Opening : FUCKED UP
Ce qu’en a pensé Jean Pierre :
« Acte 3 : Retour en France pour l’ivresse d’un concert à Marseille !
Notre périple continue après deux jours de tourisme à Barcelone et la visite de l’impressionnante Sagrada Familia, œuvre inachevée de l’architecte Gaudi, qui avait des idées assez singulières ou avant-gardistes sur la construction. Après un voyage en avion assez court, à peine une heure de vol, nous voici ce mercredi matin à Marseille. Beau temps mais plus frais qu'à Barcelone. Sortis de l'hôtel, nous trouvons un petit restaurant ou nous dégustons un couscous honorable et puis direction la salle du concert Le Dôme, par le métro. Première surprise, on s'aperçoit que le dernier métro est à 22h30... donc il faudra se rabattre sur un taxi pour effectuer le retour.
Arrivés sur place, l'attente commence dans le froid (incroyable) et le vent, loin de la douce tiédeur de Marseille. Cela nous permet de discuter avec deux jeunes filles, très charmantes groupies, qui attendaient depuis 14 heures et qui viennent D'Aix en Provence. Vers 19 heures, alors que l'on commençait à ressembler à de véritables pingouins, c’est l’ouverture des portes, s'ensuit une petite course qui nous permettra de nous retrouver devant les barrières, légèrement sur la droite par rapport à la scène mais idéalement bien placés.
20h30 : Fucked Up entre en scène. Le show est similaire à ceux d’Espagne avec la seule différence que le chanteur, à la fin du concert, préfère partir par le fond de la salle.
21h30 : la salle se retrouve plongée dans le noir et les festivités peuvent commencer avec l’arrivé des huit musiciens d’ Arcade Fire, devant un public survolté. Cette fois-ci Régine Chassagne a choisi une robe noire très colorée et du plus bel effet. La question existentielle que l’on se pose, avec un peu d'appréhension, est : quelle va être la Set List ce soir ? On verra bien. Première notes de "Ready to Start " et c'est parti. avec mon sourire. Première constatation aussi : le public est plus calme que celui d'Espagne. Suit "Month of May ", nous délivrant toute son énergie, suivi de "Tunnels" de très bonne facture, et "Rococo " avec sa montée en puissance. Le public de Marseille commence à être de plus en plus réceptif. "3No cars Go" fait monter immédiatement le concert d'un cran, tout en puissance. Harcelé de la nostalgie d’un "Haïti" où l’on voit Régine à genoux sur scène se recueillant, la magie se prolonge. Ce morceau sera joué avec une grande sensibilité et toujours plein d'émotion. Deux titres, qu'ils n'avaient pas joué auparavant, pour notre plus grand plaisir, seront présentés ce soir : "Les années sans lumières" et "Suburdan ward". Régine fera un petit discours en français pour dire que la première fois qu’elle a pris un avion toute seule au départ de Montréal, c'était pour atterrir ici à Marseille. Des mots bien ordinaires mais sur un grand sourire et un air coquin : le public est content et applaudit de plus belle. Que dire alors des musiciens ? Ils sont tous impeccables et ils sont vraiment à fond dedans ! On sent l’envie de donner le maximum de plaisir à leur public, dans la joie, et cela se voit sur leurs visages. Il y a une telle complicité entre eux... c'est trop fort, il y , c’est cette euphorie qui se dégage, et le merveilleux affleure. Arrive "Intervention" et son point d'orgue magique "We used to wait" ou l'on verra Win butler s'asseoir au devant de la scène et regarder le public à taper des mains sur le tempo du morceau. Cette version sera absolument apocalyptique et suivie de "Power et Rébellion". Les deux chansons, bien évidement, seront un déchainement total aussi bien pour le public que le groupe, avec un respect mutuel.
Tout va trop vite et le rappel arrive. "Keep the car running", excellent et efficace, avec la reprise du refrain par le public et le concert s'achèvera, comme d'habitude en apothéose, par un "Wake up" qui prend de l'ampleur et qui est repris en cœur, dans un recueillement assez magique, par toute la salle du Dôme, qui danse et applaudit avec enthousiasme.
