à entendre et comme ils chantaient les Stones, je peux vous le confirmer « It's Only Rock and Roll, but I like It ».
Un pensé aussi à mon ami Patrick qui était dans la salle pour ce grand concert, car Francis et Rick, Andy, John et Matt m’ont fait vibrer encore une fois. Ce soir je le savais mais j’ai encore pris une prendre une grande claque de Boogie Rock !!! Long Live ROCK’N’ROLL !!! »
Status Quo est un groupe de boogie-rock britannique, créé en 1962, Ce succès ne se démentira pas pendant plus de 40 ans, car en 2006 encore, le Quo captive les foules. Il faut dire que ses fans comptent parmi les plus fidèles et n'hésitent pas à parcourir l'Europe entière pour suivre leur groupe favori. Mariage surprenant et efficace de blues, pop, rock et musiques traditionnelles d'origine celtique, le style de Status Quo a rencontré un succès phénoménal. Status Quo est toujours en activité et a fêté en 2005 ses 40 ans de carrière. Leurs 5500 concerts ont marqué des millions d’amateurs et suscité bon nombre de vocations et leurs 115 millions de disques vendus de par le monde.
Albums
1968 - Picturesque Matchstickable Messages from the Status Quo
1969 - Spare Parts
1970 - Ma Kelly’s Greasy Spoon
1971 - Dog of Two Head
1972 - Piledriver
1973 - Hello !
1974 - Quo
1975 - On The Level
1976 - Blue For You
1977 - Rockin' All Over the World
1978 - If You Can't Stand the Heat
1979 - Whatever You Want
1980 - Just Supposin'
1981 - Never Too Late
1982 - 1982
1983 - Back To Back
1986 - In The Army Now
1988 - Ain’t Complaining
1989 - Perfect Remedy
1991 - Rock 'Til You Drop
1994 - Thirsty Work
1996 - Don’t Stop
1999 - Under The Influence
2000 - Famous in the Last Century
2002 - Heavy Traffic
2003 - Riffs
2005 - The Party Ain’t Over Yet
Live
1977 - Live !
1984 - Live At The N.E.C.
1992 - Live Alive Quo
Compilation
1969 - Status Quo-Tations
1980 - 12 Gold Bars
1982 - From The Makers Of...
1984 - 12 Gold Bars Vol 2
1990 - Rocking All Over The Years
1997 - Whatever You Want - The Very Best of Status Quo
2004 - XS All Areas - The Greatest Hits
1968 - Picturesque Matchstickable Messages from the Status Quo
1969 - Spare Parts
1970 - Ma Kelly’s Greasy Spoon
1971 - Dog of Two Head
1972 - Piledriver
1973 - Hello !
1974 - Quo
1975 - On The Level
1976 - Blue For You
1977 - Rockin' All Over the World
1978 - If You Can't Stand the Heat
1979 - Whatever You Want
1980 - Just Supposin'
1981 - Never Too Late
1982 - 1982
1983 - Back To Back
1986 - In The Army Now
1988 - Ain’t Complaining
1989 - Perfect Remedy
1991 - Rock 'Til You Drop
1994 - Thirsty Work
1996 - Don’t Stop
1999 - Under The Influence
2000 - Famous in the Last Century
2002 - Heavy Traffic
2003 - Riffs
2005 - The Party Ain’t Over Yet
Live
1977 - Live !
1984 - Live At The N.E.C.
1992 - Live Alive Quo
Compilation
1969 - Status Quo-Tations
1980 - 12 Gold Bars
1982 - From The Makers Of...
1984 - 12 Gold Bars Vol 2
1990 - Rocking All Over The Years
1997 - Whatever You Want - The Very Best of Status Quo
2004 - XS All Areas - The Greatest Hits
* Francis Rossi - lead guitar, vocals
* Rick Parfitt - guitar, vocals
* Andy Bown - keyboard
* John 'Rhino' Edwards - bass
* Matt Letley - drums
Caroline (Hello! - 1973)
Something 'bout You Baby I Like (Never Too Late - 1981)
Don't Waste My Time (Piledriver - 1972)
Forty-Five Hundred Times (Hello! - 1973) > Rain (Blue For You - 1976)
Paper Plane (Piledriver - 1972)
All Stand Up (Never Say Never) (Heavy Traffic - 2002)
The Oriental Creepin' Up On You (Heavy Traffic - 2002)
Proposing Medley:
(What You're Proposing (Just Supposin' - 1980) > Down The Dustpipe (Single - 1970) > Little Lady (On The Level - 1975) > Red Sky (In The Army Now - 1986) > Dear John (1982 - 1982))
Big Fat Mama (Piledriver - 1972)
Dirty Water (Rockin' All Over The World - 1977)
Gerdundula (Dog of Two Head - 1971)
Roll Over Lay Down (Hello! - 1973)
Down Down (On The Level - 1975)
Whatever You Want (Whatever You Want - 1979)
Rockin' All Over The World (Rockin' All Over The World - 1977)
Encore
In The Army Now (In The Army Now - 1986)
Mystery Medley:
(Mystery Song (Blue For You - 1975) > Railroad (Dog of Two Head - 1971) > Most of the Time (On The Level - 1975) > Wild Side of Life (Blue For You - 1975) > Rollin' Home (Rockin' All Over The World - 1977) > Again and Again (Single - 1978) > Slow Train (Quo - 1974)
Rock & Roll Music (C. Berry Cover) > Bye Bye Johnny (On The Level - 1975)
Something 'bout You Baby I Like (Never Too Late - 1981)
Don't Waste My Time (Piledriver - 1972)
Forty-Five Hundred Times (Hello! - 1973) > Rain (Blue For You - 1976)
Paper Plane (Piledriver - 1972)
All Stand Up (Never Say Never) (Heavy Traffic - 2002)
The Oriental Creepin' Up On You (Heavy Traffic - 2002)
Proposing Medley:
(What You're Proposing (Just Supposin' - 1980) > Down The Dustpipe (Single - 1970) > Little Lady (On The Level - 1975) > Red Sky (In The Army Now - 1986) > Dear John (1982 - 1982))
Big Fat Mama (Piledriver - 1972)
Dirty Water (Rockin' All Over The World - 1977)
Gerdundula (Dog of Two Head - 1971)
Roll Over Lay Down (Hello! - 1973)
Down Down (On The Level - 1975)
Whatever You Want (Whatever You Want - 1979)
Rockin' All Over The World (Rockin' All Over The World - 1977)
Encore
In The Army Now (In The Army Now - 1986)
Mystery Medley:
(Mystery Song (Blue For You - 1975) > Railroad (Dog of Two Head - 1971) > Most of the Time (On The Level - 1975) > Wild Side of Life (Blue For You - 1975) > Rollin' Home (Rockin' All Over The World - 1977) > Again and Again (Single - 1978) > Slow Train (Quo - 1974)
Rock & Roll Music (C. Berry Cover) > Bye Bye Johnny (On The Level - 1975)
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