Force est de constater qu'après ce troisième concert d'affilée, pour Gilles et moi, nous pouvons encore affirmer : « On n’est toujours pas rassasiés D'Arcade Fire et de leurs spectacles ». Effectivement, on ne peut pas nier que sur scène le groupe est vraiment trop bon et qu’on a encore reçu une sacrée claque. On est toujours sous ce charme qui a frappé très, très fort.
Les gens se pressent dehors et je remercie la police nationale de Marseille, vraiment sympa, pour nous avoir trouvé un taxi, après ce concert saluant une magnifique performance... une de plus. Et l’on se dit, en vrai fan,... après-demain à Lyon! »
Notre périple continue après deux jours de tourisme à Barcelone et la visite de l’impressionnante Sagrada Familia, œuvre inachevée de l’architecte Gaudi, qui avait des idées assez singulières ou avant-gardistes sur la construction. Après un voyage en avion assez court, à peine une heure de vol, nous voici ce mercredi matin à Marseille. Beau temps mais plus frais qu'à Barcelone. Sortis de l'hôtel, nous trouvons un petit restaurant ou nous dégustons un couscous honorable et puis direction la salle du concert Le Dôme, par le métro. Première surprise, on s'aperçoit que le dernier métro est à 22h30... donc il faudra se rabattre sur un taxi pour effectuer le retour.
Arrivés sur place, l'attente commence dans le froid (incroyable) et le vent, loin de la douce tiédeur de Marseille. Cela nous permet de discuter avec deux jeunes filles, très charmantes groupies, qui attendaient depuis 14 heures et qui viennent D'Aix en Provence. Vers 19 heures, alors que l'on commençait à ressembler à de véritables pingouins, c’est l’ouverture des portes, s'ensuit une petite course qui nous permettra de nous retrouver devant les barrières, légèrement sur la droite par rapport à la scène mais idéalement bien placés.
20h30 : Fucked Up entre en scène. Le show est similaire à ceux d’Espagne avec la seule différence que le chanteur, à la fin du concert, préfère partir par le fond de la salle.
21h30 : la salle se retrouve plongée dans le noir et les festivités peuvent commencer avec l’arrivé des huit musiciens d’ Arcade Fire, devant un public survolté. Cette fois-ci Régine Chassagne a choisi une robe noire très colorée et du plus bel effet. La question existentielle que l’on se pose, avec un peu d'appréhension, est : quelle va être la Set List ce soir ? On verra bien. Première notes de "Ready to Start " et c'est parti. avec mon sourire. Première constatation aussi : le public est plus calme que celui d'Espagne. Suit "Month of May ", nous délivrant toute son énergie, suivi de "Tunnels" de très bonne facture, et "Rococo " avec sa montée en puissance. Le public de Marseille commence à être de plus en plus réceptif. "3No cars Go" fait monter immédiatement le concert d'un cran, tout en puissance. Harcelé de la nostalgie d’un "Haïti" où l’on voit Régine à genoux sur scène se recueillant, la magie se prolonge. Ce morceau sera joué avec une grande sensibilité et toujours plein d'émotion. Deux titres, qu'ils n'avaient pas joué auparavant, pour notre plus grand plaisir, seront présentés ce soir : "Les années sans lumières" et "Suburdan ward". Régine fera un petit discours en français pour dire que la première fois qu’elle a pris un avion toute seule au départ de Montréal, c'était pour atterrir ici à Marseille. Des mots bien ordinaires mais sur un grand sourire et un air coquin : le public est content et applaudit de plus belle. Que dire alors des musiciens ? Ils sont tous impeccables et ils sont vraiment à fond dedans ! On sent l’envie de donner le maximum de plaisir à leur public, dans la joie, et cela se voit sur leurs visages. Il y a une telle complicité entre eux... c'est trop fort, il y , c’est cette euphorie qui se dégage, et le merveilleux affleure. Arrive "Intervention" et son point d'orgue magique "We used to wait" ou l'on verra Win butler s'asseoir au devant de la scène et regarder le public à taper des mains sur le tempo du morceau. Cette version sera absolument apocalyptique et suivie de "Power et Rébellion". Les deux chansons, bien évidement, seront un déchainement total aussi bien pour le public que le groupe, avec un respect mutuel.
Tout va trop vite et le rappel arrive. "Keep the car running", excellent et efficace, avec la reprise du refrain par le public et le concert s'achèvera, comme d'habitude en apothéose, par un "Wake up" qui prend de l'ampleur et qui est repris en cœur, dans un recueillement assez magique, par toute la salle du Dôme, qui danse et applaudit avec enthousiasme.
Force est de constater qu'après ce troisième concert d'affilée, pour Gilles et moi, nous pouvons encore affirmer : « On n’est toujours pas rassasiés D'Arcade Fire et de leurs spectacles ». Effectivement, on ne peut pas nier que sur scène le groupe est vraiment trop bon et qu’on a encore reçu une sacrée claque. On est toujours sous ce charme qui a frappé très, très fort.
Les gens se pressent dehors et je remercie la police nationale de Marseille, vraiment sympa, pour nous avoir trouvé un taxi, après ce concert saluant une magnifique performance... une de plus. Et l’on se dit, en vrai fan,... après-demain à Lyon! »
Arcade Fire (également appelé The Arcade Fire) est une formation de rock indépendant originaire de Montréal, Québec, Canada, en 2000, jouant un rock émotionnel et inclassable. Il s'est développé autour du couple formé de Win Butler et Régine Chassagne . Cependant ils ne connaissent le succès qu'avec Funeral, qui paraît en 2004. Le groupe fait usage d'un large éventail d'instruments de musique — surtout de la guitare, de la batterie et de la guitare basse — mais aussi du piano, de l'alto, du violoncelle, du xylophone, de l'accordéon et de la harpe. La plupart des musiciens jouent de plusieurs instruments: sur scène, on peut ainsi voir Régine Chassagne passer de l'accordéon à la batterie ou Win Butler de la guitare à l'orgue.
(http://www.myspace.com/arcadefireofficial)
• 2004 : Funeral
• 2007 : Neon Bible
• 2010 : The Suburbs
• 2007 : Neon Bible
• 2010 : The Suburbs
Win Butler : Chant, Guitare, Piano, Basse.
Regine Chassagne : Chant, Accordeon, Batterie, Xylophone, Percussions, Clavier.
Will Butler : Clavier, Percussions, Xylophone.
Richard Parry : Clavier, Piano, Accordeon, Xylophone, Percussions, Basse.
Timothy Kingsbury : Basse, Guitare.
Sarah Neufeld : Violon.
Jeremy Gara : Batterie, Guitare.
La Setlist du Concert
ARCADE FIRE
ARCADE FIRE
01. Ready To Start (The Suburbs - 2010)
02. Month Of May (The Suburbs - 2010)
03. Neighborhood # 1 (Tunnels) (Funeral - 2004)
04. Rococo (The Suburbs - 2010)
05. Neighborhood #2 (Laïka) (Funeral - 2004)
06. No Cars Go (Neon Bible - 2007)
07. Haiti (Funeral - 2004)
08. Sprawl II (Mountains Beyond Mountains) (The Suburbs - 2010)
09. Une année sans lumière (Funeral - 2004)
10. The Suburns (The Suburbs - 2010)
11. The Suburns (Continued)(The Suburbs - 2010) 12. Suburban War (The Suburbs - 2010)
13. Intervention (Neon Bible - 2007)
14. We Used To Wait (The Suburbs - 2010)
15. Neighborhood #3 (Power Out) (Funeral - 2004)
16. Rebellion (Lies) (Funeral - 2004)
Encore
17. Keep The Car Running (Neon Bible - 2007)
18. Wake Up (Funeral - 2004)
La durée du concert : 1h33
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